Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

Nouveau marché pour CAF à Istanbul

C'est le constructeur espagnol CAF qui vient d'être choisi pour fournir les futures rames de métro automatique à la ville d'Istanbul…

  Pour un montant de 119 millions d'euros, CAF construira 21 trains de 6 voitures soit 126 voitures au total pour la future ligne M5. La ligne de métro est actuellement en construction, elle reliera Üsküdar à Ümraniye et Çekmeköy.

Ce sera d'ailleurs la deuxième ligne de transport en commun sur la rive asiatique d'Istanbul, puisque depuis août 2012, le M4 est déjà en service entre Kadiköy – Kaynarca.

Le M5, construit entièrement en souterrain sur 20 km, comportera 16 stations. Son ouverture est prévue en 2015.

Ces dernières années, Caf s'est imposé sur le marché ferroviaire turc. Outre les métros d'Istanbul, le M4 et le M5, le constructeur espagnol a déjà fourni les trains à grande vitesse qui relient Ankara à Istanbul, les YHT,  les tramways d'Antalya, et  les rames de banlieue d'Izmir. Des marchés qui lui ont rapportés plus de 600 millions d'euros .

Ewa

Boston renouvelle sa flotte d’autobus et de métro

Massachusetts Bay Transportation Authority (MBTA) qui gère les transports de Boston va acquérir 40 nouveaux autobus hybrides diesel-électriques pour remplacer les autobus actuels, achetés en 1994… La production débutera avant l'été dans l'usine de New Flyer à St. Cloud (Minnesota). Les nouveaux véhicules seront mis en service en février 2015.

La MBTA a également signé un contrat avec CAF pour la fourniture de 24 voitures pour la Green Line du métro de Boston pour un montant total de 118 millions euros. Les premières unités seront livrées entre la fin 2017 et la fin 2018.

Ewa

Hongrie : Caf va fournir les tramways de Budapest

L'entreprise espagnole CAF a remporté l'appel d'offres pour le renouvellement des tramways… L'entreprise espagnole Caf a remporté l'appel d'offres pour le renouvellement des tramways de Budapest, pour un contrat de 44,1 milliards de forints, soit 147 millions d'euros. « Les premiers trams d'un parc de 37 engins du constructeur espagnol Caf arriveront à Budapest en 2015 », a précisé la ville le 3 mars. Les trams actuels de la capitale hongroise remontent aux années 1970. Douze rames seront longues de 56 mètres, alors que les 25 autres seront plus courtes (34 m), a ajouté la municipalité.

Ewa

Nantes achète des rames de Tramway CAF

Tramway CAF Nantes

Après Besançon cet été, Nantes est la deuxième ville française à choisir le tramway du constructeur espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles). Elle lui passe commande d’« un complément de parc » de huit rames pour 22 millions d’euros, avec en option quatre rames au prix d’environ 10 millions d’euros supplémentaires. Alstom, Bombardier et Stadler avaient aussi répondu à l’appel d’offres européen. Nantes Métropole a expliqué avoir choisi les rames CAF pour des raisons de coût, de délais et de simplicité d’insertion dans le réseau existant. « Les prix obtenus auprès de CAF sont inférieurs mais ce ne sont pas pour autant des rames low-cost », précisent des sources convergentes à Nantes Métropole. Planchers bas, design revu, les tramways espagnols ressembleront aux rames Bombardier déjà en circulation à Nantes. « Dépourvus d’innovations techniques majeures, ils seront là avant tout pour garantir la continuité du service actuel. Ils ne représentent pas une troisième génération de tramway à Nantes », indique Nantes Métropole. Le parc nantais compte actuellement 46 rames Alstom, datant pour les premières de 1985, et de 33 rames Bombardier arrivées en 2000. « Pour cette commande d’appoint, nous avons choisi CAF, ce que nous n’aurions sans doute pas fait s’il s’était agi, comme ce sera le cas dans une dizaine d’années à peu près, de renouveler une grande partie de notre parc », explique Jean-François Retière, vice-président en charge des déplacements à Nantes Métropole.

Les rames CAF renforceront les moyens techniques sur la ligne 1. Elle est la plus fréquentée du réseau nantais, avec une moyenne de 111 700 voyageurs par jour l’an dernier. Elle sera allongée fin 2012. Les nouvelles rames concourront à assurer la fréquence de passage de 3 minutes sur son tronçon central, dans l’hypercentre de Nantes, en heure de pointe.
Le constructeur espagnol livrera donc les nouvelles rames dans le second semestre 2012. « Son offre était plus rassurante que les concurrentes parce que, maîtrisant lui-même la plus grande part de sa chaîne de production, CAF était plus en mesure de respecter les délais », explique-t-on à Nantes Métropole.

Par ailleurs, d’une capacité de 249 places – la demande de Nantes Métropole était de 240 places –, la rame CAF fait 37 m de long. Elle correspond aux capacités des ateliers de maintenance du réseau nantais. Elles ne demandaient aucun ajustement pour prendre place dans l’exploitation du réseau.

Même si dans son PDU 2010-2020, présenté le 18 octobre prochain, Nantes envisage de nouvelles lignes de transport en site propre, elle ne prévoit plus d’autre achat de tramways « au moins d’ici 2014 ». Jean-Marc Ayrault, son maire, l’avait annoncé au printemps 2009. La ville se concentre à rénover ses rames de première génération (Alstom) et à entretenir ses lignes. Une dépense en cours de 150 millions d’euros. Elle a adopté comme principale innovation de réseau l’aménagement de dix nouvelles lignes rapides jusqu’en son hypercentre, mais c’est du bus.

Ewa

Le Grand Besançon choisit l?espagnol CAF pour son tramway low-cost

CAF a remporté l?appel d?offres pour la construction du tram du Grand Besançon. C?est la première fois que CAF place un tramway en France. Son modèle Urbos a été préféré à tous les matériels proposés par la concurrence C’est une première victoire en France pour le constructeur espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles) : la communauté d’agglomération du Grand Besançon (CAGB) vient de le choisir pour la construction de son futur tramway, qu’elle présente comme « le moins cher de France ». « Il y a bientôt quatre ans que nous répondons assidûment aux appels d’offres, notamment pour Brest et Dijon, à Montpellier, au Havre, à Dijon… », rappelle Philippe Caseau, directeur commercial de la filiale France. Une ténacité qui a fini par payer. Le 30 juin, la commission d’appel d’offres a préféré CAF à Alstom, Stadler, Lohr Industrie et AnsaldoBreda pour la fabrication de 19 rames de tramway avec une option pour 15 ans de maintenance (qui n’est pas levée), un marché de 34,8 millions d’euros. « Avoir cinq constructeurs en lice, c’est aussi une première en France pour un tel projet », souligne-t-on à la CAGB.
Et pourtant, à 1,8 million d’euros la rame, CAF n’était pas le moins-disant (c’était AnsaldoBreda). « Nous avons vraiment écouté la collectivité et son besoin exprimé de transporter 1 200 personnes par heure et par sens avec un intervalle de 5 à 7 minutes à la pointe », poursuit-il. Ses tramways seront en grande partie assemblés à l’usine de la filiale française CFD Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées). Dans des versions longues de 32 ou 40 m, son produit Urbos roule déjà à Lisbonne, Séville, Bilbao, Vitoria ou encore Vélez-Málaga… Il a été commandé par Málaga, Saragosse, Grenade, est en cours de livraison à Edimbourg et a été récemment choisi à Houston (Texas). A Besançon, avec 23 m de long, une largeur de 2,40 m et 3 modules articulés, chaque rame à plancher bas intégral offrira 132 places. Suffisant, alors que la fréquentation de la ligne est estimée à environ 43 000 voyageurs par jour.
Plus que « low-cost », le système tram est dit « optimisé » : les économies réalisées sur le design des rames, le mobilier et les aménagements permettent d’atteindre un coût de 16 millions d’euros du km, pour un budget global de 228 millions d’euros. « Actuellement, parmi les trams en service, c’est celui du Mans qui est le moins cher, avec 20 millions d’euros au km, alors que certains dépassent 35 millions d’euros », souligne le Grand Besançon. Qui note aussi que « les constructeurs sont de plus en plus intéressés par le marché des petits tramways moins chers. » En tout cas, la ligne de 15 km et 30 stations deviendra une belle vitrine pour CAF, qui est aussi en lice à Tours. De bon augure pour Philippe Caseau, qui a dit : « Je ne désespère pas que certaines collectivités qui songeaient au BHNS basculent vers le tram. »
 

Cécile NANGERONI