Les organisateurs des JO de Paris ont ouvert lundi 15 juillet les 185 kilomètres de voies olympiques et paralympiques réservées aux athlètes, aux officiels, aux bus de transport public, taxis, secours, journalistes accrédités et aux services de sécurité, pour accéder rapidement aux sites des épreuves.
Ces voies se situent à Paris, dans les Hauts-de-Seine, en Seine-Saint-Denis et sur certains axes autoroutiers franciliens (A1, A12, A13, A4 et sur la RN13). Certaines bretelles d’accès sont également réservées.
Opérationnelles en continu jusqu’au 13 août, elles seront ensuite suspendues avant de rouvrir à partir du 22 août pour les Jeux paralympiques, jusqu’au 11 septembre. Sur l’A1, le dispositif reste en service sans interruption du 15 juillet au 11 septembre.
La promesse du Cojop est ambitieuse : les athlètes ne doivent pas avoir un temps de parcours supérieur à trente minutes entre deux sites de compétition.
Le contrôle des véhicules autorisés à circuler sur ces voies est assuré par la Préfecture de police, autorité compétente sur la circulation dans toute l’Île-de-France pendant toute la durée des Jeux. Tout véhicule non autorisé se verra infliger une amende de 135 euros et sera passible de poursuites judiciaires, indique la Direction régionale des routes sur son site.
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Certaines voies olympiques vont-t-elles devenir des voies de covoiturage après les JO ? Le sujet est sur la table.
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