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Ewa

Paris : 12 nouveaux bus sur la ligne de départ

champs de mars

Le Stif, la Ville de Paris et la RATP ont présenté ce 2 décembre douze nouveaux bus, dont certains vont sillonner prochainement Paris et des communes avoisinantes Très attendu, le Bluebus de Bolloré, bus 100 % électrique de 12 m, qui va équiper la ligne 341 (Charles-de-Gaulle-Etoile – Porte-de-Clignancourt). Le premier véhicule doit circuler à partir d'avril prochain, et sera progressivement rejoint par 22 autres. La ligne 341 sera en fin de compte la première ligne entièrement équipée de bus standard 100 % électrique. Le groupe Bolloré est jusqu'à présent le seul constructeur à avoir vendu des bus électriques standards à la RATP. Déjà fournisseur d'Autolib’, Bolloré fait une entrée en force dans le paysage du transport public parisien, après avoir, la veille, présenté ce qu'il appelle son Bluetram, en fait un minibus à recharge en stations, faisant une boucle sur les Champs-Elysées.
D'autres constructeurs ont noué un partenariat avec la RATP, qui va les tester sur deux lignes : la 21 (Gare-Saint-Lazare – Stade-Charléty – Porte-de-Gentilly), et la 147 (Eglise-de-Pantin – Sevran). L'opération doit commencer le 16 décembre et sera menée pendant plusieurs mois. Tous sont par définition conformes au choix technique de la RATP, d'une recharge nocturne au dépôt.
On verra donc sur ces lignes le tout nouveau bus français Heuliez GX 337 Elec, le franco-chinois Yutong E12 LF, réalisé en partenariat avec Dietrich Carebus, l'espagnol Irizar i2e, ou le polonais Solaris Urbino 12. Certains modèles pourraient les rejoindre.
D'autres véhicules étaient aussi présentés. Le Tosa, bus de grande capacité (18 m), développé par ABB et les Transports publics genevois, qui avait fait une apparition remarquée lors de salon genevois de l'UITP en 2013.
Le Champ de Mars accueillait aussi le nouveau Midibus de PVI Oreos 4X, acquis par la RATP pour le Montmartrobus. Ainsi qu'un autre modèle destiné au centre-ville, le Daily électrique d'Iveco (7,120 mètres).
Iveco présentait pour sa part le Crossway HVO (car interurbain et scolaire, pouvant circuler au HVO (huiles végétales hydrogénées), pur ou mélangé au diesel, Scania l'autobus OmniExpress 320 Gaz, Man le Lion's City CNG/biogaz. Et Mercedes Benz son Citaro FuelCell-Hybrid, combinant moteurs roues électriques et pile à combustible
Présentés le matin aux élus et professionnels par Jean-Paul Huchon, Anne Hidalgo et Elisabeth Borne, les bus pouvaient être découverts par les Parisiens l'après-midi… avant de repartir le soir même, ce calendrier, comme bien d'autres, ayant été bousculé par les attentats du 13 novembre.

Ewa

Transdev accélère les déplacements propres dans la vallée de Chamonix Mont-Blanc

bus

Les deux signataires mettent en avant une stratégie de mobilité durable dans un contexte particulier de montagne où la population (14 000 habitants) est multipliée par dix en saison touristique Transdev veut faire de Chamonix le « laboratoire Montagne » du groupe. On sait combien les habitants de la vallée du Mont-Blanc, avec un tunnel et des paysages grandioses traversés par des colonnes de camions, sont sensibilisés à la préservation de leur environnement. Le 18 septembre, la Communauté de communes de la vallée de Chamonix Mont-Blanc (CCVCMB) et Transdev ont affiché leur ambition d’intégrer une réelle mobilité durable locale en lançant le nouveau contrat de transports urbains qui les lie pour sept ans. Reconduit après une collaboration de plus de vingt ans, le contrat concerne 2,1 millions de voyageurs par an et porte sur un montant de 33 millions d’euros, dont 5,2 millions d’euros pour moderniser le réseau Chamonix Bus, composé de 17 à 38 véhicules selon les saisons.
Cet investissement est l’un des objectifs prioritaires, et concrets, de l’engagement de l’opérateur en faveur d’un réseau propre, conformément au Plan de protection de l’atmosphère européen : « Nous voulons faire un réseau totalement respectueux de l’environnement », insiste Jean-Marc Janaillac, président de Transdev. Le contrat prévoit six nouveaux bus Euro 6 et six bus standard hybrides – qui rouleront en électrique dans le centre de Chamonix – ainsi que deux nouveaux Bluebus électriques (Bolloré) pour la navette gratuite de centre-ville « Le Mulet », qui sera 100 % électrique dès février 2016. Mieux, « nous visons des bus 100 % électriques sur le réseau pour 2020 », promet Eric Fournier, président de la CCVCMB. Impact attendu : des réductions d’émissions de CO2 de 26 tonnes par bus par an et de 30 % de consommation de carburant.
Autre point fort du contrat, l’opérateur va lancer un appel à projet international « Montagne et Mobilité » en janvier 2016 pour une sélection des entreprises en mai. Les start-up devront plancher sur des solutions innovantes visant à améliorer la qualité de l’air et la gestion des trafics, qui devront être mises en œuvre dans l’année qui suit. Dans l’immédiat, tous les bus intègrent un système d’information dynamique visuelle et sonore complet (dont le plan des pistes et l’état des remontées mécaniques). Dès cet hiver, 2/3 des bus seront équipés du Wi-Fi gratuit, permettant aux skieurs d’acheter leur forfait pendant le trajet sans perdre de temps aux caisses des remontées mécaniques.
 Claude Ferrero

Ewa

Le Bluebus en test à Quimper

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Dans le cadre de la semaine de la mobilité, Quimper a mis en service un bus électrique gratuit dans son centre-ville… Le Bluebus, une navette électrique de la société Bolloré, a été fabriqué dans l'usine du groupe à Ergué-Gabéric, près de Quimper. Il circulera jusqu'au 19 septembre.
« L’expérience grandeur nature réalisée cette semaine préfigure la possible création
d’une ligne sur le territoire de Quimper Communauté dès 2017 »
, a annoncé André Guénégan, vice-président de Quimper Communauté en charge des transports et de la mobilité.

Ewa

Strasbourg . Des bus habillés par le dessinateur Vincent Godeau

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La CTS, compagnie des transports strasbourgeois a inauguré le 8 septembre un premier bus habillé par le dessinateur Vincent Godeau. Le bus qui revêt les dessins imaginés par l'artiste circule sur … … la ligne 15 Lingolsheim Alouettes-Robertsau Boecklin.

La démarche artistique de la compagnie s'inscrit dans la continuité depuis plusieurs années. Ainsi, depuis 2011, la CTS utilise  une partie de son parc de bus et trams comme espaces d'expression mobiles : Tomi Ungerer, dessinateur et illustrateur en 2011, François Génot en 2012 et Théo van Doesburg en 2013 et l'exposition Doré, en 2014.

Ewa

Le réseau de Lille confirme son engagement dans le gaz naturel

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Début septembre, Transpole va mettre en service les premiers autobus Urbanway GNV sur son réseau de Lille. Les 5 premiers bus au gaz naturel sont produits par Iveco Bus, dans son usine d'Annonay, en Ardèche et sont style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
labellisés Origine France Garantie.
Dévoilé à l’occasion du Congrès de l’UITP qui s’est tenu à Milan au mois de juin dernier ; le bus Urbanway d'Iveco est 100 % compatible avec le biométhane, un carburant issu de la valorisation des déchets.
Dès 1990, le réseau de Lille s'est engagé dans une démarche visant à exploiter un parc d’autobus au gaz naturel et produire du biométhane pour alimenter la flotte de ses véhicules. 25 ans plus tard, les 428 autobus du réseau fonctionnent au GNV. C'est d'ailleurs le plus grand parc de bus au GNV de France.
Hugues Houze de l’Aulnoit, chargé Développement transports à la MEL (Métropole Européenne de Lille), confirme le succès de la politique initiée il y a 25 ans vers un parc d’autobus 100 % gaz naturel/biométhane : « Le bilan général confirme que le GNV apparaît comme une réelle alternative au diesel, fiable, sans surcoûts et moins polluante. »

Ewa

Berlin met en service la première ligne de bus électriques à recharge sans fil

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Le 1er septembre, la régie des transports de Berlin, BVG, a mis en service sa première ligne d'autobus électriques à recharge sans fil. La BVG expoite quatre autobus électriques de type Solaris Urbino 12 electric équipés du système de charge Primove de Bombardier sur la ligne 204 de son réseau. La ligne s'étend sur 6,1 km et dessert le centre-ville. L'opération de recharge des bus s'effectue en quelques minutes aux terminus de la ligne qui relie Südkreuz et Zoologischer Garten.
Le projet appelé « E-Bus Berlin » est financé à hauteur de 4,1 millions d'euros par le ministère fédéral du Transport et de l'Infrastructure numérique.
Dès lors, Berlin devient la première capitale à disposer d'une ligne d'autobus électriques à recharge sans fil.

Ewa

« Les collectivités doivent définir elles-mêmes leurs besoins en véhicules propres »

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Entretien avec Arnaud Rabier, secrétaire général d’Agir

L’Association pour la gestion indépendante des réseaux de transport public (Agir) vient d’organiser ses 30es Journées sur le transport public

  les 24 et 25 juin derniers à Périgueux. L’occasion pour Arnaud Rabier, son secrétaire général, de faire le point sur les actions et les perspectives de cette association fondée en 1987.

 

Ville Rail & Transports. Quel bilan tirez-vous des journées Agir qui se sont tenues à Périgueux les 24 et 25 juin derniers ?
Arnaud Rabier. Le bilan est exceptionnel ! D’une part du fait de la grosse affluence au Salon : nous avons reçu 600 visiteurs et 72 exposants venus de sept pays. Nous n’avions jamais vu autant de pays représentés. Cela montre que les Espagnols, les Allemands, les Italiens, les Canadiens, les Belges, les Polonais et les Turcs s’intéressent beaucoup au marché français et voient dans les journées Agir une opportunité pour entrer en contact avec les décideurs. D’autre part, nous avons pu constater l’intérêt suscité par les grands thèmes évoqués au cours de ces journées : nous voulions apporter des solutions anticrise, c’est-à-dire expliquer qu’avant de baisser l’offre (une tentation en période de crise), il y a d’autres alternatives possibles qui donnent des résultats efficaces rapidement.

VR&T. Quelles sont les grandes tendances que vous percevez actuellement dans le secteur ?
A. R.  Nous constatons une grande demande d’information de la profession sur les motorisations alternatives. Les élus veulent en savoir plus alors que les pouvoirs publics s’apprêtent à préciser leurs intentions sur les flottes qui doivent être plus « propres ». Deuxième tendance : une forte demande sur les questions liées à la billettique. Les collectivités souhaitent des solutions légères. C’est devenu possible grâce au numérique et aux smartphones. Au lieu d’embarquer un terminal important dans un véhicule, un smartphone suffit désormais. Ce smartphone va non seulement gérer la billettique mais aussi permettre de géolocaliser le véhicule et d’engranger des données (qui monte, à quelle heure, où…). Ces données permettront ensuite aux collectivités d’adapter les dessertes à la réalité de l’utilisation et donc d’optimiser le service.
Plus globalement, la profession a besoin d’échanges. Nous intervenons dans un secteur en mouvement. Nous en sommes au tout début du débat sur les motorisations alternatives. Avec la crise, les cartes sont rebattues, les modèles économiques évoluent.

VR&T. Pourquoi avoir signé un accord avec le Gart sur le matériel ?
A. R. C’est un accord exceptionnel qui sera structurant pour la profession. Nous avons conclu un accord avec le Gart pour faire un recensement des besoins des collectivités en matériel, à court et moyen terme. Cela nous permettra d’aller voir les constructeurs en leur disant : voilà, nous savons que la demande de véhicules des collectivités porte sur tel volume, et d’obtenir en retour des prix et des délais. Quand une collectivité fait cette démarche seule, elle s’entend répondre : « quel volume ? » En réalisant ce recensement (nous nous donnons jusqu’au début 2016), nous allons permettre aux collectivités de prendre la main pour faire avancer la filière.
Ensuite, elles pourront sur cette base lancer des commandes non pas groupées, mais simultanées. Des commandes simultanées rendent en effet possible la personnalisation des véhicules (nombre de places, type de fauteuil, signalétique…) qui doivent s’intégrer aux flottes de chaque collectivité.
En demandant aux collectivités d’acheter des véhicules propres [50 % des achats devront être constitués de véhicules à faibles émissions en 2020, 100 % en 2025 pour les flottes comptant plus de 20 véhicules de transport public, NDLR], le gouvernement veut imposer de nouvelles dépenses aux collectivités alors que dans le même temps, il baisse les dotations. Il va peut-être limiter l’assiette du versement transport et il ne prend pas en considération les capacités des constructeurs. C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui un message fort au gouvernement en lui disant : regardez, avec le Gart, nous sommes en train de nous organiser dans le cadre de la filière pour évaluer nos besoins. Les industriels doivent aussi entendre notre message. Nous leur disons : c’est maintenant qu’il faut bouger ! Sinon, seuls les constructeurs asiatiques pourront répondre à la demande.
Par ailleurs, nous avons aussi signé un accord avec le Gart sur la billettique : nous avons lancé une étude pour référencer le système de billettique pour les réseaux. Notre travail aboutira à la fin 2015-début 2016.
C’est la Centrale d’achat du transport public (CATP) qui va conduire l’étude et bâtir un cahier des charges avec le Gart. La CATP est une entité indépendante créée par Agir pour proposer des produits bien négociés en jouant sur les volumes. La CATP épargne aux collectivités les procédures de l’appel d’offres. Elle a commencé avec les véhicules puis a élargi son champ d’intervention aux logiciels de services, tenues de conducteurs, assurances, billettiques…

VR&T. Prônez-vous un recours accru à la gestion directe ?
A. R.  Nous ne sommes pas « pro-régie directe ». Mais nous disons que les élus ne doivent pas négliger cette possibilité et qu’ils doivent avoir le choix. C’est une alternative crédible qui permet d’abaisser les coûts de 10 à 15 % selon les villes de Saint-Brieuc et Saumur. Ce n’est pas anodin.
Dans le transport urbain où les contrats durent entre cinq et sept ans, une trentaine est renouvelée chaque année. Deux ou trois passent chaque année à la gestion directe. Quand Nice ou Saint-Nazaire s’y mettent, c’est significatif.
Dans le transport interurbain, c’est aussi le cas. On comptait une dizaine de réseaux en gestion directe il y a cinq ou six ans. Ils sont une vingtaine aujourd’hui. On peut dire qu’un département sur cinq a un opérateur local. Le recours à la gestion directe permet aux collectivités de réguler la concurrence. Les départements se sont en effet aperçu qu’à partir du moment où ils ont créé leur entreprise, ils ont une alternative s’ils estiment que les exploitants ne répondent pas comme ils le souhaiteraient à leurs appels d’offres. Cela permet de jouer sur les prix.

VR&T. Quels sont vos axes de développement pour l’avenir ?
A. R.  Depuis quelque temps, nous développons des modélisations et nous accompagnons les collectivités dans leurs projets d’optimisation des réseaux. Les collectivités doivent pouvoir continuer à offrir une offre de service satisfaisant à moindre coût. C’est vraiment notre champ de travail actuel.
Nous travaillons aussi sur des sujets plus techniques comme la transposition en droit français de directives européennes sur les marchés publics et sur les concessions. Nous restons vigilants pour que ces projets ne diminuent pas les marges de négociations des collectivités. Bercy cherche en effet faciliter les réponses des PME aux appels d’offres en uniformisant les consultations des marchés publics. Cela ne doit pas se faire au détriment des collectivités.
Enfin, nous élargissons notre domaine de compétence. Il y a deux ans, nous l’avons élargi au ferroviaire. A la mi-juillet nous nous ouvrons au stationnement. Les autorités organisatrices de la mobilité durable récupèrent la compétence sur le stationnement. Nous allons donc leur apporter notre assistance et notre expertise dans ce domaine.

Propos recueillis par
Marie-Hélène POINGT

 

Ewa

Byd conçoit un bus électrique à deux étages pour Londres

BydLondres

Le 2 juillet, le constructeur de bus chinois BYD a annoncé être en train de concevoir et construire un bus électrique à double étage pour la ville de Londres. 

Dès le mois d'octobre … … Transport for London (TfL), l’autorité organisatrice des transports londoniens devrait expérimenter 5 bus électriques sur la ligne 16 entre les stations Crickewood (nord-ouest) et Victoria.

Selon le communiqué, Boris Johnson se réjouit que la capitale britannique devienne la première ville au monde à proposer une ligne de bus à étage entièrement électrique et de préciser « Nombreuses étaient les personnes qui pensaient qu’un bus à étage 100% électrique était impossible du fait de la taille des batteries nécessaires pour le faire avancer ».

D'ici 2020, Londres souhaite faire l'acquisition de 300 autobus à impériale 100 % électriques.

Ewa

Lisbonne : Privatisation de la gestion des transports publics

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Le groupe espagnol Avanza a remporté fin juin l'appel d'offres pour l'exploitation du réseau de transports publics de Lisbonne, face aux français Transdev et RATP, face aux britanniques National express, et au portugais TTC.  Le contrat comporte deux lots . Le premier concerne… … la gestion de Carris, la société qui exploite le réseau de bus à Lisbonne. Avanza devra gérer une flotte de 622 bus sur plus de 70 lignes. Le trafic sur l'ensemble des lignes est estimé à 120 millions de passagers.

L'entreprise espagnole va également gérer le métro de la capitale portugaise. Actuellement Lisbonne possède plus de 110 rames de métro qui circulent sur 4 lignes et dans 52 stations. Le trafic métropolitain s'élève à quelque 170 millions de passagers par an.

Selon les médias portugais, le prix proposé par le groupe d'Avanza a été décisif, il pourrait faire économiser jusqu'à 25 millions d'euros par an.

Ewa

La RATP devient l’actionnaire unique d’OpenTour Paris

Open Tour École

RATP Dev a annoncé mi-juin la prise de contrôle exclusif du transporteur spécialisé dans les visites de la capitale en bus à impériale. Jusqu’à présent, la filiale de la RATP détenait 51% de l'OpenTour Paris, aux côtés de … …  ParisCityVision, filiale du groupe LBO France.

 

 "En devenant actionnaire unique de l'OpenTour Paris, RATP Dev consolide sa stratégie de développement dans le sightseeing, un segment d'activité à fort potentiel dans lequel nous disposons déjà d'une solide expérience avec des circuits dans les trois villes les plus touristiques au monde : Paris, Londres et New York", indique dans un communiqué François-Xavier Perin, président du directoire de RATP Dev.

 

Créé en 1998, l'OpenTour Paris transporte quelque 750.000 passagers par an à bord d'une quarantaine de bus suivant quatre itinéraires touristiques dans Paris.