Une véritable reconfiguration de l'exploitation en Rhône-Alpes
« Nous avons dû reconfigurer totalement notre métier d’exploitant et refondre nos processus de fabrication des trains pour ajouter 100 trains aux 1 100 existants. Il a fallu réorganiser les rotations de matériel, les garages des trains, la maintenance de l’infrastructure », explique Gilles Cheval. Selon le directeur délégué TER Rhône-Alpes à la SNCF, la principale difficulté à résoudre était liée à l’accès aux grandes gares, en particulier Lyon-Part-Dieu, Lyon-Perrache, Grenoble et Chambéry, qui représentent chacune des « socles de fabrication des trains ». Or, les voies de ces gares sont déjà confrontées à de sérieux problèmes de saturation. « Il a fallu faire des contorsions pour gagner de la place », raconte-t-on à la SNCF. Dans le jargon cheminot, on parle de « diamétralisation », une technique qui consiste à limiter le nombre « d’origines-destinations ». En clair, à faire assurer par un seul train une liaison plus longue : par exempl
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