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Ewa

Le boom des billets d?occasion

En réponse à la crise et aux tarifs SNCF, les voyageurs deviennent de plus en plus adeptes de « la débrouille ». Une aubaine pour les sites de revente des billets Avec la crise et des tarifs SNCF qui augmentent régulièrement et qui sont jugés globalement opaques et élevés, les voyageurs se tournent de plus en plus vers le système D. Et ce sont les sites de revente des billets d’occasion qui se frottent les mains : ils ont vu leur fréquentation plus que doubler en 2009. Ainsi Zepass.com affiche-t-il un record de 113 200 billets vendus contre 52 900 en 2008, soit une hausse de 114 %. Quant à kelbillet.com , près de 110 000 billets s’y sont échangés contre moins de 50 000 en 2008, soit 120 % de croissance. Les billets sont revendus sur Zepass.com avec une décote moyenne de 15 % sur leur valeur initiale, elle-même souvent promotionnelle. Ainsi le prix de revente moyen d’un Paris – Marseille s’est établi à 40,14 euros en décembre, soit la moitié du nouveau tarif Loisir 2de classe (82,40 euros). Selon ces sites spécialisés, la tendance devrait se poursuivre. Le fondateur de kelbillet.com Yann Raoul pronostique « entre 30 et 50 % d’augmentation », tandis que Zepass.com table lui sur le doublement de son volume de transactions, en 2010. « Les tarifs TGV Loisir augmentent, alors que ceux des billets promotionnels non échangeables et non remboursables sont gelés, explique Quentin Schaepelynck, son fondateur. Le différentiel entre les tarifs promotionnels et les tarifs standard va donc s’accroître, et il sera encore plus tentant financièrement de réserver ses billets de train plusieurs mois à l’avance, avec tous les risques d’annulation que cela implique. »
Cécile NANGERONI

Ewa

Grenoble teste la vente par Internet

Depuis le 20 novembre, un panel de 300 clients, dont 70 % d?abonnés, expérimentent pendant trois mois l?achat sur Internet de leurs tickets Tag, le réseau urbain de Grenoble Depuis le 20 novembre, un panel de 300 clients, dont 70 % d’abonnés, expérimentent pendant trois mois l’achat sur Internet de leurs tickets Tag, le réseau urbain de Grenoble. Les applications développées par Transdev pour le réseau de Montpellier (dont l’expérimentation commerciale a débuté en octobre 2009) et pour le réseau grenoblois constituent « une première en France, puisqu’elles permettent d’effectuer de chez soi le paiement et le rechargement de son titre de transport sur un site sécurisé », explique-on chez Transdev. Une première déclinée aussi à Strasbourg. Le système nécessite l’utilisation soit d’une clé USB, soit d’un lecteur de cartes se connectant au port USB de l’ordinateur. La première est nominative et fait ensuite office de titre de transport, tandis que le second permet de recharger les cartes de toute la famille, qu’elle soit Tag ou Oùra! (le titre multimodal). Sur le site du transporteur, le client dispose ensuite d’un espace personnel où consulter le contenu de sa carte ou de sa clé, mais aussi le temps d’attente des bus ou trams aux arrêts sélectionnés. Autant de services qui avaient été plébiscités lors de l’expérimentation Mobitag (un produit identique mais sur téléphone mobile) menée en 2007 avec Bouygues Telecom. 100 clients testeront la clé USB personnalisée, les 200 autres un lecteur de cartes. Le grand public devrait bénéficier de ce nouveau service de vente à distance à partir de juin 2010.
 

Cécile?NANGERONI

Ewa

KorriGo à la conquête de la Bretagne

Dans la région de Rennes, plus de 150 000 personnes ont désormais la « carte bretonne des déplacements » dans leur portefeuille Baptisé KorriGo, l’équivalent local du Navigo francilien et de l’OùRA rhônalpin a été lancé en mars 2006 sur le réseau Star. Bien sûr, les usagers ont eu un peu de mal à se faire à la validation systématique de leur titre de transport au début, mais ce pass qui ressemble à une carte de crédit est maintenant rentré dans les mœurs. Il ne sert pas qu’aux abonnés, puisque le carnet de dix tickets (électroniques, en l’espèce) est moins cher avec. KorriGo permet de charger plusieurs tickets ou abonnements sur le même support, facilitant le passage d’un mode à l’autre sans repasser à la caisse. Depuis son apparition sur le réseau urbain rennais, la carte KorriGo a été introduite (fin 2006) sur les TER de l’étoile ferroviaire de Rennes puis (à la rentrée 2007) sur les cars Illenoo du conseil général d’Ille-et-Vilaine. Depuis janvier 2009, la région Bretagne a étendu son périmètre KorriGo jusqu’à Saint-Malo, Dinan, Saint-Brieuc, Vannes et Châteaubriant, ainsi que sur la ligne transversale Dol-Dinan-Lamballe. L’objectif du conseil régional est de couvrir à terme toute la Bretagne. En ce qui concerne les transports urbains, Brest et Lorient, notamment, réfléchissent à son adoption. A noter que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a rendu public en juin un avertissement à l’encontre de la société Keolis Rennes, notant que s’il existait bien une version anonyme de KorriGo, celle-ci coûtait plus cher que le pass nominatif (selon l’âge de l’utilisateur) et que seuls des tickets à l’unité pouvaient y être chargés, et non un abonnement. La Cnil reprochait aussi à l’exploitant de n’avoir pas suffisamment « vendu » la version anonyme. Des mesures correctives ont depuis été apportées, cette dernière ayant été améliorée. Mais la nouvelle formule n’est valable que sur le réseau Star, ne peut pas être reconstituée en cas de perte ou de vol et ne permet de charger que des titres à tarif normal : difficile en effet de vendre un abonnement jeunes ou personnes âgées sans connaître la date de naissance du voyageur !
 

Réalisé en partenariat avec Rennes Métropole

Ewa

La Haute-Normandie fédère dix AO dans une billettique interopérable

Le conseil régional de Haute-Normandie a confié à ACS, début juillet 2009, la conception et le déploiement d?une solution billettique complète qui assurera l?interopérabilité des transports sur l?ensemble du territoire A la tête d’un groupement d’achats fédérant dix autorités organisatrices, le conseil régional de Haute-Normandie a confié à ACS, début juillet 2009, la conception et le déploiement d’une solution billettique complète qui assurera l’interopérabilité des transports sur l’ensemble du territoire. Le contrat prévoit la fourniture d’un système innovant, composé de deux entités. A savoir : un système billettique mutualisé, qui centralisera l’exploitation des équipements de distribution, de validation et de contrôle, et une structure d’exploitation commune qui pilotera les moyens de vente en ligne et à distance et assurera la compensation financière entre opérateurs. Cette dernière sera interfacée avec les systèmes billettiques du réseau urbain de Rouen et des trains régionaux de la SNCF. Ultérieurement, son architecture ouverte permettra d’intégrer d’autres partenaires.
Le système sera mutualisé entre les dix réseaux membres du groupement d’achats – parmi lesquels les cars TER, les bus interurbains départementaux de l’Eure et de la Seine-Maritime, ainsi que les réseaux urbains des agglomérations de Fécamp, Evreux, Elbeuf ou Dieppe. L’interopérabilité reposera sur la carte sans contact Atoumod, permettant de charger les abonnements régionaux ou combinés, les cartes à valeur et à tarification zonale et les titres locaux. Cette carte sera rechargeable par Internet. Le calendrier de déploiement prévoit la mise en service des deux systèmes centraux en mai 2011 et que l’ensemble soit opérationnel en septembre 2012.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

A Belfort, le paiement différé dope la fréquentation

La billettique en général et le post-paiement en particulier permettent de bien connaître tous ses clients, et donc de faire du marketing direct, en adaptant le message au profil du client et à ses habitudes Un an après sa mise en œuvre, le Certu a évalué les effets du post-paiement sur le nouveau réseau Optymo du territoire de Belfort. Bilan : près d’un million de voyages supplémentaires et une hausse de fréquentation de 25 %. Concrètement, après l’acquisition gratuite d’une carte à puce, le voyageur circule librement sur le réseau belfortain et reçoit, le 10 du mois, la facture correspondant aux trajets effectués le mois précédent. Le tarif avait au préalable été simplifié avec une zone unique à 0,80 euro le trajet, plafonné à 31 euros par mois. Avantages du post-paiement : moduler les tarifs (en accordant des réductions a posteriori) ; adapter la facturation à la situation, notamment en cas de grève (seules les personnes prenant le bus ces jours là sont remboursées). La post-facturation permet aussi de mettre en place facilement des actions commerciales sur une journée ou de moduler les tarifs selon les heures de la journée. « D’une manière générale, le post-paiement est un outil majeur facilitant l’usage des transports collectifs, conclut le Certu. La billettique en général et le post-paiement en particulier permettent de bien connaître tous ses clients, et donc de faire du marketing direct, en adaptant le message au profil du client et à ses habitudes. » D’autres réseaux pourraient bien s’inspirer de cette réussite.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

L?abonnement Kartatoo fonctionne partout

Depuis le 9 septembre, l’abonnement mensuel zonal et intermodal du Languedoc-Roussillon, Kartatoo, fonctionne sur l’intégralité du territoire régional Kartatoo permet d’emprunter de façon illimitée à la fois les transports urbains et les TER pour les trajets domicile – travail ou lieu d’études. L’Hérault, le Gard, l’Aude et les Pyrénées-Orientales étaient déjà desservis, la Lozère l’est aujourd’hui. Lancé par la région en avril 2007, ce titre permet jusqu’à 38 % d’économie sur le cumul des abonnements. Ainsi, par exemple, un Kartatoo Etudes entre Narbonne et Carcassonne coûte 81,50 euros par mois, alors que l’achat de trois abonnements (train et deux réseaux urbains) revient à 118,40 euros (soit 31 % de réduction). Autre avantage : l’octroi d’une réduction de 50 % pour tout achat d’un autre billet de TER en Languedoc-Roussillon, région où la fréquentation des TER (18 000 voyageurs par jour) s’est accrue de 30 % en cinq ans. Fin juillet, Kartatoo totalisait 3 913 abonnés. L’enquête réalisée en 2008 a montré qu’un abonné sur cinq ne prenait pas le train avant la création de la carte. Plus de la moitié des scolaires et les deux tiers des actifs se sont abonnés à un réseau de transport urbain en adhérant à Kartatoo, qui se décline désormais aussi en version titre annuel. La prochaine évolution prévue est un passage prochain à la billettique, avec comme objectif l’interopérabilité des systèmes d’ici 2012. L’utilisateur pourra alors valider directement dans les trains, mais aussi dans le tramway de Montpellier, les bus de Nîmes ou de Perpignan.
 

Cécile NANGERONI

Ewa

La Cnil épingle Keolis à Rennes

L’avertissement de la Cnil concerne le manque d’information et le tarif sur la version anonyme de la carte Korrigo La Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a rendu public en juin un avertissement à l’encontre de la société des transports urbains rennais, géré par Keolis. « Nous avons été saisis de plusieurs plaintes concernant le pass de transport Korrigo anonyme, en raison d’une information jugée quasi inexistante et de tarifs supérieurs à celui du pass nominatif », témoigne Olivier Lesobre, chef du service de la gestion des sanctions de la Cnil. Un contrôle, diligenté en octobre 2008 dans les locaux de Keolis Rennes (Star), a révélé que le pass anonyme coûtait entre 2,5 et 4 fois plus cher que le pass nominatif (selon l’âge de l’utilisateur) et que seuls des tickets à l’unité pouvaient y être chargés, et non un abonnement. La Cnil a également noté que l’information diffusée pour la commercialisation de la carte anonyme était insuffisante : 53 pass anonymes en circulation contre 186 650 pass nominatifs. Sans parler des problèmes liés à l’informatique (conservation, sécurité et confidentialité des données). « Dès le lancement de la carte Korrigo en 2006, la carte anonyme existait et nous avons nommé un correspondant informatique et liberté. Par ailleurs, nous avons conservé l’utilisation des tickets papier », justifie Ronan Coatanea, directeur marketing de Keolis. Pour répondre à l’avertissement de la Cnil, Keolis a rendu mi-juin un rapport très détaillé d’actions et de mesures correctives. D’une part, la communication sur la carte anonyme va être renforcée, tant sur Internet que sur les nouveaux guides papier. Par ailleurs, une nouvelle formule de carte anonyme va être mise en service d’ici la fin de l’année, après validation de Rennes métropole. Cette nouvelle carte anonyme restera probablement payante, alors que la carte nominative est gratuite. « En cas de perte, l’usager paie le coût de sa reconstitution. Avec la carte anonyme, ce principe ne peut pas s’appliquer, de même que l’abonnement est perdu avec la carte, contrairement à la carte nominative. Nous allons informer également sur ce sujet », justifie Ronan Coatanea. La Cnil s’intéresse actuellement de près aux cartes de transport et vérifie les engagements des opérateurs. Le pass Navigo de la RATP a été épinglé en 2009, mais la communication est en voie d’être rectifiée. Pour Keolis Rennes, la Cnil va vérifier la mise en place des mesures correctives. « L’affaire est toujours en cours d’instruction, mais l’avertissement a bien joué son rôle et nous n’avons pas d’inquiétudes sur ce dossier », conclut Olivier Lesobre.
 

Sylvie LUNEAU

Ewa

Un syndicat mixte pour une billetique commune

Le Syndicat mixte des transports des Bouches-du-Rhône a été installé le jeudi 11 juin. Outre le département, ce syndicat de préfiguration réunit six AOT Le Syndicat mixte des transports des Bouches-du-Rhône a été installé le jeudi 11 juin avec la première réunion de son conseil d’administration, présidé par Jean-Noël Guérini, président du conseil général. Outre le département, ce syndicat de préfiguration réunit six AOT, dont la communauté urbaine de Marseille. Manquent à l’appel le Syndicat intercommunal des transports urbains du Bassin minier, AOT des communes de Gardanne et Gréasque, et surtout la Communauté d’agglomération du Pays d’Aix, que Jean-Noël Guérini ne désespère pas de rallier au syndicat… après les nouvelles élections municipales d’Aix-en-Provence, les 12 et 19 juillet. Autre difficulté en vue, l’unification des tarifs avec des réseaux d’importance disparate (160 millions de voyageurs par an pour la seule Régie des transports de Marseille sur les 180 que regroupe le syndicat) et… des transports gratuits à Aubagne. Jean-Noël Guérini ne veut toutefois pas une intégration totale des lignes de transports urbains… « pour les deux ou trois ans qui viennent ». Le syndicat intègre les trois agents de l’association Le Pilote, qui gère un site d’information des transports par Internet. Il disposera d’un budget de fonctionnement d’un million d’euros et va bénéficier de 50 millions d’euros d’investissements par le conseil général. La création de pôles d’échanges et de la billettique sera deux des grands chantiers. Le conseil d’administration se réunit le 2 juillet pour lancer une étude sur l’état de lieux du transport en commun dans les Bouches-du-Rhône, déterminer sa stratégie et s’ouvrir à des partenaires comme la CCI de Marseille, la SNCF et la RTM.
 

José SOTO

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La SNCB lance l’e-billet et se met au SMS

La SNCB s’engouffre dans les nouvelles technologiques pour vendre des billets et améliorer ses services Depuis quelques années déjà, la SNCB élargit ses canaux de vente. En mars 2004, elle lançait l’achat de billets en ligne et a depuis constamment élargi son offre (billets pour le transport d’un vélo ou d’un animal, billets pour l’aéroport…). Près d’un million de billets de train ont été vendus sur sncb.be, site qui permet aussi depuis le 1er avril de valider sa carte train. Depuis le 4 juin, afin de simplifier encore la procédure, elle propose la possibilité de voyager sur simple présentation de sa carte d’identité électronique. Le billet est en effet envoyé automatiquement sur la carte d’identité électronique. Plus besoin d’imprimante, et le risque d’oublier son billet ou de le perdre est quasi nul. Au moment du contrôle, sa carte sera scannée et son billet vérifié. Steven Vanackere, vice-Premier ministre et ministre des Entreprises publiques, a souligné que « l’utilisation de la carte d’identité électronique comme titre de transport permettra dans le futur d’accorder et de contrôler les tarifs sociaux automatiquement ».

La SNCB lance également au 1er septembre plusieurs services, via SMS (payant) ou Windows Live (gratuit). Grâce à la nouvelle gamme d’outils Train Info Services, le voyageur détenteur d’une carte train commerciale aura la possibilité d’être informé en temps réel de la circulation des trains partout où il se trouve. L’inscription à My Train Info se fera uniquement en ligne sur www.sncb.be. Une fois sélectionnés les parcours trains habituels, en cas de perturbation, avant son départ, le client recevra une information contenant le statut du train choisi pour le suivi en temps réel, ainsi que deux alternatives les plus rapides pour réaliser son voyage. Avec SMS 2828, il pourra quasi instantanément obtenir des informations horaires actualisées sur n’importe quel voyage en Belgique. Ce service complète le panel de moyens d’information existant avant et pendant le voyage en train – Internet, brochures, affiches, call center, annonces sonores, écrans en gare, personnel. Avant le lancement, la SNCB teste ces deux services début juin.

Ewa

L’outil coréen T-Money

L’un des principaux outils de la réforme des transports publics de Séoul est T-Money L’un des principaux outils de la réforme des transports publics de Séoul est T-Money. La ville a créé en 2004 un système de gestion des bus dit « quasi public management », qui supposait la mise en place d’une tarification intégrée entre les bus, les métros et les taxis. Instrument de cette tarification, T-Money est la marque de Korea Smart Card Co, Ltd. Cette joint-venture associe la municipalité de Séoul (Seoul Metropolitan Government) et LG Group. LG, conglomérat présent dans l’électronique, la chimie, et les télécommunications, a été choisi à la suite d’un appel d’offres qui l’a opposé à un autre « chaebol », Samsung.
Particularité de T-Money, par rapport à une carte comme Octopus que l’on trouve à Hongkong : son ouverture. Onze sociétés de cartes de crédit et trois opérateurs téléphoniques ont accompagné l’opération T-Money. Ce qui a tout de suite permis d’accepter comme mode de paiement d’autres cartes que celles de transport et de faire du téléphone portable un moyen de paiement. Résultat : 20 millions de transactions quotidiennes. T-Money n’entend pas en rester là.