La Chine, l’Australie, les Etats-Unis, Doha…
A première vue, cela ne va pas s’arranger. Bientôt concurrencée sur son terrain, la SNCF doit s’internationaliser pour maintenir son chiffre d’affaires et son influence. Pepy, vigoureusement, met à la fois le cap sur le développement des nouvelles technologies et sur celui de l’internationalisation du groupe, en marchant sur deux jambes : Geodis pour les marchandises, Keolis pour les passagers. Il y consacrait dernièrement un tiers de son temps.
On le voit partout. On a connu un Pepy allant en scooter d’une gare à un ministère ou du siège à un dépôt. Il faut ajouter l’aéroport à son parcours. Quand on le rencontre, il revient de Chine ou d’Australie, décolle pour les Etats-Unis, ou Doha. Le groupe connaît un très fort développement à l’international, qui représente 30 % de l’activité, au lieu de 12 % dix ans auparavant. L
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Publié le 18/09/2019