Les espoirs et les pièges de la smart city
- Les espoirs et les pièges de la smart city
- Dijon. Un poste de pilotage pour les équipements urbains
- Lyon. Trouver le bon équilibre entre high tech et low tech
- Paris consomme 70 % d’énergie en moins
- Angers. Objectif : réduire la consommation des ressources naturelles
- Les smart cities, ogres numériques et énergétiques ?
- à Barcelone, des outils digitaux au service de la mobilité
- « La technologie doit être au service d’une stratégie politique »
Dans le milieu des années 2010, de nombreux élus misaient sur l’avènement de la ville « intelligente ». Dix ans plus tard, les discours ont évolué et des questions se posent sur la pertinence énergétique des solutions connectées.
Les experts estiment que d’ici 2040, 65 % de la population mondiale vivra dans les villes (plus de la moitié de la population vit aujourd’hui dans des zones urbaines). Ce qui veut dire plus d’émissions de gaz à effet de serre, de consommation d’eau, d’énergie, de déchets à gérer pour les villes. L’objectif de la smart city, c’est d’améliorer la qualité des services urbains mais aussi de préserver les ressources naturelles, d’œuvrer aux économies d’énergie et d’eau, enfin de rendre la ville durable.
De ce point de vue, quelles sont les villes les plus « intelligentes » ? Dans le classement 2024, le « smart cities index » réalisé par IMD, l’école de Management et du développement basée à Lausanne, en partenariat avec la Singapore University for Technology and Design, la Suisse tient le haut du pavé avec Zurich au premier rang, Genève sur la troisième marc
Le dossier complet est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !