RER 2N NG : t'es cap ou t'es pas cap ?
Laurent Bouyer, le président de Bombardier Transport France, reconnaissait avant l’été que le consortium Alstom-Bombardier n’était pas favori, face à CAF, dans la bataille pour le RER 2N NG. L’affaire de Belfort intervenue depuis, rend « politiquement impossible » l’attribution du marché à CAF, déplorait un élu francilen au fait des dossiers. Juridiquement c’est une autre affaire. Comment s’en sortir si l’instruction du dossier penche pour CAF ? De très bonne source, on fait état d’une solution apparemment ingénieuse, non confirmée cependant par la SNCF. La SNCF, extrêmement embarrassée, aurait demandé en septembre un audit sur les capacités de production de CAF d’un côté, d’Alstom-Bombardier de l’autre. Type de renseignement qu’on prend en général en amont… Remettre la question sur le tapis apparaît lourd d’intention.
L’interrogation sur les capacités de production est d’ailleurs devenue récurrente. On l’a entendue le 17 octobre, à Crespin, site de Bombardier des Hauts-de-France, lors de la livraison de la 100e rame Regio 2N à la ré
L'article complet ( 588 mots) est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !
Publié le 10/01/2025 - Philippe-Enrico Attal
Publié le 10/12/2024 - Marie-hélène Poingt