fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Métro léger…

Article présent dans le dossier : Quelles perspectives pour le métro automatique

Dénommée Neoval, cette toute nouvelle génération a été dotée de caisses au gabarit un peu plus large, mais elle n’en conserve pas moins les attraits d’un vrai métro léger. Avec l’ouverture, l’an prochain, de la nouvelle ligne B de Rennes, le Neoval va connaître son envol à grande échelle. Les caisses des rames Neoval sont construites en Autriche, par l’usine Siemens de Vienne-Simmering (ex-SGP, Simmering-Graz-Pauker, qui était autrefois un célèbre constructeur ferroviaire autrichien).

Dans le domaine des métros lourds, et pour répondre aux attentes particulières du réseau de New York, toujours féru d’innovations inspirées de l’automobile, à l’image des dernières voitures sans conducteur Google car, l’industriel a dû développer, en lieu et place du classique CBTC, pourtant déjà à la pointe de la technologie, un tout nouveau système dit UWB (Ultra Wide Band), qui est une sorte de GPS approprié aux espaces fermés, tels les tunnels.

Comme le GPS, l’UWB fonctionne par triangulation, mais ici à partir d’ancres fixées sur la plate-forme des voies ainsi que dans les piédroits. Ces ancres s’apparentent à des balises actives, qui peuvent être alimentées de façon filaire ou bien par batteries d’une durée de dix ans. Dès que le train en a trouvé trois, il sait alors se localiser avec une précision parfaite. L’UWB évite ainsi le recours à l’œdométrie. Surtout, il présente l’avantage de minorer les équipements au sol ou embarqués. Les premières expérimentations, menées sur la ...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Quelles perspectives pour le métro automatique dans le magazine VR&T n°641

DOSSIERS PrécédEnts

Grands Prix de la région Capitale 2024

Destination Strasbourg pour European Mobility EXPO

Bus électriques : toujours le vent en poupe

Les espoirs et les pièges de la smart city