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Ewa

La Commission européenne face au nouveau mariage Alstom-Bombardier

Commission eurppéenne

Il y a tout juste un an, la Commission européenne bloquait l’absorption d’Alstom par Siemens. La menace chinoise et la nécessité de développer des technologies numériques, évoquées pour justifier l’opération, n’avaient pas convaincu Bruxelles, qui craignait une position ultra-dominante en Europe de ce nouvel acteur dans les domaines de la signalisation et de la grande vitesse ferroviaire.

Bruxelles doit désormais écrire un nouveau chapitre pour déterminer sa position sur le projet d’union entre Alstom et Bombardier et sans doute définir une nouvelle doctrine européenne sur la concurrence. Pour plusieurs observateurs, l’enjeu politique devrait primer sur l’analyse juridique. «Il y a eu de tels remous politiques à Paris et à Berlin, lorsque Margrethe Vestager, alors commissaire européenne à la Concurrence (elle est aujourd’hui vice-présidente de la Commission, ndlr) a dit non au mariage Siemens-Alstom qu’il paraît peu probable que Bruxelles s’oppose à ce nouveau mariage. Et, maintenant que CRRC est arrivé en Europe, on voit bien que l’argument de dire qu’il n’y a pas de concurrence chinoise était soit stupide, soit technocrate », souligne l’un d’eux.

Toutefois, vu les niveaux de marchés détenus par Alstom et Bombardier ensemble (95 % du matériel roulant en France notamment), si on applique les règlements sur les seuils, l’opération devrait logiquement conduire à des cessions d’actifs. « Ce serait étonnant si ce n’était pas le cas. Les concurrents vont d’ailleurs sans doute interpeller la Commission européenne sur la question », poursuit cet expert. Quant aux grands clients que sont les transporteurs, ils ne sont jamais ravis de se retrouver face à des fournisseurs en situation de monopole…

M.-H. P.

Ewa

Le Regio 2N francilien présenté dans sa nouvelle livrée

Nouvelle livrée Ile de France

Le 19 octobre au Technicentre SNCF de Villeneuve (94), c’est en présence de Pierre Messulam, DG adjoint SNCF Transilien et de Laurent Bouyer, président de Bombardier Transport France, que Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et d’Ile-de-France Mobilités, a présenté le Regio 2N destiné au réseau Transilien, ainsi que la nouvelle livrée qui sera appliquée aux trains de la région.

Produit par Bombardier à Crespin (59), le Regio 2N doit commencer à circuler en Ile-de-France le 8 décembre prochain, après avoir été mis en service dans sept autres régions. Adaptée à la zone dense, la version francilienne du Regio 2N pourra accueillir, en unités triples, 1 746 voyageurs assis sur un total de 3 120. Une première tranche de 42 rames sera déployée progressivement sur la ligne R d’ici fin 2018, permettant d’en éliminer les dernières rames Z 5300 – alias « inox » ou « petits gris ». Les cinq premières rames Regio 2N circuleront entre Melun et Montereau (77). D’ici fin 2021, au moins 125 nouvelles rames Regio 2N doivent être livrées sur le réseau francilien, suite à la commande de 83 éléments supplémentaires pour les lignes N, R et D.

Nouveauté supplémentaire présentée le 19 octobre : les Regio 2N de la ligne R sont les premiers trains à revêtir des couleurs d’Ile-de-France Mobilités (anciennement Stif). « Cette nouvelle livrée sera progressivement déclinée sur l’ensemble des véhicules franciliens – bus, trains, métros, tramways – au fur et à mesure de leur déploiement », précise Ile-de-France Mobilités.

Ewa

Contrat à un milliard d’euros pour Bombardier au sud-ouest de Londres

Bombardier Aventra

Un milliard d’euros, soit 895 millions de livres sterling. C’est le montant du marché que Bombardier a conclu avec First Group et MTR, qui reprendront le 20 août la franchise au sud-ouest de Londres. D’une part, l’usine de Derby, au cœur de l’Angleterre, devra livrer d’ici décembre 2020 pas moins de 90 rames automotrices de cinq ou dix caisses (soit un total de 750 voitures) de la plateforme Aventra, qui à partir de la mi-2019 formeront les trains de banlieue au départ de Waterloo. De plus, Bombardier fournira les services techniques au dépôt de Wimbledon et les pièces de rechange de ces trains pendant sept ans, avec une option de prorogation. Le tout est financé par Rock Rail, consortium britannique d’investissement dans le matériel roulant.

Cette commande est la quatrième pour la plateforme Aventra, la nouvelle génération d’automotrices produites en Angleterre par Bombardier pour le réseau britannique, après les rames pour Crossrail, l’Overground et la franchise East Anglia. Les 90 futures rames South West, à caisses en aluminium, offriront de larges intercirculations, la climatisation, le Wi-Fi gratuit, des prises USB, 2+2 sièges de front, un système d’information voyageurs et des toilettes accessibles aux PMR. De quoi améliorer substantiellement le confort sur les lignes concernées.

Ewa

Siemens et Bombardier pourraient faire trains communs

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Bloomberg l’a publié le 11 avril. Selon l’agence d’information économique et financière, Siemens et Bombardier pourraient réunir leurs activités

ferroviaires (construction, signalisation) dans une entreprise commune estimée au bas mot à 10 milliards d’euros. Soit l’addition de Siemens Mobility, évalué par les analystes de la Société Générale à 7,2 milliards d’euros, et de 70 % des cinq milliards d’euros que vaut Bombardier Transport selon Veritas Investment Research Corp. 70 %, car le groupe familial Bombardier a cédé l’an dernier 30 % à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Les chiffres d’affaires sont comparables. Pour 2016, Siemens Mobility a réalisé un CA de 7,825 milliards d’euros, et un bénéfice de 678 millions. Bombardier Transport un CA de 7,128 milliards d’euros, et un Ebit de 373 millions.

Les discussions entre les deux groupes seraient bien avancées. Elles auraient commencé au début de 2017 et pourraient conduire à un deal vers le milieu de l’année. Comme il se doit, à Munich (Siemens) et à Montréal (Bombardier), les groupes se sont abstenus de commenter. Les Bourses y ont cru, les actions des deux groupes s’appréciant, tandis que celles d’Alstom fléchissaient.

Cela fait vingt ans qu’on parle de la fusion prochaine de deux des trois grands européens du ferroviaire. En pointant des surcapacités, eu égard au marché. Mais depuis le temps qu’on parle d’Airbus du ferroviaire, les trois « gros » sont toujours là. Et, même, des constructeurs de moyenne importance sont venus les taquiner. Mais, depuis deux ans, on a l’impression que l’heure d’un regroupement a sonné.

C’est la création de CRRC, le 1er juin 2015, du méga chinois né de la fusion de CSR et de CNR, qui force les groupes à l’envisager.

La cession d’Alstom Power à General Electric a donné lieu à des contre-propositions. Siemens tend alors la main à Alstom : créons un Power commun plutôt allemand, et un Transportation plutôt français (mais avec une signalisation nettement allemande…). Ce fut nein à la proposition de Joe Kaser, le patron de Siemens, qui veut créer un groupe capable d’affronter la menace chinoise. Puis Emmanuel Macron, succédant à Arnaud Montebourg au ministère de l’Economie et de l’Industrie, envisage une alliance Alstom-Bombardier. Sans succès. Manquait la troisième combinaison possible. La solution Siemens-Bombardier. La voici avancée.

La situation actuelle des deux groupes est contrastée. Bombardier va mal. Et Siemens va bien. Bombardier, pris à la gorge par les déboires de son aéronautique, a cherché à vendre sa branche transport ou à en ouvrir le capital. Le groupe, sauvé par l’entrée au capital de la Caisse de dépôt et placement du Quebec, a pu repousser une offre de CRRC. Mais, d’un avis général, l’entrée au capital de la Caisse ne faisait que retarder l’heure des échéances. Pour les Canadiens, c’est l’aéronautique qui est centrale. C’est d’ailleurs la branche Transport du groupe, essentiellement européenne, qui doit être la principale victime d’un nouveau plan de suppression de 7 500 emplois dans les effectifs de tout le groupe, d’ici  fin 2018…

En revanche, la rentabilité du Transport de Siemens s’est améliorée ces trois dernières années. Et cette activité fait partie d’un groupe extrêmement puissant, qui approche les 80 milliards d’euros. En toute logique, l’accord, s’il se conclut, devrait accorder une place déterminante au conglomérat allemand. D’autant qu’il est constant dans sa politique de proposition d’alliance européenne.

Si jamais les groupes s’entendent, il faudra convaincre les syndicats qui savent bien que la fusion veut dire casse sociale, dans un contexte difficile pour Bombardier. Et convaincre la Commission européenne qui, jusqu’à présent, a soigneusement évité la création de champion européen, au nom de la concurrence libre et non faussée.

Les temps ont changé. On entend parler de-ci de-là de « protectionnisme européen ». Henri Poupart-Lafarge, le patron d’Alstom, reconnaît que les industriels européens doivent cesser d’être face à leurs concurrents asiatiques « les idiots de la bande ». Le Parlement européen a adopté la résolution de la députée SPD allemande Martina Werner, invitant la Commission à soutenir l’industrie ferroviaire européenne.

Reste qu’il faudra sans doute, si l’opération a lieu, que le nouveau groupe cède des activités en Allemagne, où Bombardier et Siemens sont puissamment implantés. Comme l’est d’ailleurs Alstom. C’est à la faveur de tels regroupements que Stadler a pris son essor. Et c’est un dossier que devrait suivre de près le groupe chinois CRRC, à la recherche d’acquisitions, et qui a du mal à conclure avec Skoda.

Au Canada, la presse est extrêmement attentive à l’affaire Bombardier. Mais ces derniers temps, ce n’est pas la perpective de la fusion avec Siemens qui l’a intéressée. C’est l'augmentation -jugée scandaleuse – que voulaient s’accorder les six principaux dirigeants de Bombardier. 50 % pour 2016 par rapport à l’exercice précédent. Une enveloppe passant de 21,9 millions à 32,6 millions de dollars US. Ils ont foiré la mise en service de leur avion régional, l’argent public les a sauvés. Ils ont considéré qu’ils devaient en être récompensés. Tollé au Canada. Ils ont dû y renoncer, mais provisoirement. L'augmentation interviendrait en 2020.

F. D.

Ewa

Le premier train Boa à deux niveaux

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Un entretien avec Benoît Stéphan, vice-président commercial et marketing d’Alstom en France. Ville, Rail & Transports. Comment se présente le nouveau train ?
Benoît Stéphan. Partons de l’expérience passagers. Nous savons qu’il y a dans les RER des passagers qui montent à bord et restent 5 minutes, d’autres 20 minutes, d’autres une cinquantaine. Nous avons créé trois espaces voyageurs différenciés selon ces types de voyages. On accède au train par une plateforme centrale, dans une zone à un niveau, où se fait l’intercirculation entre deux voitures. Cette vaste plateforme offre un confort debout.
Dans l’espace à deux niveaux, on trouve une zone basse mixte destinée aux voyageurs qui restent à bord une vingtaine de minutes. On trouve là un confort urbain, avec des sièges relevables, un éclairage un peu « peps », un mélange de confort assis et debout, de grands écrans d’information pour les voyageurs. En haut, une zone offrant un confort régional, avec une lumière plus chaude et adoucie, pour un voyage au long cours. Nous avons beaucoup travaillé sur la lumière pour accueillir les voyageurs et différencier les espaces. J’ajoute, à propos du confort, que les trains seront climatisés.

VR&T. Quelle capacité ?
B. S. L’X’Trapolis Cityduplex offrira 1 563 places en configuration six voitures, 1 861 avec sept voitures. C’est très important, compte tenu de normes modernes de confort.

VR&T. Comment accède-t-on au train ?
B. S. Deux portes larges donnent accès à chaque zone à un niveau. Du fait des différences de hauteurs de quai, nous équipons les voitures de dispositifs d’emmarchement mobile. Les voitures à un niveau pourront accueillir les personnes se déplaçant en fauteuil roulant de plain-pied.

VR&T. Quelles performances ?
B. S. Nous offrons des performances d’accélération extrêmement élevées, avec, dans la configuration à six voitures, huit bogies moteurs sur 12 bogies. Ces performances sont requises par le système Nexteo, pour que les trains puissent quitter les quais rapidement. Nous pouvons garantir à la fois une forte diminution de la consommation d’énergie, une récupération de l’énergie de freinage électrodynamique, ce qui diminue aussi les émissions de particules, et une réinjection du courant sur le réseau. Nous offrons 25 % d’économie d’énergie par rapport à un train circulant aujourd’hui sur le réseau.

VR&T. Quels autres efforts sur les coûts ?
B. S. Nous avons aussi beaucoup progressé sur le coût de maintenance, en travaillant dès la conception sur la maintenabilité du train, sur les pas de maintenance. Les deux voitures d’extrémité sont des voitures à un niveau dans lesquelles nous avons concentré tous les équipements techniques en toiture, ce qui permet une très bonne maintenabilité. En tout, nous arrivons à une réduction de 20 % par rapport aux coûts de maintenance d’un train connu sur le réseau.
Je souligne aussi que 85 % du train sera recyclable.

Propos recueillis par F. D.

Ewa

Belgique – La SNCB commande jusqu’à 1 362 voitures deux niveaux au consortium Bombardier-Alstom

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Le 18 décembre, le consortium regroupant Bombardier Transport et Alstom Transport a signé un contrat cadre portant sur la fourniture à la SNCB d’un maximum de 1 362 voitures à deux niveaux du nouveau type M7… La valeur totale de ce contrat s’élève à environ 3,3 milliards d’euros, dont 2,1 milliards pour Bombardier et 1,2 milliard pour Alstom. La commande ferme prévoit 445 voitures, chiffrées à 1,3 milliard d’euros (787 millions pour Bombardier, environ 471 millions pour Alstom), à livrer entre septembre 2018 et 2021.

Cette commande par la SNCB d’un nouveau matériel à deux niveaux apte à 200 km/h sur les lignes principales belges, ainsi que sur les liaisons avec les réseaux néerlandais et luxembourgeois « y compris certaines lignes à grande vitesse » a été passée au terme d’un processus de sélection rigoureux, qui aura duré trois ans. La SNCB a finalement renouvelé sa confiance au consortium Bombardier-Alstom, qui lui avait déjà livré 492 voitures M6 et qui présente en outre l’avantage de faire travailler des sites belges ou à proximité (Valenciennes). Ainsi, le site de Bombardier de Bruges fournira 65 voitures-pilotes « multifonctionnelles » (PMR, espaces spécialisés) et 290 remorques intermédiaires. De son côté, Alstom construira 90 motrices (BMX) de conception nouvelle à Valenciennes, où cette commande est la bienvenue. Le Centre d’excellence électrique et signalisation d’Alstom à Charleroi sera également mis à contribution pour les équipements de traction et les auxiliaires, ainsi que pour le développement et la production des équipements ETCS niveau 2 pour ce parc. Les sites français du Creusot, d’Ornans, de Villeurbanne et de Tarbes seront également concernés par le projet. Le consortium devra aussi assurer un support technique pour la maintenance des véhicules, qui bénéficieront d’un système de diagnostic préventif.

Nouveauté : par rapport aux voitures M6, dont elles sont dérivées, les voitures M7 pourront aussi circuler sous forme de rames automotrices (de trois à cinq voitures), avec possibilité de mise en unités multiples. Mais les voitures M7 pourront toujours être tractées par des locomotives, y compris attelées à des voitures M6.

Ewa

Transition électrique pour les chemins de fer israéliens

Bombardier livrera 62 locomotives électriques de type Traxx aux chemins de fer israéliens. Les nouvelles locomotives Traxx AC sont conçues pour des vitesses allant jusqu’à 160 km/h. Elles serviront principalement… … à la propulsion des 369 voitures à double niveau Twindexx Vario du même constructeur, actuellement en service en Israël. Israël mène un programme d’électrification de son réseau ferroviaire, dans le but de réduire le bruit et la pollution. Le réseau s’étend sur 420 km. "Le projet d’électrification des Chemins des fer israéliens est sur le point de devenir une réalité. La transition vers une exploitation électrique, la norme dans tout pays avancé, constituera un véritable bond en avant dans tous les domaines relatifs à l’exploitation de notre entreprise et un facteur clé de notre future croissance" a déclaré Boaz Tzafrir, chef de la direction des Chemins de fers israéliens. Le contrat qui s'élève à 230 millions d'euros, prévoit une option de 32 locomotives additionnelles. Les premières livraisons interviendront à la fin 2017.

Ewa

La Chine commande 15 trains à grande vitesse à Bombardier

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Bombardier Sifang (Qingdao) Transportation (BST), co-entreprise chinoise de Bombardier, fournira 15 trains à grande vitesse à China Railway Corp (CRC), la société qui gère le réseau ferroviaire du pays. Les trains à grande vitesse… … de type Zefiro 380 ou CRH380D pour la Chine, sont issus d'une nouvelle génération de rames automotrices électriques mises au point par BST.

Aptes à circuler à 380 km/h, les trains sont composés de huit voitures en aluminium. Ils seront construits sur le site de production de Bombardier Sifang en Chine.

Le montant du contrat s'élève à 339 millions d'euros.

Ewa

Berlin met en service la première ligne de bus électriques à recharge sans fil

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Le 1er septembre, la régie des transports de Berlin, BVG, a mis en service sa première ligne d'autobus électriques à recharge sans fil. La BVG expoite quatre autobus électriques de type Solaris Urbino 12 electric équipés du système de charge Primove de Bombardier sur la ligne 204 de son réseau. La ligne s'étend sur 6,1 km et dessert le centre-ville. L'opération de recharge des bus s'effectue en quelques minutes aux terminus de la ligne qui relie Südkreuz et Zoologischer Garten.
Le projet appelé « E-Bus Berlin » est financé à hauteur de 4,1 millions d'euros par le ministère fédéral du Transport et de l'Infrastructure numérique.
Dès lors, Berlin devient la première capitale à disposer d'une ligne d'autobus électriques à recharge sans fil.

Ewa

Métro de Montréal : début des essais des rames Azur

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La STM, Société de transport de Montréal a débuté les essais des trains Azur sur les lignes orange et bleu de son réseau Les essais de conformité du matériel s'effectueront de jour avec les deux trains Azur reçus respectivement en avril 2014 et juillet 2015. La mise en service avec la clientèle est prévue en fin d'année 2015.
D'ici 2018, ce sont 468 nouvelles voitures que le consortium Bombardier-Alstom devra livrer. A terme, les rames Azur remplaceront les autres trains de type MR-63 et MR-73, actuellement en circulation sur le réseau de Montréal.