Eurotunnel / Eurostar - « C'est pas nous, c'est eux ! »
On ne choisit pas la date de ses incidents. Le 7 juillet, Eurotunnel se serait bien passé… d’un problème d’alimentation dans le tunnel sous la Manche le jour où était posée, au terminal français de Coquelles, la première pierre du chantier Terminal 2015. Ce dernier doit permettre à la capacité de transport de camions entre la France et la Grande-Bretagne d’atteindre 2 millions de véhicules en 2020, contre 1,5 million aujourd’hui, en faisant passer la fréquence des navettes de 6 à 8 départs par heure.
Car ce même 7 juillet, à l’autre bout de l’ouvrage transmanche, une rupture de caténaire dans l’intervalle 2 (le premier des trois dans le sens Angleterre – France) a obligé une navette Le Shuttle à marquer un arrêt inopiné. Si les voyageurs ont pu, en empruntant le tunnel de service, gagner une autre navette qui les a fait arriver au terminal français par le tunnel Sud (normalement utilisé dans le sens France-Angleterre), la navette a poursuivi son périple remorquée par une locomotive diesel. C’est ainsi qu’&agra
L'article complet ( 521 mots) est réservé aux abonnés ou aux détenteurs d’un porte-monnaie électronique, connectez-vous pour y accéder.
*Formule numérique sans engagement à partir d’un 1€ par mois !
Publié le 10/12/2024
Publié le 10/12/2024