Les JO, vitrine mondiale pour Urbanloop
23 Jan 2024
Citybus , industrie , navettes , navettes autonomes , Navya , Urbanloop
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Article présent dans le dossier : Navettes autonomes : la phase d’industrialisation se dessine
Le ministère des Transports et l’Ademe ont choisi de tester dix navettes autonomes Urbanloop pendant les Jeux olympiques et paralympiques Paris 2024 pour desservir le vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines, depuis la gare RER, sur une boucle de 2,2 km. La voie du démonstrateur a été posée en décembre dernier. Composé de petits véhicules de deux places, les « capsules » peuvent emporter près de 300 kg de charge, sans batterie. L’alimentation en basse tension se fait par le rail, ce qui en fait un mode sobre avec une consommation inférieure à 0.1 kWh par km et par passager. Autre atout, la circulation sur des voies étroites (en site propre) nécessite peu de travaux et laisse de la place aux piétons et aux cyclistes. Le système Urbanloop sera donc testé en conditions réelles à Saint-Quentin-en-Yvelines, exploité par Keolis pendant les JO et après, sur une période d’un an et demi. La circulation des capsules est pilotée par l’intelligence artificielle qui organise leur disponibilité aux stations en fonction de multiples paramètres comme les horaires de bureaux, d’école, les événements culturels et sportifs, les conditions météo. Objectif, réduire le temps d’attente en station à moins d’une minute.
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Retrouvez le dossier Navettes autonomes : la phase d’industrialisation se dessine dans le magazine VR&T n°679