27 septembre 2017
Les nouveaux défis de la sûreté
Dès 8h30
Salons de la mairie du 7e arrondissement 116, rue de Grenelle 75007 Paris
La sûreté est devenue l’un des premiers dossiers des transporteurs. Les tensions de la vie contemporaine, mais aussi les menaces d’attentat, ont conduit à prendre des mesures de protection. Certaines provisoires, d’autres durables. Celles-ci, en retour, ont parfois des effets sur la fluidité des trafics. Comment conjuguer au mieux sûreté et mobilité ? Protection et liberté ?
Questions qu’illustrent certains exemples précis :
- Faut-il installer des portiques de sécurité? Ségolène Royal l’a demandé pour Thalys. Christian Estrosi l’a décidé pour les TER de Paca. Les portiques n’ont pas réponse à tout, ils ont un coût non négligeable et peuvent créer des attroupements présentant des risques. Quel retour d’expérience avons-nous ?
- Comme dans les aéroports, Eurostar déploie dans ses gares internationales les premiers sas de contrôle par reconnaissance faciale pour les porteurs de passeports biométriques. Avec un double objectif : répondre aux exigences de sûreté des gouvernements et limiter l’attente des voyageurs aux contrôles dans un contexte de trafics croissants.
- Les alertes au colis piégés sont devenues un fléau quotidien. La bonne marche des transports en est entravée. Peut-on mettre en œuvre des mesures d’intervention plus rapides… sans faire courir de risques aux voyageurs .
- Après avoir longtemps fait débat, la vidéo surveillance s’est peu à peu imposée dans les gares , les trains et les bus. Quels enseignements peut-on tirer de cette protection en voie de généralisation ?
- La loi Savary, avant tout conçue contre la fraude, a doté les forces de sûreté des transporteurs de pouvoirs nouveaux. Sont-ils adaptés aux questions que pose la sûreté ?
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