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« Qui sera le patron du chemin de fer ? »

12 Nov 2019

Guillaume Pépy

Dossiers > Nos années Pepy > « Qui sera le patron du chemin de fer ? »

Article présent dans le dossier : Nos années Pepy

grève 95

Départ d'une manifestation, à St Lazare, 6 juin 1996.

 

Après les grandes grèves de 1995, après le retrait du contrat de plan Bergougnoux honni par les cheminots, et le retrait de Bergougnoux, lui-même « lourdé » par les cheminots, après l’intermède Loïk Le Floch Prigent, Louis Gallois, président de la SNCF, rappelle Pepy. Il lui confie en juillet 1997 les Grandes Lignes. Mission : remettre des gens dans les trains. La nomination étonne certains, qui voient un Pepy plus stratège qu’opérationnel, plus franc-tireur que manager. Il fait très rapidement ses armes, devient au bout de quelques mois directeur de toute l’activité Voyageurs, s’affirme comme le second de Gallois et est nommé directeur général exécutif du groupe en 2003. Il met en œuvre un redressement rendu possible par la création de RFF, dont l’objet premier était de loger ailleurs qu’à la SNCF une bonne partie de la colossale dette ferroviaire.

On met le cap sur une augmentation des trafics. On en rêve pour le fret aussi et, du temps du gouvernement Jospin, le ministre des Transports, Jean-Claude Gayssot, s’emballe et parie sur le doublement de son volume…

C’est une période de croissance, mais aussi de lutte entre RFF et SNCF. RFF monte en puissance, la SNCF résiste. L’enjeu ? Pepy l’explique alors qu’on inaugure la LGV Méditerranée, en 2001, tandis que RFF s’apprête à se doter de ...

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