bout de son nez. Paris ne doit donc pas être en reste, mais ne veut toutefois nullement se précipiter : « Il faut laisser le temps aux constructeurs français et européens de se préparer, expliquait Pierre Mongin lors de la présentation de ses vœux à la presse le 23 janvier. On ne va pas se mettre à acheter aux Chinois ! »C’est pourtan
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