fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Trois lignes à lancer à plus ou moins grande vitesse

06 Fév 2023

COI , LGV

Dossiers > Rapport. Le COI propose de s’attaquer en priorité aux nœuds ferroviaires > Trois lignes à lancer à plus ou moins grande vitesse

Article présent dans le dossier : Rapport. Le COI propose de s’attaquer en priorité aux nœuds ferroviaires

En septembre 2021, à l’occasion des 40 ans du TGV, trois projets de lignes à grande vitesse (LGV) avaient été exhumés par Emmanuel Macron : Bordeaux – Toulouse, Montpellier – Perpignan, Marseille – Nice. Trois lignes mises en sommeil en 2017 par le même Emmanuel Macron pour donner « la priorité aux transports du quotidien ». Et donc, ressuscitées. Le virage politique à 180 degrés assumé, il reste à lever les inconnues sur le financement des nouvelles LGV. Car si l’Etat avait annoncé la mobilisation de 6,5 milliards d’euros pour ces trois « grands projets ferroviaires », dont 4,1 milliards d’euros pour Bordeaux-Toulouse, l’enveloppe ne représente que 40 % de leur coût de construction. Coup de projecteur sur ces trois projets.

Tiraillements autour du Grand projet du Sud-Ouest 

Ce projet ferroviaire d’envergure vise la création de deux nouvelles lignes à grande vitesse : entre Toulouse et Bordeaux puis entre Bordeaux et l’Espagne, en passant par Dax et Bayonne. Les 222 kilomètres de LGV placerait la ville rose à 1h de Bordeaux, et à 3h10 de Paris. 

Débattu depuis 2005, ce chantier a fait l’objet d’un « important processus de concertation et d’études » entre 2009 et 2014, précise SNCF Réseau. Les deux lignes ont été déclarées d’utilité publique en 2016, mais il a fallu attendre 2022 pour que le décret d’application portant sur la création de la Société du Grand Projet du Sud-Ouest, socié...

Il vous reste 75% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Rapport. Le COI propose de s’attaquer en priorité aux nœuds ferroviaires dans le magazine VR&T n°668

DOSSIERS PrécédEnts

Grands Prix de la région Capitale 2024

Destination Strasbourg pour European Mobility EXPO

Bus électriques : toujours le vent en poupe

Les espoirs et les pièges de la smart city