La présidente en a assez des gestes architecturaux
Inquiète par l’augmentation des coûts du Grand Paris Express (« de 22 à 32 milliards d’euros », selon elle), Valérie Pécresse regrette les « gestes architecturaux » et estime que les gares doivent être autofinancées. « Si l’on avait fait des gestes architecturaux, on n’aurait jamais réalisé le métro parisien », estime-t-elle. Parmi les sujets qui l’inquiètent, les correspondances entre modes. L’enveloppe est estimée à 1,5 milliard d’euros mais on ne sait toujours pas qui paiera, regrette-t-elle, pour des gares comme Saint-Denis-Pleyel, La Défense, ou Bry-Villiers-Champigny.
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