Nettoyage, un marché en pleine expansion
08 Fév 2024
nettoyage , propreté , RATP , Sytral
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Depuis la crise du Covid, les professionnels du nettoyage sont sortis de l’ombre avec la prise de conscience de leur rôle et une forte demande sociale en matière d’hygiène, notamment dans les transports publics. Qui sont les fées du logis ? Comment se répartissent-elles le marché du transport, quelles sont les exigences des AO et des transporteurs et quels budgets consacrent-ils à la propreté ?
Il y a quatre ans, la propreté dans les transports publics faisait la une des journaux à cause de la crise du Covid. Virucide, biocide, nébulisation, aération, distanciation sociale, gel hydroalcoolique, masque, marquage au sol, points de contact… Des mots nouveaux dans le vocabulaire de la mobilité. La peur de la contamination par le Coronavirus, le besoin de réassurer les voyageurs et le protocole d’hygiène imposé par les autorités ont alors propulsé sur le devant de la scène des travailleurs de l’ombre, les nettoyeurs du métro, des bus, tramways, RER, trains, des stations et des gares. Les voir en combinaisons de protection, leurs sprays de désinfectants, leurs lingettes et autres chiffonnettes à la main, devenait primordial pour continuer à prendre les transports publics.
Ils se sont installés dans le paysage, la SNCF annonçant même désormais le nom de l’agent de propreté à bord de ses TGV, au même titre que celui du chef de bord et du barista. Un message et un métier pour réassurer les voyageurs. « La propreté en gares et en station comptent pour un tiers de la note expérience voyageurs, et au-delà de l’expérience voyageur, ...
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Retrouvez le dossier Nettoyage, un marché en pleine expansion dans le magazine VR&T n°680