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Ewa

Jérôme Wallut devient directeur commercial d’Alstom

Jerome Wallut

Le 1er octobre, Alstom a annoncé la nomination de Jérôme Wallut comme directeur commercial. Précédemment président d’Alstom Amérique, il est désormais responsable des activités commerciales à l’échelle mondiale, notamment de la stratégie commerciale, du développement des affaires et des affaires publiques. « A ce poste, Jérôme Wallut devient un membre de l’équipe de direction d’Alstom et rend compte directement à Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général d’Alstom et président du Conseil d’administration ».

Diplômé d’ingénierie aérospatiale et de l’école de commerce INSEAD. Jérôme Wallut a commencé sa carrière chez Airbus, où il a occupé diverses fonctions dans la division après-vente, au sein du département des essais en vol, puis au sein du département des programmes et du centre de livraison. Il a rejoint Alstom Transport en 2000 comme directeur des Méthodes de management de projets, et a été promu directeur des Opérations en Asie au sein du département signalisation. En 2003, il est devenu directeur Grands comptes pour la RATP et RFF, et a peu après été nommé vice-président de la joint-venture Casco Signal Ltd. en Chine. De 2007 à 2009, il a occupé les fonctions de directeur Grands comptes pour la SNCF, avant de devenir vice-président senior d‘Alstom Transport France en 2010. C’est en 2014 qu’il a été nommé vice-président senior d‘Alstom Transport en Amérique du Nord, deux ans avant la commande par Amtrak de 28 rames Avelia Liberty.

P. L.

Ewa

Alstom équipera la phase 2 de la ligne circulaire du métro de Taipei

Taipei Metro

Un consortium dirigé par Alstom, avec la société taïwanaise de services d’ingénierie CTCI, a décroché auprès du bureau de projet E&M du département des Réseaux de transport de la ville de Taipei (SEMPO), un contrat d’équipement de la phase 2 de la ligne circulaire du métro de la capitale taïwanaise.

Cette phase 2, qui comprend un tronçon nord (12 stations souterraines et un dépôt sur 14,93 km) et sud (six stations souterraines sur 5,73 km), fait suite à la phase 1, ouverte en janvier 2020 (dite tronçon central, elle compte 14 stations et un dépôt sur 15,4 km). Estimé à près de 720 millions d’euros, dont plus de 430 millions d’euros pour Alstom, ce contrat-cadre comprend en option l’équipement de la future phase 3 (tronçon est) de cette ligne à conduite automatique.

Alstom assurera la fourniture de 29 rames Metropolis de quatre voitures entièrement automatisées (niveau GoA4, sans personnel à bord), du CBTC Urbalis 400, du système de contrôle et d’acquisition des données (Scada) et des portes palières. CTCI, pour sa part, gérera les travaux de voie, la fourniture de l’alimentation électrique, l’équipement du dépôt, les systèmes de télécommunication et de billetterie. Alstom assurera enfin la gestion du projet et l’intégration globale du système.

A noter que la phase 2 de la ligne circulaire est le deuxième projet de métro clés en main remporté par le consortium Alstom-CTCI à Taipei, après la ligne Wanda – Zhonghe – Shulin.

Alstom précise que ses sites industriels de Taubaté (Brésil, pour le matériel roulant), de Bologne (Italie, pour la signalisation) participeront au projet de la ligne circulaire, assistés par les sites de Bangalore (Inde), de Saint-Ouen, Le Creusot et Ornans (France), mais aussi de Taipei (Taïwan). La gestion du projet et l’intégration du système seront gérées localement avec l’aide du centre d’ingénierie clés en main d’Alstom.

Ewa

Accord de coopération dans la cybersécurité entre Airbus et Alstom

Poste de contrôle centralisé du tram d'Avignon

Airbus CyberSecurity et Alstom ont annoncé, le 8 septembre, la signature d’un accord de coopération dans le domaine de la cybersécurité du transport ferroviaire. Un premier accord avait déjà été signé entre les deux groupes en avril 2017.

Cet accord « permettra de fournir aux compagnies ferroviaires des solutions alliant l’expérience et les solutions d’Alstom dans le domaine des systèmes d’information dédiés au transport par voie ferrée avec l’expertise et les services d’Airbus CyberSecurity dans le domaine de la cybersécurité des systèmes d’information industriels ». Ceci dans le contexte de l’augmentation des cybermenaces dans tous les secteurs, alors que le secteur ferroviaire fait de plus en plus appel au numérique, que ce soit dans les systèmes de contrôle-commande des trains, métros et tramways, la signalisation ou les postes d’aiguillage et de commande centralisée. Sans oublier les métros automatiques et des projets de trains autonomes.

Airbus CyberSecurity « contribuera aux offres communes avec des services et solutions dans les domaines de la surveillance et détection d’attaques grâce à ses différents centres opérationnels de cybersécurité (SOC – security operations centers) et de la réponse sur incidents. Il offrira également des prestations d’audit de sécurité et des tests de pénétration et d’intrusion notamment grâce à sa plateforme de simulation et de test pour les systèmes industriels, CyberRange ».

Alstom « apportera, au partenariat, ses connaissances en matière de conception, de fabrication, d’exploitation et de maintenance de systèmes ferroviaires. Le leader mondial du rail numérique s’appuiera également sur son expertise unique en matière de cybersécurité ferroviaire développée ces dernières années ». Alstom précise que plus de 13 000 de ses employés travaillent dans le monde sur la numérisation du secteur ferroviaire, notamment dans les domaines de la technologie de signalisation, de la mobilité intelligente et de la cybersécurité.

Ewa

CBTC Alstom pour le Metromover de Miami-Dade

Miami Metromover

Alstom a annoncé avoir été choisi par le département des Transports et des Travaux publics du Comté de Miami-Dade (Floride) pour équiper la navette automatique Metromover d’un CBTC (contrôle des trains basé sur la communication) du type Cityflo 650, qui faisait auparavant partie du portefeuille de Bombardier Transport. Dans le cadre d’un contrat d’environ 140 millions de dollars (près de 120 millions d’euros), Alstom « remplacera également ou rénovera le système de distribution électrique, le système de contrôle et d’acquisition de données (SCADA), les aiguilles des voies de guidage ainsi que d’autres éléments composant le système Metromover ». De plus, Alstom introduira de nouvelles fonctionnalités « qui augmenteront la fiabilité et la disponibilité du système, réduiront les frais de maintenance et permettront une exploitation plus efficace tout en offrant toujours plus de sécurité aux passagers ».

Mis en service en 1986, le Metromover de Miami-Dade, dont les trois boucles totalisent aujourd’hui 7,1 km et desservent 21 stations, a été la première application aux transports urbains des navettes automatiques Westinghouse. En trois décennies et demi, le réseau Metromover a été développé et son parc de matériel roulant sur pneus a été renouvelé entre 2008 et 2014 (il comprend actuellement 29 rames Bombardier Transport Innovia APM 100). « Mais certains des principaux sous-systèmes arrivent en fin de vie », ajoute Alstom, dont le portefeuille comprend les Automated People Mover (APM) Westinghouse depuis la récente reprise de Bombardier Transport.

Ewa

Au Mexique, Alstom signe un important contrat pour le train Maya

Tren'Maya

C’est un projet majeur pour le développement du Mexique : le consortium composé d’Alstom Transport Mexico, Bombardier Transportation México, Gami Ingeniería e instalaciones et Construcciones Urales Procesos Industriales s’est vu attribuer, dans le cadre du projet de train Maya,  le contrat de conception, de fabrication et de mise en service de 42 trains X’trapolis, dont le design s’inspire de la culture Maya, ainsi que l’ensemble du système de signalisation. Il est également chargé de la construction des ateliers et garages de maintenance et du service après-vente des équipements du système.

Le contrat représente quelque 1,3 milliard d’euros. Au sein du consortium, la part d’Alstom-Bombardier s’élève à un milliard d’euros.

Dans le cadre de son Plan national de développement (2019-2024), le gouvernement mexicain a en effet lancé le projet de grande ampleur du Tren Maya, destiné à relier cinq États mexicains (Yucatán, Quintana Roo, Campeche, Tabasco et Chiapas). Cette ligne de plus de 1 500 kilomètres doit faciliter le transport des voyageurs et des marchandises et créer des liens entre les grands centres touristiques et les communautés rurales. Selon ses promoteurs, il doit permettre de favoriser le développement économique et social de cette région. Pour les touristes et les voyageurs, il permettra de découvrir les hauts lieux de la culture Maya.

 

Ewa

Pourquoi Alstom a finalement accepté le marché du RER B

RER B Aulnay-sous-Bois

Sortie du tunnel pour le futur RER B : une nouvelle réunion le 13 avril du groupement RATP-SNCF Voyageurs et du consortium Alstom-Bombardier-CAF a permis de confirmer l’engagement des constructeurs dans l’exécution du marché du RER B, se sont réjouis la RATP, la SNCF et Ile-de-France Mobilités dans un communiqué.

Ce contrat de 2,56 milliards d’euros avait été notifié le 5 février dernier malgré l’annonce, fin janvier, d’Alstom de retirer l’offre de Bombardier qu’il venait d’acquérir.

« Les discussions intervenues depuis plusieurs semaines ont permis au nouveau groupe Alstom-Bombardier de prendre connaissance des termes du contrat et de lever leurs inquiétudes, permettant dorénavant au groupement Alstom-Bombardier/CAF de s’engager dans l’exécution du contrat sur la base du marché notifié », souligne le communiqué.

Il semble que ce soit l’assurance donnée par les donneurs d’ordre d’examiner les risques qui seraient découverts au fur et à mesure de l’exécution du contrat qui ont permis cette avancée. « Des amendements pourraient ainsi être ajoutés pour rendre le contrat viable », explique une source proche du dossier.

« Nous ne paierons pas plus », a affirmé de son côté Valérie Pécresse. Toutefois, a nuancé la présidente de l’Ile-de-France, également à la tête d’Ile-de-France Mobilités, il sera possible dans le cadre de la réalisation industrielle de regarder si « des prestations complémentaires » ont été oubliées et seraient de nature « à sécuriser le contrat ».Selon elle, cela se fait classiquement dans toutes les exécutions de contrat. « Nous nous sommes engagés à regarder de bonne foi toutes les prestations complémentaires que réclamerait Alstom. Il faudra que ces prestations soient complémentaires et nécessaires », précise-t-elle.

Jusque-là, pour expliquer son refus du contrat, Alstom indiquait juger l’offre non viable économiquement. « Henri Poupart-Lafarge explique qu’il ne peut pas prendre une décision qui fragiliserait Alstom », signifiait à VRT un porte-parole du constructeur au début de l’année.

L’écart de prix entre la proposition de Bombardier/CAF et celle d’Alstom, candidat malheureux, tournerait autour de 500 à 600 millions d’euros. Un écart énorme, « inquiétant » selon Alstom, qui s’interrogeait aussi sur les engagements pris par Bombardier et CAF sur le calendrier de livraisons des rames. Et qui avait conduit Alstom à multiplier les recours devant les tribunaux, suscitant l’indignation d’IDFM, l’autorité organisatrice, et de la RATP et la SNCF. « Alstom nous a informés qu’il allait retirer tous ses recours contentieux », indique Valérie Pécresse.

Selon elle, « Alstom s’est rendue à la raison ». L’élue explique aussi le changement d’attitude du constructeur par la pression à laquelle il a été soumis. « Nous avons fait preuve de fermeté et avons rappelé la loi », estime la présidente de région, avant d’envisager que « le fait que 25 % du carnet de commandes du constructeur soient fournis par les achats d’IDFM » a aussi pu jouer.

Le contrat qui va être exécuté doit permettre d’améliorer la qualité de service sur la ligne B du RER avec la mise en service progressive de 146 trains neufs qui remplaceront les rames des types MI79 et MI84 actuellement en circulation. La livraison du premier train est toujours prévue fin 2025.

M.-H. P.

Ewa

Alstom achète le groupe Flertex pour étendre ses compétences sur les systèmes de freins

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Quand s’arrêtera la fringale d’Alstom ? Après avoir annoncé hier l’acquisition de Helion Hydrogen Power, le constructeur réalise ce 2 avril son sixième achat durant ces 12 derniers mois (dont sa fusion avec Bombardier) en avalant le groupe Flertex, spécialisé dans la conception et la fabrication de garnitures de frein (plaquettes, semelles), notamment pour le ferroviaire mais aussi pour d’autres applications industrielles.

L’équipementier emploie environ 120 salariés, principalement sur deux sites, à Gennevilliers dans les Hauts-de-Seine et à Saint-Florentin dans l’Yonne. Elle a enregistré en 2020 un chiffre d’affaires de 16 millions d’euros. Une activité réalisée principalement en France et en Europe mais aussi en Amérique Latine.

Cette acquisition complète celle réalisée il y a neuf mois avec la société Ibre, spécialisée dans le développement, la fabrication et la fourniture de disques de frein en fonte ou en acier. Ainsi, Alstom va disposer d’une compétence complète sur le système de frein, « un élément clé des performances techniques globales des trains », explique Alstom.

Les deux entreprises, achetées par le constructeur ferroviaire, vont conserver chacune leurs sites mais elles seront coiffées par un management opérationnel unique : Gérald Janin, président d’Alstom Ibre, dirigera la nouvelle entité au sein du groupe Alstom.

M.-H. P.

Ewa

Marché du RER B. Catherine Guillouard regrette l’absence d’engagement d’Alstom

RER B Aulnay-sous-Bois

Interrogée à propos du marché du RER B attribué en début d’année à CAF et Bombardier, Catherine Guillouard a rappelé ce matin lors d’une intervention devant l’Association des journalistes des transports et des mobilités (AJTM) que deux réunions avec les constructeurs (CAF et Alstom, le repreneur de Bombardier) avaient eu lieu le 10 février et le 4 mars dernier, pour « lever les réserves sur les conditions d’exécution du contrat ». La PDG de la RATP a précisé : « Nous avons regardé les points techniques. Mais nous regrettons l’absence d’engagement de Alstom ».

De plus, elle a indiqué que Alstom avait déposé un sixième recours « dont on connaîtra le résultat dans quelques mois puisque le juge a renvoyé l’affaire sur une question de compétence ». Et la patronne de la RATP de conclure : « Notre détermination de faire avancer le projet est totale. Nous poursuivons les contacts avec Alstom et prendrons toutes les mesures nécessaires pour faire appliquer le contrat ».

Ewa

Bouygues va céder la moitié de sa participation dans Alstom

Centre d'excellence intérieurs Alstom

Bouygues a annoncé, le 9 mars, qu’il allait céder la moitié de sa participation dans Alstom (actuellement de 6,35 %) pour plus de 500 millions d’euros, afin de ne garder que 3,12 % du capital du constructeur ferroviaire. Dans un communiqué, il indique « son intention de céder 12 000 000 d’actions Alstom dans le cadre d’un placement auprès d’investisseurs ».