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Ewa

Et enfin, la RATP prend pied en Caroline du Nord

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Egalement du voyage américain, RATP Dev USA remporte de son côté deux nouveaux contrats d’exploitation et de maintenance d’autobus en Caroline du Nord : à Durham et autour de Raleigh, la deuxième ville de l’État située sur la côte Est des Etats-Unis.

Deux contrats de cinq ans (quatre années supplémentaire optionnelles) à Raleigh et dans le comté de Wake avec 185 véhicules en exploitation et 450 employés. Ils concernent des lignes régulières fixes et des services de « paratransit » pour le transport de personnes à mobilité réduite (PMR). Le service devait être lancé fin avril pour les itinéraires fixes, le 1er juillet 2023 pour les services adaptés aux PMR.

A Durham, le contrat porte sur 58 véhicules, avec 245 employés. Il démarre en juillet, pour cinq ans avec une option renouvelable sur deux ans supplémentaires.

Ewa

564 nouveaux Volvos pour Santiago

Bus Volvo à Santiago

Volvo Bus va livrer 472 autobus B8R standards de 12 m et 92 B8R articulés de 18 m à la ville de Santiago (Chili). C’est l’un des plus importants marchés jamais remportés, en Amérique Latine, par le constructeur suédois. Les véhicules seront exploités par RedBus et Metropol, mais demeureront la propriété de Volvo.

Le constructeur était déjà présent à Santiago depuis 2006, et 1614 véhicules de la marque y sont actuellement en service. Sur la nouvelle commande, les châssis B8R seront produits en Suède, à Boras, ainsi qu’au Brésil, à Curitiba. Les carrossiers Marcopolo et Caio assembleront les caisses. Les véhicules seront équipés du système dit « zone management » de Volvo, qui permet, entre autres, de limiter automatiquement leur vitesse sur des secteurs géographiques prédéterminés.

Ewa

Systra, Italferr et Egis ont remporté un important contrat pour la ligne nouvelle Rail Baltica

Rail Baltica Global Project

Le 18 janvier, un accord a été signé entre RB Rail AS, la joint venture coordonnatrice du projet de ligne à grande vitesse (249 km/h) Rail Baltica, destinée à relier le golfe de Finlande et la frontière polonaise en reliant entre eux les trois pays baltes, et un consortium regroupant Systra, chef de file, Italferr (groupe Ferrovie dello Stato Italiane) et Egis. Ces trois entreprises fourniront les services d’ingénierie et de gestion du projet pour la préparation, l’approvisionnement et la supervision du déploiement des sous-systèmes de contrôle-commande et de signalisation le long des 870 km de la ligne nouvelle, qui comprennent le système européen ERTMS niveau 2, l’enclenchement, la gestion du trafic, les technologies de l’information et de la communication (TIC), les sous-systèmes auxiliaires, les stations et l’alimentation électrique hors traction. Le contrat « couvre toute la période de construction jusqu’à la fin de la période de notification des défauts ».

Rail Baltica est un projet qui associe l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie dans le but de développer une ligne nouvelle à double voie et électrifiée en 25 kV 50 Hz entre Tallinn et la frontière entre la Lituanie et la Pologne, via Pärnu, Riga, Panevėžys et Kaunas, à l’ouest de la capitale lituanienne Vilnius. Si elle est destinée au transport de voyageurs à 249 km/h maximum, cette ligne pourra aussi permettre le passage de trains de marchandises. Particularité de Rail Baltica, dans ces trois pays où les lignes principales sont à voie large de 1 520 mm et orientées est-ouest vers la Russie, la ligne nouvelle sera orientée nord-sud et à écartement standard de 1 435 mm afin d’être interopérable avec le réseau transeuropéen de transport, à laquelle elle sera connectée.

La ligne nouvelle desservira sept gares internationales, trois terminaux de fret multimodal, plusieurs aéroports et ports maritimes, ainsi que plusieurs gares régionales, des installations de maintenance et des interfaces avec le réseau ferré à voie de 1 520 mm.

Ewa

Stadler enregistre un contrat-cadre record de 504 trams-trains en Allemagne et en Autriche

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C’est le plus important contrat remporté par Stadler, qui pourrait atteindre quatre milliards d’euros. Il a été signé avec six entreprises de transport public d’Allemagne et d’Autriche et regroupe des commandes pouvant atteindre 504 trams-trains, assortis de leur maintenance sur 32 ans maximum.

Les réseaux signataires allemands sont VBK (transports de Karlsruhe), AVG (ligne de l’Albtal, dans la périphérie de Karlsruhe), la Saarbahn (tram-train Sarrebruck – Sarreguemines) et le Zweckverband Regional-Stadtbahn Neckar-Alb (au centre du Land de Bade-Wurtemberg). De leur côté, les signataires autrichiens du contrat-cadre sont Schiene Oberösterreich (Haute-Autriche) et le Land de Salzbourg.

Commandée à l’occasion de la signature du contrat-cadre, la tranche ferme porte sur 246 trams-trains Citylink pour 1,7 milliard d’euros, à produire au cours des dix prochaines années, les quatre premières rames devant être livrés à la Saarbahn en 2024. Pionnier du développement du tram-train depuis trente ans, le réseau VBK de Karlsruhe pilote et coordonne le projet.

Si, d’un réseau à l’autre, les aménagements peuvent varier (nombre de portes, hauteur d’accès, présence de toilettes, d’espaces vélos ou de porte-bagages), la climatisation, les espaces multifonctions et deux places UFR se retrouveront sur toutes les versions.

P. L.

Ewa

Keolis continuera à exploiter les transports publics de la Communauté d’Agglomération du Haguenau

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Son contrat étant renouvelé à partir du 1er août, Keolis continuera à exploiter et à maintenir le réseau de transports publics de la Communauté d’Agglomération du Haguenau. Dans le cadre de cette nouvelle délégation de service public, Keolis Haguenau devra desservir, d’ici à 2022, 36 communes au lieu de 5 actuellement, soit 56 000 habitants de plus. Dans ce but, le réseau RITMO va s’enrichir d’une nouvelle ligne urbaine ainsi que de trois nouvelles lignes interurbaines. Il intègrera aussi les transports scolaires, qui étaient jusqu’alors gérés par la région Grand Est, et un service de transport à la demande couvrant trois nouvelles communes (Bischwiller, Brumath et Val-de-Moder).

Parmi d’autres nouveautés, deux bus électriques doivent être mis en service, l’information voyageur doit être améliorée et un système billettique sans contact sera lancé.

Le nouveau contrat, qui durera 7 ans, doit générer 31 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Ewa

Au Mexique, Alstom signe un important contrat pour le train Maya

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C’est un projet majeur pour le développement du Mexique : le consortium composé d’Alstom Transport Mexico, Bombardier Transportation México, Gami Ingeniería e instalaciones et Construcciones Urales Procesos Industriales s’est vu attribuer, dans le cadre du projet de train Maya,  le contrat de conception, de fabrication et de mise en service de 42 trains X’trapolis, dont le design s’inspire de la culture Maya, ainsi que l’ensemble du système de signalisation. Il est également chargé de la construction des ateliers et garages de maintenance et du service après-vente des équipements du système.

Le contrat représente quelque 1,3 milliard d’euros. Au sein du consortium, la part d’Alstom-Bombardier s’élève à un milliard d’euros.

Dans le cadre de son Plan national de développement (2019-2024), le gouvernement mexicain a en effet lancé le projet de grande ampleur du Tren Maya, destiné à relier cinq États mexicains (Yucatán, Quintana Roo, Campeche, Tabasco et Chiapas). Cette ligne de plus de 1 500 kilomètres doit faciliter le transport des voyageurs et des marchandises et créer des liens entre les grands centres touristiques et les communautés rurales. Selon ses promoteurs, il doit permettre de favoriser le développement économique et social de cette région. Pour les touristes et les voyageurs, il permettra de découvrir les hauts lieux de la culture Maya.

 

Ewa

Un contrat de « transition » de 21 milliards d’euros entre la RATP et IDFM

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Quatre mois après avoir signé un contrat de 12 milliards d’euros avec Transilien, Ile-de-France Mobilités a approuvé ce matin, en conseil d’administration, le nouveau contrat de 21 milliards d’euros qui sera mis en œuvre pendant quatre ans avec la RATP. Comme pour la SNCF, ce contrat de 500 pages (« une bible ! », selon Catherine Guillouard, la PDG de la Régie) comporte de nombreuses nouveautés et des exigences accrues sur la qualité de service et l’information des voyageurs. D’où le temps mis à le conclure.

Les usagers remboursés en cas de régularité inférieure à 80 % pendant au mois trois mois

« Il y a beaucoup de nouveaux objectifs. Le nombre d’indicateurs va augmenter. 50 % ont été modifiés, 34 % sont nouveaux », souligne Catherine Guillouard. Pour tenir les engagements, le dispositif bonus-malus est renforcé. Son enveloppe atteint 100 millions d’euros annuels, soit une multiplication par quatre comparé au précédent contrat. « 25 % seront directement liés à la perception des voyageurs notamment sur leur ressenti en matière de propreté, sur les dégradations (et notamment les tags sur le matériel roulant et en stations) ou sur la prise en charge pendant les travaux », indique Valérie Pécresse, la présidente d’IDFM.

Sur les RER A et B, la ponctualité sera mesurée chaque semaine, et non plus mensuellement, avec des objectifs par branche et non plus uniquement par ligne. Le calcul des bonus-malus sur la régularité des métros se fera mensuellement et sera basé sur des indicateurs rehaussés pour les lignes automatiques et semi-automatiques. En cas de régularité inférieure à 80 % sur trois mois ou plus sur les axes du RER, les usagers percevront un remboursement automatiquement.

Les investissements portés à 1,6 milliard chaque année

Les investissements sont en hausse, portés à 1,6 milliard d’euros chaque année contre un milliard d’euros précédemment. Dont 60 % apportés par IDFM. Ce qui permettra notamment de renouveler le matériel roulant, avec les nouveaux RER B dont la première livraison est attendue fin 2025, les nouveaux trains MF19, le tramway T1 totalement renouvelé avant la fin 2024, et le remplacement total des bus diesel d’ici la fin 2025.

Ce contrat, courant jusqu’en 2024, doit surtout être regardé comme une période de transition permettant de préparer l’ouverture à la concurrence. C’est d’ailleurs « le dernier négocié de gré à gré avec la RATP s’agissant du réseau de bus », notent les deux contractants. « La RATP en sortira plus forte car elle aura fait encore plus en termes de qualité de service rendu aux clients », commente Valérie Pécresse.

La transmission de données encadrée pour lancer les appels d’offres

Sur le plan financier, le contrat prévoit un intéressement de la RATP sur le niveau des recettes voyageurs et des validations. L’autorité organisatrice demande aussi au transporteur un effort de productivité, évalué à 1 % net, ce qui permet de baisser sa contribution d’exploitation de 230 M€ entre 2020 et 2024, pour s’établir à 4 480 M€ en 2024.

Le contrat prévoit la transmission de données de l’opérateur à l’autorité organisatrice pour lui permettre de lancer ses appels d’offres. Les centres de bus et le matériel roulant devant être récupérés par l’autorité organisatrice, la RATP sera dédommagée. La valeur nette des actifs ayant été évaluée à 1,7 milliard d’euros, un milliard sera remboursé via la subvention prévue par le contrat et il ne restera plus à payer à la RATP « que » 728 millions d’euros en 2024.

Enfin, le contrat clarifie la rémunération des différentes activités de la RATP, en séparant l’exploitation de la gestion des infrastructures et de la sûreté, les deux dernières activités restant en monopole et gardant leur structure alors que l’exploitation va être segmentée. La loi d’orientation des mobilités prévoit la validation de l’Autorité de régulation des transports (ART) qui devra valider la rémunération versée à la RATP au titre de ses activités de gestionnaire d’infrastructure et de sûreté. Le contrat sera donc soumis pour approbation à l’ART dès sa signature.

Marie-Hélène Poingt

Ewa

En remportant le réseau de Thionville, Keolis se renforce dans le Grand Est

thionville

Le Syndicat mixte des transports urbains (SMITU) de Thionville-Fensch a retenu, mi-février, Keolis pour l’exploitation et la maintenance de son réseau de transport public, Citéline, qui s’articule autour de 68 lignes. Le contrat doit débuter à partir du 1er avril et durer cinq ans, générant un chiffre d’affaires cumulé de 90 millions d’euros.

Parmi ses missions, la filiale de transport public de la SNCF explique qu’elle devra « accompagner la SMITU dans la préparation de la mise en service d’un bus à haut niveau de service (BHNS) électrique en 2026. Cette mise en service nécessitera la construction d’un nouveau dépôt et d’un centre de maintenance à Florange destiné à accueillir, d’ici 2025, l’ensemble de la flotte du réseau ». Keolis s’engage aussi à augmenter les recettes de 12,6 % d’ici à 2025. Actuellement, le réseau enregistre cinq millions de voyages par an.

Le gain de ce contrat permet à Keolis d’accroître sa présence dans la partie lorraine de la Région Grand Est, souligne l’opérateur, en rappelant exploiter notamment les réseaux de Nancy, de Metz et d’Epinal.

Ewa

Keolis conserve l’exploitation des transports publics d’Alès

Bus à Alès

Le changement dans la continuité. Depuis le 1er janvier, Keolis poursuit l’exploitation des transports publics d’Alès (dans le Gard) mais dans le cadre d’un nouveau contrat remporté après appel d’offres. Cette nouvelle délégation de service public, d’une durée de neuf ans, doit générer plus de 120 millions d’euros cumulés. Avec l’objectif d’augmenter la fréquentation des transports publics et les recettes de 28 %.

Rebaptisé Ales’Y (il s’appelait jusqu’alors NTecC), le réseau va couvrir 25 lignes supplémentaires. Le contrat prévoit aussi le doublement de la flotte de vélos électriques, la conversion des navettes du centre-ville en 100 % électrique avec gratuité, le lancement au printemps d’un réseau de covoiturage et enfin la mise en service de 50 trottinettes électriques pour permettre aux “covoitureurs” d’effectuer les derniers kilomètres jusqu’à leur destination finale.

Ewa

Le contrat de Keolis renouvelé à Châtellerault

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La Communauté d’Agglomération du Grand Châtellerault, dans la Vienne, a renouvelé le 16 novembre le contrat de Keolis pour l’exploitation et la maintenance de l’ensemble du réseau TAC. Ce contrat de délégation de service public débutera le 1er avril 2021 et durera 5 ans. Il générera un chiffre d’affaires cumulé d’environ 15 M€.

Parmi les nouveautés, Keolis doit renforcer l’offre de transport les soirs et les week-ends, ainsi que sur les lignes les plus fréquentées. Le service de transport sera également étendu à de nouvelles communes de l’agglomération, qui passeront de 12 à 17. Ce qui permettra à 64 000 habitants (contre 55 000 aujourd’hui) de bénéficier d’un service de mobilité.

« D’ici la fin du contrat, Keolis aura également comme objectif d’augmenter la fréquentation de 15 % et les recettes commerciales de 27 % », note l’opérateur dans un communiqué.