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Ewa

Un TER déraille dans les Pyrénées-Orientales suite à une coulée de boue

Millas

Un TER a déraillé le 24 juillet vers 6h30 du matin à la hauteur de la commune d’Eus (Pyrénées-Orientales) sur la ligne Villefranche-Vernet-les-Bains-Perpignan, faisant cinq blessés légers, dont le conducteur et un autre agent de la SNCF. Les quatre autres passagers qui se trouvaient également à bord sont indemnes, a indiqué la préfecture des Pyrénées-Orientales.

Une enquête est en cours pour connaître les circonstances exactes de l’accident. Selon les premières constatations, il semble qu le déraillement est survenu suite à une coulée de boue et une chute de rochers. Les circulations ont été interrompues sur cet axe. La compagnie a mis en place « une substitution par autocar sur cet axe ».

Ewa

Un TER déraille près de Lyon à cause des intempéries

TER AURA

Un TER, parti  hier de Firminy (dans la Loire) pour rejoindre Lyon Perrache (dans le Rhône), a déraillé peu avant 19 heures, suite à un choc avec un obstacle sur les voies à hauteur de Grigny-le-Sablon, au sud de Lyon. Il s’agit d’un affaissement de talus sans doute provoqué par les très fortes intempéries qui se sont abattues toute la journée sur la région. Le train est « partiellement sorti des rails » mais est resté « debout« , selon la SNCF.

Parmi les quelque 160 passagers à bord, qui ont été évacués, un homme a été légèrement blessé au genou tandis qu’une femme enceinte était également prise en charge par les pompiers. La ligne sera interrompue au moins jusqu’au 1er mai.

Un journaliste de France 3 à bord a témoigné sur X (ex-Twitter) :

Ewa

Nouveau déraillement sur la Route du fer

Rouverte le 20 février, après deux mois d’interruption consécutifs à un déraillement survenu en décembre, la ligne de Kiruna à Narvik, principal itinéraire pour l’exportation du minerai de fer suédois, est à nouveau coupée depuis le 24 février. Et ce, pour la même cause… et au même endroit : les abords de la gare de Vassijaure, à 7 km de la frontière norvégienne. Cette fois, c’est un train vide, de retour du port de Narvik, qui a endommagé des traverses, des rails et des poteaux de caténaires sur un tronçon de six kilomètres, plus à l’ouest que la section reconstruite ces deux derniers mois.
Après ce nouveau déraillement, aucune date n’est donnée pour la réouverture de la ligne. Si la situation est difficile pour l’entreprise minière d’Etat LKAB, elle devient intenable pour Kaunis Iron, nouveau venu dans le secteur.
La Commission d’Etat suédoise des Accidents (Statens haverikommission) s’est rendue sur place pour décider si elle doit enquêter sur ce déraillement, comme sur le précédent. Toujours est-il que cette fois, la police a ouvert une enquête préliminaire, pour sabotage, mais « personne n’est soupçonné » à l’heure actuelle.
Plus que jamais, les acteurs de la vie économique de la Laponie suédoise et du nord de la Norvège, ainsi que les communes de Luleå, Kiruna et Narvik, font entendre leur voix et exigent une mise à double voie de la ligne la plus chargée de la région, par une lettre ouverte aux gouvernements suédois et norvégien, publiée le 21 février… trois jours avant le nouveau déraillement.

Ewa

De très importantes perturbations sur la ligne B du RER après le déraillement d’un train

Déraillement d'un RER B le 24 juin à Denfert-Rochereau

La RATP a annoncé que le trafic serait très perturbé les 25 et 26 juin suite au déraillement d’un RER B le 24 juin vers 19 heures L’interconnexion reste aussi suspendue en gare du Nord, pendant l’opération de relevage, indique dans un communiqué la Régie qui ne prévoit pas un retour à la normale avant la fin du week-end.

Pour une raison encore inconnue, une voiture de l’arrière d’un train (une rame MI 79) est sortie du rail au sud de la gare de Denfert-Rochereau. « L’avant du train est quant à lui resté sur la voie alors que trois autres voitures se sont retrouvées à cheval entre le ballast et une autre voie », explique la RATP. La rame ne transportait pas de voyageurs et aucun blessé n’est à déplorer.

Une enquête est en cours pour comprendre les causes de l’accident. « Les premiers éléments font état du fait que le dernier entretien courant du train a été réalisé le 22 juin, conformément au référentiel de maintenance, et que l’appareil de voie a également fait l’objet d’un entretien récent préventif le 12 mai dernier », souligne la RATP.

L’hypothèse de la chaleur, qui dilate les rails, a été évoquée par l’association Plus de Trains. « Dès qu’il fait chaud nos trains et RER ne tiennent pas », déplore l’association sur son compte Twitter. « Il est urgent de les moderniser afin de ne pas revenir sur les engagements pris », ajoute-t-elle.

Il y a exactement deux ans, c’était la pluie (diluvienne) qui avait entraîné inondations et torrents de boue dans la région parisienne. Un talus avait été emporté par les eaux et un RER B avait alors déraillé à proximité de la gare de Courcelles-sur-Yvette dans l’Essonne, faisant sept blessés légers.

Ewa

Après le déraillement du TGV Est, le temps de l’évacuation et des travaux

La motrice du TGV Colmar-Paris qui avait déraillé le 5 mars après l’effondrement d’un talus de terre sur la voie a été relevée et évacuée le 9 mars. Les autre voitures devaient suivre.

Après l’enlèvement de la caténaire de 25 000 volts de la ligne sur une distance de 500 mètres sur chacune des deux voies, puis l’acheminement d’une grue de relevage, la motrice a été remise sur les rails le 8 mars en début d’après-midi. Elle a ensuite été tirée  jusqu’à une voie d’évitement.

L’équipe d’intervention composée de 18 agents a débuté le lendemain l’expertise de la deuxième voie avant la remise sur les rails des trois voitures qui étaient à l’avant du train et ont aussi déraillé.

La ligne va rester bloquée pour une durée encore inconnue, le temps de l’expertise des voies et de la réparation. Pendant ce temps, les trains empruntent la ligne classique, ce qui prolonge de 40 mn environ la durée d’un trajet entre Strasbourg et Paris.

Pour voir la vidéo en ligne du relevage de la motrice : ici