Iveco Bus : de nouveaux protocoles pour la production
05 Juin 2020
bus , coronavirus , pistes cyclables , reprise , trains , vélos
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Article présent dans le dossier : Les premiers enseignements du déconfinement
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Le 4 mai, Iveco Bus rouvrait progressivement ses sites de production. Mais la chute du tourisme et l’incertitude sur les financements publics l’empêchent encore d’avoir une visibilité suffisante sur son activité à terme. Ayant toujours fait le choix de produire français, le constructeur espère pouvoir profiter de la transition énergétique.
Première en Europe à être confrontée à la crise sanitaire du coronavirus, l’Italie est aussi le pays où se trouve le siège social de la maison mère d’Iveco Bus. Le constructeur y possède deux sites de production, Suzzara et Brescia, qui interviennent dans la fabrication de minicars et minibus. Aussi a-t-il vu arriver, tout début mars, les premiers signaux avant-coureurs de difficultés qui n’allaient pas tarder à s’étendre à la France entière une semaine plus tard. Or c’est justement en France qu’Iveco Bus concentre trois de ses sites majeurs : Annonay, en Ardèche, pour la construction des autocars et autobus, Rorthais, dans les Deux-Sèvres, pour celle des autobus uniquement, et Bourbon-Lancy, en Saône-et-Loire, qui fabrique, dans le cadre du regroupement FPT (Fiat Powertrain Technologies), les fameux moteurs Cursor équipant les véhicules de la marque. Anticipant la suite des évènements, le constructeur prend donc la sage décision, au cours ...
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Retrouvez le dossier Les premiers enseignements du déconfinement dans le magazine VR&T n°636