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Les particularités des Jeux paralympiques

12 Oct 2023

Dossiers > JO 2024 : le défi des transports > Les particularités des Jeux paralympiques

Article présent dans le dossier : JO 2024 : le défi des transports

Le plan de transport pour les Jeux paralympiques, du 28 août au 8 septembre 2024, est « globalement le même que pour les JO », explique-t-on chez Ile-de-France Mobilités (IDFM). Les organisateurs attendent environ trois millions de spectateurs, pour 250 sessions organisées sur 17 sites : 10 dans Paris et sept en banlieue. Les flux seront moindres que pendant les JO quelques semaines plus tôt – et il n’y aura plus d’épreuves au Parc des Princes ou à Saint-Quentin-en-Yvelines –, mais il va quand même falloir transporter quelque 300 000 spectateurs par jour, en pleine rentrée. Chaque événement aura sa propre stratégie de mobilité, avec des itinéraires adaptés et des itinéraires alternatifs pouvant servir de « plan B ».

 
Un ou deux niveaux ? D’après Pierre Messulam, beaucoup de réseaux étrangers, en particulier asiatiques, mettent en œuvre des trains à un niveau, comme des métros. De même, la RATP a été très longtemps réticente à mettre en œuvre des RER à deux niveaux. Pour les mêmes raisons : si vous avez des arrêts très fréquents, ce qui compte, c’est que les passagers qui sortent ne mettent pas trop de temps à descendre du niveau supérieur, idem pour ceux qui montent. Sinon, vous augmentez le temps de stationnement. « Si, en revanche, vous avez des trains qui doivent s’arrêter partout sur une zone de ramassage en grande couronne avant un trajet direct d’un quart d’heure à 20 minutes, voire une demi-heure sans arrêt, vous avez intérêt à avoir un train très capacitif pour transporter plus ...

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Retrouvez le dossier JO 2024 : le défi des transports dans le magazine VR&T n°676

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