Introduction
Le débat sur la gratuité des transports divise et prend de l’ampleur. En septembre Dunkerque devient la plus grande agglomération de France (et la deuxième d’Europe) à ne plus faire payer l’utilisation de ses transports publics. Tandis que Paris et Clermont ont lancé une étude et que Grenoble y réfléchit.
La gratuité des transports publics est de moins en moins un tabou. Si elle reste rejetée par une grande partie de la profession car elle se traduirait à terme, selon ses opposants, par un affaiblissement des transports publics en mal de financement et par une dégradation des biens publics qui seraient moins respectés, elle devient un sujet de débat de plus en plus audible, non seulement dans les petites villes mais aussi dans de plus grandes agglomérations, y compris la plus grande, Paris.
Aujourd’hui, 36 réseaux appliquent ce principe de gratuité en France, selon le décompte de Max
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