Auditionné les mardi 10 et mercredi 11 avril par les commissions ad hoc du Sénat puis de l’Assemblée nationale, Thierry Dallard (52 ans), qui a eu lundi le feu vert du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris devait en être nommé ensuite très rapidement par décret président du directoire. Devant les sénateurs, puis les députés, le président pressenti a insisté sur les raisons qui l’ont fait se porter candidat à la succession de Philippe Yvin. D’abord, le projet s’annonce comme celui d’une génération, et cela ne se refuse pas : deux, le gouvernement vient de confirmer le projet dans son intégralité, même s’il a eu un « recalage » ; et trois c’est, au-delà d’un objet technique, un vrai projet urbain lié à l’impératif de densification de la ville.
Thierry Dallard compte s’adresser pour relever ce défi à trois types d’interlocuteurs.
D’abord les salariés de la SGP, qui ont mené à bien les phases de déclaration d’utilité publique et ont passé les premiers marchés. Cela alors qu’ils sont assujettis au plafond de 200 emplois. Thierry Dallard, à son tour, constat
L'article complet ( 613 mots) est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !