En ce début 2015, les transports et la Mobilité sont au cœur de l’actualité politique et législative. Effectivement, qu’il s’agisse de la Loi NOTRe  ou bien de la Loi Macron, les débats sur la redéfinition des compétences des Régions et sur la libéralisation du transport par autocar sont vifs.

A l’heure où le système économique des TET est fortement déficitaire, où les Régions sont en passe de devenir le véritable chef de file des transports et de la mobilité sur leur territoire,  et où la libéralisation du transport par autocar est appelée des vœux du Gouvernement, de  nombreuses questions demeurent.

C’est que l’équation n’est pas si simple à résoudre pour un pouvoir politique qui bien qu’appelant au développement de l’intermodalité reste néanmoins sensible aux revendications des AOT (dont il est d’ailleurs…) sur les risques d’atteinte à la concurrence. Il s’agit donc de comprendre comment le fer et la route ne sont pas seulement concurrents mais comment ils peuvent également être complémentaires. Réguler sans entraver,  voilà comment les deux sujets sont liés.

C’est dans ce cadre qu’Alenium Consultants  propose de mettre en perspective les questions relatives aux nouvelles compétences des Régions issues de la Loi NOTRe, les conclusions de la Commission Duron sur les TET qui seront rendues en juin 2015, et les avancées  de la Loi Macron en matière de libéralisation des transports par autocar.