La France de l’après-Covid de Valérie Pécresse

A la tête de l’Ile-de-France depuis 2015, Valérie Pécresse a eu le temps d’apprendre à maîtriser les questions liées aux transports, premier poste budgétaire de la région (1,9 milliard d’euros sur 4,9 milliards). Et à en comprendre les enjeux.

Ce n’est pourtant pas un thème qui apparaît de prime abord dans le programme présenté sur son site officiel de campagne, où on trouve avant tout les grandes questions qui agitent la campagne électorale (sécurité, pouvoir d’achat, logement, éducation…).

Selon Vincent Chriqui, chargé avec Frédéric Lemoine du projet global de la candidate LR, deux grands axes guident ses propositions pour assurer la mobilité des Français. D’une part, la préparation de la « nouvelle France » de l’après-Covid, prenant en compte « les aspirations de nos concitoyens à vivre dans de bonnes conditions partout sur le territoire, notamment dans des villes de taille moyenne ou à la campagne, et nécessitant de ce fait des transports performants ». D’autre part, « Valérie Pécresse porte une grande ambition en matière d’écologie et de décarbonation des transports qui l’anime depuis longtemps ». Mais, ajoute celui qui est aussi maire de Bourgoin-Jallieu, « les transports décarbonés doivent être accessibles au plus grand nombre ».

Un plan pour les transports du quotidien