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« La technologie doit être au service d’une stratégie politique »

30 Sep 2024

Dossiers > Les espoirs et les pièges de la smart city > « La technologie doit être au service d’une stratégie politique »

Article présent dans le dossier : Les espoirs et les pièges de la smart city

Isabelle Baraud-Serfaty, fondatrice d’Ibicity, agence de conseil en économie urbaine, et enseignante à Sciences Po, explique pourquoi elle prend ses distances avec la notion de ville intelligente, terme technique, selon elle. Avec la montée en puissance des plateformes numériques et la diffusion des smartphones, le pouvoir revient aux acteurs intermédiaires, estime-t-elle. Ville, Rail & Transports. Vous considérez que la notion de smart city est un peu dépassée. Pourquoi ? Isabelle Baraud-Serfaty. Ce terme est apparu en 2010 quand IBM a lancé son programme Smarter cities. Cette période a marqué l’entrée en lice d’acteurs du numérique dans les villes. C’est un terme qui évoque une approche techno-solutionniste. Autrement dit, on pense que la technologie va forcément apporter la solution. Ces groupes proposaient alors d’installer des capteurs, d’instrumenter des réseaux pour les gérer. On a vu émerger des programmes comme OnDijon ou comme Angers Territoire intelligent. C’était un peu la ville saisie par le numérique. Or, selon moi, c’est plutôt le numérique qui se saisit des villes. Désormais les habitants des villes ont souvent un smartphone dans leur poche et sont des utilisateurs des réseaux sociaux. Il y a un basculement avec l’émergence de plateformes numériques qui sont utiles et proches des habitants, comme par exemple, Citymapper qui s’interpose entre les opérateurs de transport et le voyageur.

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Retrouvez le dossier Les espoirs et les pièges de la smart city dans le magazine VR&T n°688

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