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La SNCF planche sur l’assistant personnel de mobilité

Mis à jour le 05 octobre 2017

Pour construire son projet d’entreprise qui devrait être finalisé d’ici à la fin de l’année, la SNCF se dit guidée par deux grandes tendances : d’une part, les mobilités deviennent de plus en plus partagées (avec Autolib’, BlaBlaCar…). « Elles sont regardées avec bienveillance et non pas comme des ennemis. Nous sommes de la même famille », affirme Guillaume Pepy qui a présenté à la presse le 3 octobre la teneur du séminaire qui a réuni 600 cadres le 25 septembre à Rotterdam.

Deuxième grande tendance : les entreprises de plateformes se développent. « Nous en sommes déjà une avec voyages-sncf.com (qui prendra le nom de Oui.sncf à partir du 7 décembre). Mais VSC va devenir de plus en plus multimodal en étant capable d’offrir du porte-à-porte », poursuit le PDG de SNCF Mobilités.

Vers la fin 2018, Guillaume Pepy veut proposer un assistant personnel de mobilité, c’est-à-dire capable d’assembler la totalité des offres, y compris celles de la RATP, de Transdev ou de BlaBlaCar. D’où un travail lancé avec ces trois entreprises pour bâtir « un entrepôt commun de données, dans lequel chacun pourra puiser les données dont il a besoin ». Guillaume Pepy se réfère au concept de Mobility as a service (MaaS) qui permet d’acheter une prestation globale de transport, en passant par un prestataire unique qui l’organise. « Quand vous avez tout sur la même appli, y compris l’émission du ticket sur votre smartphone, cela devient un assistant personnel de mobilité », résume-t-il.

Tout cela, « sans oublier que nous sommes une entreprise qui a et conservera des usines. Nous devons réinventer tous nos métiers, notamment grâce au digital, c’est cela qui fera la compétitivité de demain », souligne encore le patron de la SNCF.

A côté des voyageurs, l’activité logistique est considérée comme le second pilier du groupe. Cette activité (dix milliards d’euros annuels) doit changer de dimension en passant du 9e au 5e rang mondial. Cela passera par une ou plusieurs acquisitions externes. Pour avoir des fonds, le groupe envisage de céder des parts dans certaines activités. Après sa filiale de logistique automobile STVA, il pourrait notamment céder en partie sa filiale Ermewa, spécialisée dans la location de wagons.

Pour la SNCF, c’est un enjeu majeur : l’année dernière, sur les 567 millions d’euros de bénéfices enregistrés, la logistique en a rapporté une part majeure. « Si on coupait cette branche, le groupe basculerait dans le rouge », affirme-t-on en interne, où on estime que le message semble bien avoir été entendu – et compris – du côté du gouvernement.

M.-H. P.

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