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Ewa

Transformer des aires de livraison en zone de stationnement payant ?

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Les enjeux de logistique urbaine et de nuisances générées par le transport de marchandises dans l’espace public : un sujet dont ont décidé de s’emparer depuis deux ans les élus du Groupement des autorités responsables de transport (Gart). En lien avec d’autres associations d’élus, France Urbaine, Intercommunalités de France et Régions de France, ainsi que France Logistique, le Cerema et le programme d’accompagnement vers une logistique urbaine durable, InterLud.

« Un travail de diagnostic sur le terrain a été opéré en suivant plusieurs livreurs en tournée à Paris, ainsi qu’à Barcelone qui constitue un exemple à suivre [utilisation obligatoire d’une application par les chauffeurs-livreurs. Les véhicules de livraison sont préalablement enregistrés avec leur plaque d’immatriculation, et le livreur a l’obligation de se signaler sur l’aire], la problématique de la gestion et de la régulation des aires de livraison est vite apparue« , indique le Gart dans sa newsletter. L’association lance un appel à candidatures auprès des collectivités locales qui veulent tenter de transformer des aires de livraison en zone de stationnement payant, avec un barème tarifaire spécifique. Objectif, lancer les premières expérimentations fin 2024 ou en 2025.

Date limite de clôture des candidatures 15 mars 2024.

Ewa

Alexandre Magny assurera en juin la direction générale du Gart

Alexandre Magny

Guy Le Bras, directeur général du Groupement des autorités responsables de transport (Gart), s’apprête à faire valoir ses droits à la retraite, après quatorze années passées au sein de cette association de défense des AOM, où il était reconnu pour son expertise. C’est son adjoint avec qui il travaille en étroite collaboration, Alexandre Magny, qui prendra le relais à partir du mois de juin.

Âgé de 51 ans et diplômé d’une licence de droit public et d’une maîtrise de droit des affaires, Alexandre Magny  a débuté sa carrière en 1997 au sein du Conseil régional de Bourgogne en tant que chargé d’études sur le contrat de plan État-Région. En 2001, il devient chef de cabinet du président de la Communauté d’agglomération dijonnaise. Il rejoint le Gart en 2002 comme directeur administratif et financier avant de devenir secrétaire général de l’association en 2010. Depuis septembre 2021, Alexandre Magny occupait la fonction de directeur général adjoint.

Ewa

Elus et professionnels réclament la nomination d’un ministre des Transports

Elysee France

Depuis la démission du gouvernement Borne et l’arrivée à Matignon le 9 janvier de Gabriel Attal, c’est l’attente parmi les professionnels du transport public et les élus chargés de ces questions : qui sera le(la) prochain(e) ministre des Transports?

La déception est perceptible : si le ministre de tutelle, Christophe Béchu, est maintenu au ministère de la Transition écologique (mais sans l’énergie qui passe désormais dans le giron du patron de Bercy, Bruno Lemaire), les transports ne sont pas représentés pour le moment au sein du nouveau gouvernement et ses 14 ministres aux compétences très larges. Et la lutte contre le réchauffement climatique n’apparaît plus en première ligne dans le discours politique. Or, les transports sont responsables de 30 % des émissions de gaz à effet de serre…

Du côté des associations de défense de l’environnement, on s’inquiète d’un amoindrissement des compétences de l’Hôtel de Roquelaure, tout en notant un « point positif : le maintien de la planification écologique à Matignon« .

Dans un communiqué du 16 janvier, le Groupement des autorités responsables des transports réclame la nomination d’un « ministre de plein exercice » en rappelant que « la mobilité est un enjeu du quotidien et se déplacer une nécessité pour tous nos concitoyens« . Selon le Gart, « l’absence d’un ministre dédié pour les Transports témoignerait d’une contradiction avec les objectifs affichés, alors même que les défis à relever restent considérables : consolidation du modèle économique des transports publics, accompagnement du verdissement des flottes de bus et de cars, mise en service des réseaux express régionaux métropolitains (SERM), concrétisation du titre unique… »

Même demande du côté de l’UTP, pour qui le rôle d’un(e) ministre des Transports  « sera déterminant pour mettre en œuvre l’objectif de report modal fixé par le président de la République dans le cadre de la planification écologique et garantir l’accroissement indispensable de l’offre de transport public urbain et de transport ferroviaire de voyageurs et de marchandises sur tout le territoire. A plus court terme, son rôle sera aussi décisif pour contribuer au succès des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024« .

L’histoire semble se répéter :  la nomination de Clément Beaune au poste de ministre délégué aux Transports (jusqu’ici non reconduit), n’était intervenue que le 4 juillet 2022, soit plus de deux mois après la ré-élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République. Avec, à l’époque, la même consternation face au peu d’intérêt du pouvoir politique pour le transport public…

MH P

 

 

Ewa

Charles-Eric Lemaignen, nouveau président du GIE Objectif Transport Public

Charles-Eric Lemaignen

Le conseil d’administration du GIE Objectif Transport Public a élu à sa tête, le 8 novembre, Charles-Éric Lemaignen. Vice-président grands équipements, connexions métropolitaines et parkings en ouvrage d’Orléans Métropole et deuxième vice-président du GART, il succède à Marc Delayer, directeur général des Transports Publics du Choletais, pour un  mandat de deux ans.

Trait d’union entre le GART et l’UTP, le  GIE rappelle dans un communiqué avoir « pour mission la promotion de la mobilité durable et la valorisation du transport public au travers de ses manifestations professionnelles (RNTP, EUMO) et grand public (La Rentrée du Transport Public)« .

Ewa

Au Gart, deux élus sont maintenant chargés des RER métropolitains

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Alors que députés et sénateurs viennent de s’accorder sur la proposition de loi sur les services express régionaux métropolitains (Serm) qui devrait être adoptée dans les prochains jours à l’Assemblée nationale, (Serm), l’association des élus locaux en charge des mobilités, le Gart, a nommé début novembre deux vice-présidents dédiés au sujet de ces futurs RER métropolitains.

Il s’agit de Gérard Chausset, président (écologiste apparenté PS) de la commission transports de Bordeaux Métropole, et de Jean-Pierre Serrus, chargé des transports (LREM) à la Région Sud-Paca.

Le coût de ces nouveaux services métropolitains express (trains ou bus à haut niveau de service, et même lignes régulières de covoiturage militent certains) dans plus d’une dizaine de villes, a été estimé par le Sénat entre 15 et 20 milliards d’euros, sur une dizaine d’années. L’État a promis 767 millions d’euros pour aider les régions à les financer, ce qui n’est « pas un financement exhaustif et définitif « , a récemment indiqué le ministre délégué aux Transports Clément Beaune, cité par l’AFP. Une conférence nationale de financement doit se tenir d’ici le 30 juin 2024. Le Gart portera les demandes de financement des régions et des métropoles.

Ewa

Louis Nègre réélu à la présidence du GART

congrès FNTV : Ministres, Michel Seyt, intervenants et tables rondes. du 14 octobre 2015

Le conseil d’administration du GART (Groupement des autorités responsables de transport), qui se tenait aujourd’hui, a reconduit Louis Nègre à sa présidence. Celui-ci est également maire de Cagnes-sur-Mer et président délégué de la Métropole Nice-Côte d’Azur.
Le nouveau conseil d’administration, qui se réunira le 25 novembre, est composé de 48 administrateurs, dont 27 nouveaux élus, « respectant l’équilibre politique » du pays.

Ewa

Après l’accord IDFM-Etat sur la facture du Covid, les transports publics attendent leur tour

Tram de Nice

Une bonne nouvelle pour le transport public. C’est le jugement de Thierry Mallet, le PDG de Transdev, également président de l’UTP (Union des Transports Publics), après l’accord annoncé hier soir entre l’Etat et Ile-de-France Mobilités pour éponger les pertes subies par les transports franciliens avec la crise sanitaire. « J’espère que l’accord entre IDFM et l’Etat servira de référence pour l’ensemble des transports publics », commente-t-il.

Les transports publics en province ont eux aussi subi de plein fouet la crise. Selon l’UTP, les recettes commerciales sont en chute libre : au total, les pertes sont estimées à deux milliards d’euros pour cette année. En ajoutant les pertes liées au Versement mobilités (taxe versée par les employeurs de plus de 11 salariés), estimées à deux milliards, l’addition approche les quatre milliards. Hors Ile-de-France, les pertes s’élèvent à 1,4 milliard d’euros.

Redonner confiance 

Les opérateurs de transport ont également dû faire face à des coûts supplémentaires du fait des contraintes sanitaires (masques, nettoyages renforcés…). Thierry Mallet réclame donc à l’Etat un plan de soutien, sur le modèle de ce qui a été fait « en Allemagne, qui a débloqué six milliards d’euros pour les transports publics, aux Pays-Bas (1,5 milliard) ou aux Etats-Unis avec 25 milliards ».

Selon l’UTP, ce soutien devrait se traduire dès 2020 « par une compensation de la baisse du Versement mobilités et des pertes de recettes commerciales, un taux de TVA réduit à 5,5 % en 2021, un soutien adapté en 2021, en fonction de l’évolution des recettes fiscales et commerciales ».

Louis Nègre, le président du Gart, rappelle que toutes les données ont été fournies à Bercy sur les pertes financières enregistrées par les autorités organisatrices en province. « Bercy a reconnu la fiabilité de nos chiffres. Nous avons une base sur laquelle nous pouvons travailler », affirme le maire de Cagnes-sur-Mer. D’autant que maintenant, les exécutifs se sont mis en place, parfois avec retard suite aux élections municipales.

Louis Nègre invite aussi toutes les autorités organisatrices des mobilités à présenter des projets de transport qui pourraient entrer dans le plan de relance présenté le 3 septembre par le gouvernement. Les fonds apportés aux mobilités du quotidien dans ce plan se montent à 1,2 milliard d’euros. Ils s’ajoutent aux 400 millions d’euros qui étaient déjà budgétés pour les transports publics.

Enfin, autre enjeu pour le secteur, qui organise la semaine du transport public du 16 au 22 septembre ; il va falloir redonner confiance pour que les Français remontent à bord des transports en commun, sans crainte d’être contaminés par la Covid-19. Lors de la première semaine de rentrée, les taux de fréquentation ont oscillé entre 60 et 80 % selon les réseaux.

M.-H. P. 

Ewa

Le Gart réclame la compensation intégrale de la baisse du versement mobilité

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Le groupement des autorités responsables de transport tire la sonnette d’alarme : dans peu de temps, les collectivités, y compris les plus importantes, ne seront plus en mesure de financer les transports publics, affirme-il dans une lettre adressée au Président de la République.

Dans son courrier envoyé le 20 mai, le Gart explique que « alors même que les réseaux de transport public ont largement participé au maintien des services publics pendant la période de confinement, les conditions du déconfinement laissent penser que, si l’offre de mobilité va rapidement retrouver son niveau d’avant la crise, la fréquentation mettra, quant à elle, de très nombreux mois avant de retrouver son niveau antérieur ». Selon l’association réunissant des élus, les collectivités locales vont faire face, très rapidement, à un déficit de ressources qu’elle évalue « à près de deux milliards d’euros en termes de versement mobilité et à plus deux milliards d’euros pour ce qui est de la baisse des recettes tarifaires » d’ici à la fin de l’année.

Parmi les exemples les plus marquants, le Gart cite Île‐de‐France Mobilités (IDFM) qui « ne sera plus en mesure, à compter de la fin août, de s’acquitter de sa contribution auprès de ses opérateurs ».

Avant la crise, rappelle l’association, « le versement mobilité représentait le tiers des ressources pour financer le transport du quotidien en Île de France et près de la moitié en province ». Cette ressource étant « vitale » pour les autorités organisatrices de la mobilité, « il n’y a pas d’autre issue que d’en compenser intégralement la baisse qui est directement la conséquence de la crise sanitaire », estime le Gart. (pour lire le courrier adressé au président de la République : ici )

M.-H. P.