Frédéric Baverez, président du GIE Objectif Transport Public : « Nous souhaitons une pause dans les réglementations techniques »
Ville, Rail & Transports. Comment s’annoncent les Rencontres nationales du transport public ?
Frédéric Baverez. 6 000 participants sont attendus, ainsi que 80 journalistes. Nous accueillerons des personnalités nationales – Elisabeth Borne inaugurera le salon –, et locales comme Renaud Muselier, Jean-Claude Gaudin… pour n’en citer que quelques-uns.
Nos séances plénières s’intéresseront à deux grands sujets d’actualité : en ouverture, nous reviendrons sur les conclusions des états généraux de la mobilité lancée par l’UTP et le Gart (auxquels se sont jointes d’autres organisations et associations du secteur) qui vont pouvoir s’inscrire dans le cadre des Assises de la mobilité lancées le 19 septembre.
En plénière de clôture, nous aborderons la question de l’ouverture à la concurrence des TER en nous demandant comment la réussir. Nous ne sommes plus dans la logique de savoir s’il faut le faire ou pas, mais sur les conditions de la réussite.
Les neuf ateliers proposés au cours du Salon s’intéressent à des questions plus techniques. Par exemple celui sur la transition énergétique va permettre d’échanger sur les retours d’expérience des collectivités qui recourent déjà au gaz pour faire rouler leurs bus (il y en a beaucoup) ou à l’électricité (il y en a moins). Autre problématique, qui aura une résonance particulière car c’est un des thèmes des Assises : quelles
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