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Ewa

Chalon filme ses basketteurs pour vanter les mérites du BHNS

VRT549 TM 1235

La Stac, filiale de Veolia Transdev, associée à la communauté d’agglomération du Grand Chalon (Chalon-sur-Saône avec ses 110 000 habitants répartis dans 39 communes), et aux Autocars Girardot (délégataire des transports) a fait appel aux services de Jean-Baptiste Adolphe Michel (JBAM) pour un clip publicitaire. La Stac, filiale de Veolia Transdev, associée à la communauté d’agglomération du Grand Chalon (Chalon-sur-Saône avec ses 110 000 habitants répartis dans 39 communes), et aux Autocars Girardot (délégataire des transports) a fait appel aux services de Jean-Baptiste Adolphe Michel (JBAM) pour un clip publicitaire. Le basketteur vedette du club Elan Chalon (Pro A) y vante le réseau de bus Zoom qui a lancé en septembre 2012 son BHNS baptisé Flash. Le sportif emprunte le bus entre la gare et la salle d’entraînement, alors que trois coéquipiers de l’Elan, embauchés eux aussi pour le tournage, circulent en voiture. On vous laisse imaginer qui arrivera à l’heure…
Déjà en 2007, les joueurs avaient participé à la campagne locale « Respecte ton bus ». Cette année, avec « Joue-la comme JBAM », « l’idée est d’inciter les habitants à privilégier le bus pour leurs déplacements dans l’agglomération, voir au-delà grâce à l’intermodalité possible avec le train, explique Ludovic Jourdain, directeur de la Stac. Les basketteurs professionnels de l’Elan Chalon transmettent un message avec humour, sans se prendre au sérieux. D’ailleurs lors du tournage les passants les interpellaient, ils ont su rester disponibles pour répondre aux sollicitations tout en humour. Grâce à eux, davantage de personnes auront envie de voir le film, et, j’espère prendre le bus. »
Le réseau Zoom enregistre aujourd’hui sept millions de voyages par an soit 23 000 voyages par jour. La Stac s’est engagée auprès du Grand Chalon sur une fréquentation de 9 millions de voyages annuels en 2018. Quant au BHNS, avec 4 200 voyages quotidiens dès son lancement, il atteint aujourd’hui 4 700 voyages, soit une progression de 12 %.

Y. G.

Pour voir la vidéo : www.buszoom.com

Ewa

Agglomération de Blois : le centre de maintenance précède le nouveau réseau

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L’agglomération blésoise met à la disposition du nouveau délégataire un centre de maintenance bus dont elle est propriétaire. Keolis est l’exploitant des transports d’Agglopolys depuis le 1er janvier. Il promet, outre la mise en place d’un réseau complètement remanié, la création d’un TAD, la location de vélos électriques Le nouveau centre de maintenance des bus de l’agglomération de Blois a été inauguré le 2 février. Il s’agit d’une étape importante pour Agglopolys, qui compte 107 282 habitants répartis dans 48 communes. En effet, le centre de maintenance Le Terminal est la propriété de la communauté d’agglomération, ce qui lui offre une plus grande liberté dans la gestion de ses transports. Auparavant, la maintenance était assurée dans un centre qui appartenait au précédent opérateur. Profitant du renouvellement de la délégation de service public, Agglopolys a choisi un nouvel emplacement de 20 000 m² pour installer des parkings, des bureaux et un atelier de 2 642 m² exactement. L’agglo a mis cet outil à disposition de Keolis, le nouveau délégataire désigné par le conseil communautaire le 12 novembre 2012, dont le contrat est entré en vigueur le 1er janvier 2013.
Pour Agglopolys, Le Terminal est la première étape de la métamorphose du réseau de Blois. Proposé par Keolis et accepté par l’agglomération, ce nouveau réseau entrera en vigueur le 2 septembre prochain. Il s’articulera autour de trois lignes structurantes, cadencées à 20 min, complétées par trois autres lignes, du lundi au samedi, relayées les dimanches et jours fériés par trois lignes régulières, pour desservir Blois et sa première couronne. S’y ajoutera une ligne de desserte fine des zones d’activité Nord du lundi au vendredi. Un service de navettes de centre-ville devrait aussi voir le jour, du lundi au samedi, de 9h à 19h, toutes les 12 min. Tout comme des liaisons dédiées vers les châteaux de Blois, Chaumont et Cheverny, et la location de vélos, notamment électriques ou pliants.
Parallèlement, un transport à la demande en porte-à-porte sera créé dans les zones moins denses des communes de Blois, Vineuil, Villebarou et Saint-Gervais-la-Forêt, et 43 autres communes du territoire, avec 16 points de destination. Il sera complété par un service de PMR. D’ici septembre, les habitants vont être informés des nouvelles caractéristiques du futur réseau, notamment grâce à huit réunions publiques. Des habitants qui seront par ailleurs consultés pour choisir les nouvelles livrées des bus. A plus long terme, le réseau passera au sans-contact en septembre 2014.
    

Yann GOUBIN

 

Un nouveau site évolutif

Comme le réseau de bus, le centre de maintenance Le Terminal fonctionne 7 jours/7, 365 jours par an, de 5h à 22h. Cent vingt personnes y sont employées dont trente-quatre femmes. Parmi eux, on compte 96 conducteurs et vérificateurs, 4 agents de maintenance, 16 agents d’encadrement exploitation et administratifs et 4 cadres de direction. Le site est également évolutif. Pour répondre à une augmentation de l’activité, il pourrait accueillir de 10 à 12 bus supplémentaires (contre 60 aujourd’hui), avec l’ajout de deux nouvelles travées et 30 salariés en plus.
 

Ewa

TAD : les communes autour d’Oloron pourraient s’allier avec le conseil général

VRT548 TM 0310

Le conseil communautaire du Piémont oloronais (25 000 habitants et 24 communes) va lancer une étude pour connaître les besoins en transports en commun des habitants du territoire. Le conseil communautaire du Piémont oloronais (25 000 habitants et 24 communes) va lancer une étude pour connaître les besoins en transports en commun des habitants du territoire. Il pourrait choisir la proposition du conseil général des Pyrénées-Atlantiques. Les deux parties signeraient un contrat qui formaliserait le service. Il permettrait de desservir les zones rurales peu denses, et offrirait un moyen de locomotion pour les plus âgés comme les plus jeunes sans véhicules. Les premiers pourraient gagner les commerces ou les services publics, et les ados leurs clubs sportifs ou leurs amis. Déjà, deux communautés de communes du département ont choisi de mettre en place un transport à la demande en partenariat avec le conseil général. La communauté de communes de Lacq, qui a lancé son TAD Mobilacq 64 en mai dernier, et la communauté de communes du Pays de Nay, dont le service Mobi Pays de Nay 64-Le Petit Bus a vu le jour en janvier 2013.
Dans les deux cas, le fonctionnement est identique. L’intercommunalité définit, en concertation avec les communes, un certain nombre de points d’arrêt où les usagers doivent se rendre pour emprunter le bus. Seules les personnes à mobilité réduite sont prises en charge à leur domicile. Mais rien ne dit, à ce stade, que la communauté de communes du Piémont oloronais adoptera ce modèle. Une enquête a été lancée pour définir les besoins et les réponses à apporter. Elle sera financée par le conseil général des Pyrénées-Atlantiques à hauteur de 80 %. Autre incitation de la part du département, le financement de l’achat de véhicules jusqu’à neuf places et une prise en charge de la moitié du déficit d’exploitation.     

Y.?G.

 

Le succès de la navette urbaine d’Oloron

En matière de transports publics, la ville d’Oloron possède déjà une longueur d’avance. Depuis juin 2011, la ville, qui compte 11 700 habitants, s’est dotée d’une navette urbaine. Très rapidement, cette navette a trouvé son public, au point que l’expérience, prévue d’abord pour six mois, a été renouvelée deux fois depuis. Le réseau compte désormais quatre lignes et 52 arrêts. La vente des abonnements a été multipliée par deux au cours de la deuxième période d’expérience de six mois. Dans le même temps, 21 000 trajets ont été effectués. Reste à savoir comment cette navette urbaine s’articulera avec un possible réseau intercommunal.

Ewa

Le Haut Pays bigouden se dote d’un service de rabattement

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La communauté de communes du Haut Pays bigouden (17 053 habitants dans dix communes) a lancé son service de transport à la demande, le 7 janvier, avec l’aide du conseil général du Finistère. La communauté de communes du Haut Pays bigouden (17 053 habitants dans dix communes) a lancé son service de transport à la demande, le 7 janvier, avec l’aide du conseil général du Finistère. Il s’agit de lignes au tracé et aux horaires définis, mais dont les arrêts sont déclenchés par l’usager, la veille de son trajet avant 17h. Ce transport à la demande est la seconde étape de la refonte du réseau départemental engagée en 2010. Le conseil général, qui détient la compétence transport, avait d’abord créé des lignes plus directes pour le réseau de transport armature Penn ar bed avec, par exemple, la ligne Plonéour – Quimper. Aujourd’hui, « il s’agit d’irriguer l’ensemble du territoire en proposant aux communes excentrées des liaisons aux lignes régulières », explique Chantal Simon-Guillou, première vice-présidente du conseil général.
Le coût du service, évalué à 35 000 euros par an, est financé pour moitié par la communauté de communes du Haut Pays bigouden, et pour l’autre moitié par le conseil général, dans le cadre du contrat de territoire.     

Y. G.
 

Ewa

Nantes et Angers reçoivent leurs Heuliez hybrides

HybrideNantesAngersJFRetièreetLucBelotPhotoPatrickGarçon

Angers Loire Métropole et Nantes Métropole ont réceptionné, mi-décembre, leurs 5 bus hybrides acquis en groupement de commande chez Heuliez. Angers Loire Métropole et Nantes Métropole ont réceptionné, mi-décembre, leurs 5 bus hybrides acquis en groupement de commande chez Heuliez. Cet achat groupé (2 bus à Angers, 3 à Nantes) doit favoriser les échanges techniques, faciliter la maintenance et assurer une meilleure évaluation des véhicules. Par ailleurs, en augmentant le nombre de véhicules commandés, il permet aux deux communautés de disposer de plus de poids dans les négociations et le suivi des livraisons, de la garantie et de l’après-vente. L’acquisition de ces véhicules représentant un surcoût de 30 à 50 % du prix d’un bus classique – un bus articulé coûte 340 000 € HT, auxquels il faut ajouter de 100 000 à 150 000 € HT pour l’hybridation –, les deux métropoles ont dû faire appel à l’Ademe.
La filière hybride (diesel/électrique) apparaît aujourd’hui comme une solution avantageuse (réduction des consommations de carburant et de bruit, notamment au démarrage en station), mais le retour d’expérience – les bus circuleront dès le début de cette année – permettra aux deux collectivités de définir une nouvelle politique de renouvellement et de développement de leurs bus pour les prochaines années.     

C. N.
 

Ewa

A Toulouse, de nouveaux véhicules articulés en vue d’une ligne à haut niveau de service

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2013 sera l’année du bus sur le réseau toulousain. 24 nouveaux véhicules articulés GX-427 d’Heuliez viennent d’être mis en service sur les lignes 16 et 22 (9,3 millions d’euros). 2013 sera l’année du bus sur le réseau toulousain. 24 nouveaux véhicules articulés GX-427 d’Heuliez viennent d’être mis en service sur les lignes 16 et 22 (9,3 millions d’euros). En septembre, ces bus inaugureront le nouveau concept de ligne structurante type Chronobus sur la ligne 16 (première du réseau avec des pointes de fréquentation à 17 000 passagers par jour) avec une livrée spéciale. Pour l’instant, la livrée reste sobre : blanche avec des lignes orange.
Tisséo a choisi la version haut de gamme des GX-427 d’Heuliez, mais en version diesel (normes Euro V) : 18 mètres de long avec quatre portes coulissantes type tramway permettant une plus grande fluidité pour la montée-descente des 160 passagers, une grande luminosité grâce à des éclairages d’ambiance à LED, des baies panoramiques en partie basse, la climatisation… Les PMR bénéficieront de deux places pour fauteuils roulants ainsi que d’un plancher surbaissé d’une hauteur d’accès de 320 mm et d’une rampe d’accès manuelle intégrée à la structure du bus. Ces 24 bus s’ajoutent aux 560 bus du parc de la régie toulousaine, dont 248 roulent au GNV et 297 au gasoil.
    

Catherine Sanson-Stern

Ewa

Flers n’est finalement pas passé en régie

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Le réseau de bus de la communauté d’agglomération du Pays de Flers (14 communes et près de 30 000 habitants) a été transformé au 2 janvier 2013, à l’occasion du démarrage d’un nouveau contrat de DSP, même si l’agglo avait annoncé la création d’une régie. Le réseau de bus de la communauté d’agglomération du Pays de Flers (14 communes et près de 30 000 habitants) a été transformé au 2 janvier 2013, à l’occasion du démarrage d’un nouveau contrat de DSP, même si l’agglo avait annoncé la création d’une régie. Remporté par Veolia Transport Normandie Interurbain (VTNI), qui exploitait déjà le réseau Némus, le nouveau contrat prévoit de rendre le réseau plus lisible et de rationaliser les lignes. Ainsi, depuis le 2 janvier, le trajet de la ligne 1 est en partie repris par la 2 de manière à équilibrer la desserte du territoire, tout en offrant davantage de correspondances à la gare SNCF, à la place Saint-Germain et la place du Général-de-Gaulle. Quant à la ligne 3, elle devient une véritable ligne urbaine qui dessert désormais Saint-Georges-des-Groseillers, une commune de l’agglomération au nord de Flers.
Le nouveau réseau permet aussi de desservir des lieux de fortes fréquentations, avec de nouveaux arrêts comme le pôle femme/enfant de l’hôpital Monod ou le centre aquatique Capfl’O. La fréquence des passages, toutes les 30 minutes sur les lignes 1 et 2, et toutes les heures sur la 3, est légèrement en baisse. Mais elle est compensée par une amplitude plus large du service : de 7h15 à 19h30 au lieu de 7h30 à 19h20 jusqu’en décembre dernier. Le service de transport à la demande Créabus fonctionnera, lui, de 7h15 à 19h et desservira l’ensemble des 14 communes.?Il sera principalement destiné aux personnes à mobilité réduite. Un troisième bus complétera la flotte des véhicules destinés à Créabus.     
    

Yann GOUBIN

Ewa

Le Grand Montauban veut cadencer ses lignes principales en 2013

Montauban cocci 1890©jmpericat semtm avril 2010

Le nouveau contrat de délégation de service des transports du Grand Montauban débutera le 1er janvier prochain. Le nouveau contrat de délégation de service des transports du Grand Montauban débutera le 1er janvier prochain. C’est Veolia Transdev qui a été retenu par le conseil communautaire du Grand Montauban, le 30 novembre 2012, pour une nouvelle période de dix ans. « C’est une seconde étape dans la modernisation du réseau», explique Emmanuel Boivin, directeur de la Société d’économie mixte des transports montalbanais (SEMTM). La poursuite du partenariat s’explique aussi par le succès de la précédente DSP. « La fréquentation a augmenté de 29 % globalement sur l’ensemble de l’offre de transport en 2011, et de 14 % sur Hespérides, le réseau de bus réguliers. » Mais les autres modes proposés par la SEMTM ne sont pas en reste. Le réseau TAD Libellule a progressé de 4 % en 2011, et de 60 % selon les chiffres arrêtés au mois de novembre 2012. Un bond qui s’explique par la refonte de ce service en 2011. Gros succès aussi pour le libre-service vélo Monbeecycle avec 550 locations, dont 49 % de longue durée, donc par des habitants de l’agglo et non des touristes. Seule la navette de centre-ville Cocci « s’essouffle », reconnaît Emmanuel Boivin. « La ville a évolué, avec des points d’attraction nouveaux et la navette n’a pas suivi. Mais cela fait partie des modifications du réseau que nous allons apporter en septembre. » Les changements porteront surtout sur les lignes structurantes A et C, les plus belles hausses avec +11 % de fréquentation, qui seront cadencées à 20 minutes contre 40 aujourd’hui. S’y ajoutera une nouvelle ligne rapide, la G, entre la gare et la médiathèque. Enfin, le réseau va se doter d’un nouveau dépôt équipé d’une station de lavage et de carburant. « On attend le permis de construire dans quelques jours et les travaux pourront débuter dans la foulée dans les deux premiers mois de 2013. » L’objectif final est le transfert total à la fin de l’année 2013. « Mais on espère que le parking sera terminé d’ici l’été pour garer les 26 véhicules, et le nouvel atelier d’ici septembre. »     

Y.?G.

Ewa

Un calculateur d’itinéraire pour toute la Lorraine

SimpliCim

Un calculateur d’itinéraire vraiment mulitmodal, puisqu’il agrège les données de 22 autorités organisatrices de transport, fonctionne depuis octobre dans toute la région Lorraine. Un calculateur d’itinéraire vraiment mulitmodal, puisqu’il agrège les données de 22 autorités organisatrices de transport, fonctionne depuis octobre dans toute la région Lorraine. SimpliCim, c’est son nom est accessible sur Internet (www.simplicim-lorraine.eu) et décliné en applications pour smartphone. Il permet de calculer son itinéraire via les transports en commun (bus, trains, trams) et les modes de transport écoresponsables (vélo, marche, covoiturage), en indiquant les lieux de départ et d’arrivée, ainsi que les horaires de départ et/ou d’arrivée souhaités. Fruit d’un projet débuté mi-2011 par la définition des besoins, la synthèse des systèmes existants puis l’élaboration des contours techniques, administratifs, juridiques et financiers du service souhaité, et enfin la signature, en février, d’une convention de partenariat entre la quasi-totalité des AO de la région, SimpliCim représente un investissement de 430 000 euros pour la région Lorraine, qui prend aussi à sa charge 50 % des frais de fonctionnement annuels.
La région étant transfrontalière, il est déjà prévu d’étendre, sous quelques mois, le service à la Grande Région, cet espace européen présidé par la Lorraine jusqu’à la fin de l’année, c’est-à-dire avec le Luxembourg, la Sarre, la Rhénanie-Palatinat, la Wallonie et Lorraine. Une interconnexion entre tous les systèmes d’information multimodaux existant sera réalisée via la plateforme EU-Spirit. SimpliCim s’inscrit dans la politique globale de développement durable et de préservation de l’environnement de la Lorraine. Ne serait-ce que parce qu’il offre la possibilité de calculer son trajet à vélo, ou encore en privilégiant la marche, et qu’il permet d’identifier les possibilités de covoiturage lorsque ce mode de transport est structuré. Enfin, il propose un calculateur d’émissions de CO2 de l’itinéraire choisi permettant à chacun de prendre conscience de l’impact environnemental de son trajet.    

C. N.
 

Ewa

Fraude : les élus de Chauny-Tergnier renforcent les sanctions

ChaunyDSCF1318

La fraude ça coûte. C’est ce qui a sans doute motivé les élus de la communauté de communes Chauny-Tergnier (CCCT) à prendre des mesures contre cette pratique, lors d’un conseil communautaire, le 22 octobre dernier. La fraude ça coûte. C’est ce qui a sans doute motivé les élus de la communauté de communes Chauny-Tergnier (CCCT) à prendre des mesures contre cette pratique, lors d’un conseil communautaire, le 22 octobre dernier. A cette occasion, il a été confirmé que les billets non achetés par les voyageurs peu scrupuleux représentaient l’équivalent de 7 % des recettes. Certes, la somme n’est pas très élevée, d’autant moins que les recettes ne couvrent pas le coût des transports. Et les élus pourraient se féliciter de la réussite du réseau de transport en commun dont la qualité et l’adéquation pousseraient quelques voyageurs à enfreindre la loi. Le réseau avait été amélioré en décembre 2011. Mais le président de la CCCT, Jacques Desallangre a insisté auprès des élus du conseil pour dire que la fraude était très mal perçue par les usagers en règle qui, eux s’acquittent d’un titre de transport.
Les élus de la CCCT ont donc voté deux nouveaux niveaux de sanctions qui s’inspirent du barème RATP-SNCF en Ile-de-France. Une amende de 46 euros pour défaut de titre de transports et de 30,50 euros pour un titre non valable comme un billet non composté. Assortie d’une majoration de 30 euros pour non-paiement d’une amende dans un délai de trois semaines. La sanction ou simplement la crainte de la voir s’appliquer semble déjà faire effet : après quelques verbalisations, les agents des TACT constatent un retour à la normale.
  

Yann GOUBIN