Introduction
La crise sanitaire a fait chuter la fréquentation des transports publics et de nouveaux comportements apparaissent. Le vélo tire son épingle du jeu, mais la voiture fait son grand retour. Les professionnels du transport public tirent les leçons et font évoluer leurs savoir-faire.
La crise sanitaire a incité les Français à modifier leurs comportements lors de leurs déplacements, y compris pendant les vacances. Fin juin, le niveau de fréquentation des réseaux urbains de province atteignait en moyenne 50 %. En juillet, il oscillait autour de 70 à 85 % selon les réseaux et selon Keolis (comparé à juillet 2019). Côté RATP, particulièrement concernée par la chute du tourisme parisien, on estimait être en août à 60 % du volume habituel de voyageurs transportés. Et les perspectives ne semblaient pas permettre d’espérer avant longtemps un retour à un trafic normal.
Autre signe allant dans ce sens, avant les grands départs en congés, selon une enquête réalisée par l’institut d’études MV2, 17 % des personnes interrogées n’envisageraient pas de reprendre les transports en commun à court ou moyen terme. Les enquêteurs ont aussi demandé aux sondés s’ils étaient prêts à emprunter les transports publics aussi souvent. Si juste après le déconfinement, 18 % répondaient
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