Le point de vue de Vincent Pouyet, DG d’Alpha Trains en France
06 Nov 2020
ferroviaire , Matériel roulant , petites lignes , trains légers
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Article présent dans le dossier : Le train léger existe-t-il ?
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« Notre démarche d’acteur du ferroviaire est d’acheter le matériel roulant adapté pour un besoin particulier, sur une plate-forme qui a fait ses preuves. De la sorte, nous avons un train au bon prix, en temps et en heure, fiable dès le début. C’est justement ce qu’attendent les voyageurs : qualité de service et fiabilité.
Car le problème des petites lignes n’est pas lié au matériel, mais à l’offre : regardez ce qui se fait en Suisse, en Allemagne ou aux Pays-Bas. Il faut un service dense, avec du matériel pas trop cher et de faible capacité. Pour ce qui est de la voie, la maintenance est liée à la vitesse et au poids des trains, or les lignes des groupes UIC 7 à 9 ont déjà la maintenance la moins chère. Passer en-dessous de 15 tonnes par essieu n’y changera rien. Et pour ces lignes, des trains légers qui ont fait leurs preuves, il y en a déjà : le X 73500 ou le Lint chez Alstom et les Flirt à deux caisses chez Stadler, voire le tram-train comme entre Nantes et Châteaubriant, avec une masse à l’essieu encore plus réduite, mais moins ...
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Retrouvez le dossier Le train léger existe-t-il ? dans le magazine VR&T n°641