Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

Keolis conduira le tram de Manchester trois ans de plus

Lancé en 1992, le Metrolink de Manchester, premier « tramway de deuxième génération » britannique, est en pleine extension depuis 2010.

Transport for Greater Manchester (TfGM), l’autorité organisatrice des transports du Grand Manchester, prolonge de trois années le contrat d’exploitation et de maintenance du réseau de tramways Metrolink, confié depuis 2017 à la joint-venture KeolisAmey Metrolink Ltd (KAM), qui regroupe le Groupe Keolis (60 %) et l’entreprise britannique Amey (40 %).

Depuis son inauguration en 1992, le réseau de tramway Metrolink est devenu le plus étendu de Grande-Bretagne, avec 8 lignes totalisant 103 km (troncs communs comptés une fois) et desservant 99 arrêts (à quais hauts), dont l’aéroport international. Circulant dans les rues du centre de Manchester, mais aussi dans certains quartiers en périphérie, les 147 tramways Bombardier M5000 du parc Metrolink empruntent également d’anciennes lignes de trains de banlieue.

« L’ambition est d’accroître la fréquentation du réseau grâce à une qualité de service aux passagers accrue », déclare la joint-venture KeolisAmey Metrolink, qui souligne que « la sérénité et la sécurité à bord feront l’objet d’une attention toute particulière, dans la lignée des mesures prises depuis 2017 avec la présence renforcée d’agents de sécurité sur le réseau et la signature d’un partenariat avec les forces de police du Grand Manchester ».

Ewa

Jean-Christophe Combe, de ministre des Solidarités à directeur du Marketing pour Keolis

Jean-Christophe Combe

Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes Handicapées, de juillet 2022 à juillet 2023, Jean-Christophe Combe est attendu le 1er février chez Keolis pour prendre la direction du Marketing, Innovation, Développement Durable et Engagement de l’entreprise. Il intègre à ce titre le comité exécutif de l’opérateur de transport public.

Agé de 42 ans, ce diplômé de Sciences Po Paris a débuté en 2003 sa carrière au Sénat avant de rejoindre en 2007 le cabinet Deloitte où il est nommé collaborateur Audit et secteur public. De 2008 à 2011, il occupe successivement des postes en collectivités locales, avant de rejoindre la Croix Rouge française en avril 2011 et d’en prendre la direction générale à partir de 2016.

 

Ewa

Les transports d’Auxerre passent à l’adversaire

Safra Businova H2 pour le réseau d'Auxerre.

Keolis arrache à Transdev le marché des transports publics d’Auxerre et son agglomération (29 communes, 67 000 habitants). Un contrat de huit ans qui démarre le 1er janvier 2024, pour un chiffre d’affaires annuel d’environ 9 millions d’euros, indique la filiale de la SNCF dans un communiqué.

En attendant la refonte complète du réseau de transport public, Léo, prévue en septembre 2024, avec des bus plus fréquents, des nouvelles liaisons et dessertes, et la restructuration de l’offre de transport scolaire pour diminuer les temps de trajet des élèves, un nouveau service de transport à la demande (TAD) est demandé dès le 1er janvier. Puis, en 2025, un nouveau service de TAD tôt et tard le soir dans le périurbain.

Le contrat prévoit l’achat progressif de 15 bus à hydrogène, 8 au biocarburant HVO (à base d’huiles végétales usagées) et 6 minibus électriques. Avec un nouveau dépôt qui doit être construit à horizon 2026.

Keolis est par ailleurs reconduit pour six ans au volant des transports de l’agglomération de Grand Bourg dans la Creuse (74 communes 134 000 habitants) pour un chiffre d’affaires annuel de 17,5 millions d’euros. Le groupe doit déployer près d’une vingtaine de bus électriques, et d’ici à 2029, accroitre la fréquentation des bus de 26 %, pour atteindre 4,5 millions de voyages par an. Plus de fréquences, des nouvelles liaisons périurbaines, un nouveau service de TAD, de nouvelles lignes de covoiturage, des vélos en libre-service : la demande de la collectivité locale, c’est le report modal de la voiture individuelle vers les transports en commun.

N.A

Ewa

La justice retoque le choix de Quimper en faveur de RATP Dev pour son réseau de transport

bretagne bus quimper

Coup dur pour la communauté d’agglomération de Quimper Bretagne Occidentale (QBO) qui avait choisi RATP Dev comme nouveau délégataire de ses transports publics à partir du 1er janvier prochain. Le 31 octobre, le tribunal administratif de Rennes a annoncé l’annulation de la procédure de consultation et de mise en concurrence.

Le tribunal pointe la méthode de notation retenue qui ne reflète pas la « valeur intrinsèque des offres ». Dans leur ordonnance, les magistrats expliquent que cette méthode a eu notamment pour effet de « fausser profondément et substantiellement les résultats issus de l’évaluation« . En conséquence, écrivent-ils, il a été « porté atteinte au principe d’égalité entre les candidats« .

« Cette méthode de notation avait déjà été préalablement utilisée, sans qu’elle ne soit alors contestée, pour l’attribution de la précédente délégation de service public« , explique de son côté la collectivité, qui décidé de faire appel de cette décision devant le Conseil d’Etat.

Rappelons que le 28 septembre dernier, la QBO avait retenu RATP Dev pour prendre le volant de ses bus, à la place de Keolis l’exploitant historique du réseau. La filiale de transport public de la SNCF, mais aussi Transdev qui faisait partie de la compétition, ont tous deux saisi le tribunal administratif pour contester cette décision. Transdev demande désormais la relance « d’une nouvelle procédure dans une situation exceptionnelle ».

MH P

Ewa

Frédéric Baverez devient Facility manager

club vrt keolis fbaverez copie

L’ancien directeur Exécutif France de Keolis doit prendre le 6 novembre la présidence d’Atalian, leader européen indépendant des services externalisés aux entreprises. Cette société de « Facility management » (ce qui englobe le nettoyage, la sécurité, les services de réception, l’entretien des bâtiments, les services mécaniques et électriques, la restauration, etc.) réalise un chiffre d’affaires de deux milliards d’euros, emploie plus de 70 000 employés, et est présent dans vingt pays. Parmi les grands comptes en France, Aéroports de Paris et le groupe SNCF.

Ewa

Marie-Ange Debon réorganise la gouvernance de Keolis

1607537371016 e1693327144934

Chambardement dans la gouvernance de Keolis. Après 18 années passées chez l’opérateur de transport public, dont 10 ans en tant que directeur exécutif France, Frédéric Baverez quitte le groupe. Marie-Ange Debon, la présidente du directoire, souhaitait en effet depuis plusieurs mois revoir la composition du Comex et rééquilibrer le poids des différentes activités. Frédéric Baverez, qui était également PDG d’Effia, n’y était pas favorable. Il en a tiré les conséquences et négocié son départ. Arnaud van Troeyen, directeur International adjoint, et depuis 2007 chez Keolis, part également.

« Depuis longtemps, je me demandais si la composition du Comex représentait l’équilibre du groupe. Il y avait deux patrons fonctionnels (Frédéric Baverez et Bernard Tabary décédé le 19 mars dernier, ndlr) mais je n’avais pas de patrons non français pour représenter l’international alors que cette activité représente 50 % du chiffre d’affaires du groupe. Après le départ de Bernard, je voulais renforcer la partie opérationnelle et avoir quatre BU de taille similaire. Enfin, je voulais faire venir de nouveaux talents puisque les problématiques changent, voire accélèrent, comme c’est le cas par exemple de la montée des préoccupations environnementales « , explique à VRT Marie-Ange Debon.

D’où sa décision de diviser en deux la direction France et la direction International. Côté France, Anne-Lise Avril, jusqu’alors directrice Marketing, innovation et nouvelles mobilités et déjà au Comex, est nommée directrice générale France, Grands Réseaux Urbains. Elle sera responsable des grands réseaux de Bordeaux, Lille, Lyon et Rennes, des grands réseaux urbains (tels que Besançon, Caen, Orléans, Perpignan…) , de la filiale Hove (spécialisée dans les outils numériques) et de Cykleo (solutions vélo).

Clément Michel, qui était DRH, également au Comex, prend la direction générale France, Ile-de-France et Territoires (interurbain et petits urbains), ainsi que celle de Keolis Santé et de Kisio.

A l’international, Laurence Broseta, directrice international du groupe UGI après avoir quitté début 2019 Transdev, revient dans le monde du transport public en devenant directrice générale International de Keolis. Elle s’occupera plus précisément de l’Australie, de l’Amérique du Nord, de la zone UK/Moyen-Orient/Inde et de la Chine. De son côté, Jan Kilström, jusqu’alors directeur général de Keolis Suède, est nommé directeur général Europe continentale, responsable de la Belgique, du Danemark, des Pays-Bas et de la Suède. Tous deux intègrent le Comex.

Lydie Jallier, qui était la directrice du Recrutement de Safran, remplace Clément Michel à la DRH. Elle rejoint aussi le Comex. Enfin, Pierre Gosset, directeur Industriel, également au Comex, devient en plus responsable de la Santé & Sécurité, de la Sûreté et du projet d’entreprise Keolis Way.

Dans les faits, trois ans après son arrivée à la tête de la filiale de la SNCF, Marie-Ange Debon va donc disposer à partir de septembre d’un Comex remanié, majoritairement féminin (cinq femmes et trois hommes), faisant fi du passé (il ne comprend plus qu’un seul « ancien », Clément Michel) et surtout complètement à sa main.

Marie-Hélène Poingt

 

Ewa

Keolis remporte un contrat de bus de la proche banlieue de Stockholm

keolis suede contrat bus e4225 copie e1686235019522

L’autorité organisatrice des transports de la région de Stockholm, Trafikförvaltningen (SL), a attribué à Keolis Sverige AB l’exploitation de 54 lignes de bus dans la proche banlieue nord-ouest de Stockholm (quartier de Bromma et communes de Solna, Sundbyberg et Sollentuna, 476 000 habitants).

D’un montant global de sept milliards de couronnes (600 millions d’euros) sur dix ans, le contrat comprendra, outre l’exploitions de 54 lignes de bus, la gestion du foncier de SL (dépôts et espaces ouverts au public) dans le secteur, ainsi qu’un renouvellement du parc, actuellement constitué de véhicules biodiesel (huile végétale hydrotraitée), par la mise en service de bus à batteries, de façon à assurer 80 % du kilométrage en mode électrique. Ce qui implique l’adaptation des dépôts à la recharge et à la maintenance de bus à batteries d’ici le début de la période contractuelle.

À la rentrée d’août 2024, les 515 salariés de la filiale suédoise de Keolis reprendront la desserte de près de 1 400 points d’arrêts dans ce secteur, avec un parc de 200 bus standard ou articulés. Cette desserte est actuellement assurée par VR Sverige AB, filiale de l’opérateur ferroviaire historique finlandais VR, qui avait repris les activités suédoises d’Arriva en 2022.

SL a jugé que l’offre de Keolis était la meilleure en se basant sur les critères de prix et de qualité. Le contrat comprend en particulier des bonus et malus pour, entre autres, le taux de réalisation du service, la ponctualité et la satisfaction des usagers, au nombre de 130 000 par journée ouvrable d’hiver sur le secteur desservi (28,5 millions de voyages annuels).

P. L.

Ewa

Keolis confirmé sur les lignes 16 et 17 du futur métro Grand Paris Express

Valérie Pécresse

Les premières attributions de lignes du prochain métro automatique autour de Paris, le Grand Paris Express, ont été actées mardi 30 mai par le conseil d’administration d’Ile-de-France Mobilités. Et c’est bien Keolis, candidat pressenti, qui exploitera à partir de fin 2026 les premiers tronçons des lignes 16 et 17, entre Saint-Denis-Pleyel et Clichy-Montfermeil, et Saint-Denis-Pleyel – Le Bourget.

Keolis exploitera donc la station Saint-Denis-Pleyel qui sera desservie pour les JO 2024 par la ligne 14 prolongée jusqu’à Orly, et exploitée par la RATP.

Les extensions vers Noisy-Champs, le Triangle de Gonesse, le Parc des Expositions de Villepinte et Le Mesnil-Amelot via l’Aéroport Charles-de-Gaulle, interviendront au cours de ce contrat de 300 millions d’euros qui démarre au 1er juillet 2023 pour sept ans (avec trois années optionnelles).

Le nom du vainqueur de la ligne 15 Sud sera connu le 18 juillet, a annoncé Valérie Pécresse qui a redit devant la presse ses inquiétudes sur le financement des coûts d’exploitation du nouveau métro. « Cela représente 300 millions d’euros pour les premières lignes qui doivent être mise en service, la 16 et la 17. Je n’ai pas le moindre sou pour cela. L’horloge tourne ».

La présidente de la région et de son autorité organisatrice des transports, Ile-de-France Mobilités (IDFM) se refuse pour autant à augmenter le prix des billets et le Passe Navigo. Elle insiste sur les pistes avancées pendant les Assises du financement des transports publics organisées en janvier dernier (taxe sur les billets d’avion, surtaxe de séjour, taxe Amazon sur les colis du e-commerce, écotaxe logistique sur les véhicules polluants, plus-value immobilière sur la vente des biens situés près des gares du nouveau métro etc.). Un rapport de l’Inspection générale des finances et du conseil général du développement durable a récemment été remis gouvernement. « Pour l’instant, je n’ai ni le son, ni l’image« , a taclé, comme à son habitude, Valérie Pécresse.

IDFM aura besoin de 1,4 milliard d’euros supplémentaires par an quand le métro du Grand Paris sera achevé au début des années 2030. Et dès 2024, il lui faut trouver 800 millions (dont 200 millions pour financer les transports des Jeux olympiques et paralympiques). « Ce que nous voulons, c’est une réponse globale jusqu’en 2030 pour pouvoir voir venir sereinement, et pouvoir ouvrir sereinement ces lignes. Si nous ne sommes pas en mesure d’en financer l’exploitation, je n’ouvrirai pas les lignes en 2024« , menace l’élue LR.

N.A

Ewa

Keolis pressenti pour les lignes 16 et 17 du métro du Grand Paris

Lignes du Grand Paris Express

Dans un bref communiqué de fin de journée, le 11 mai, Ile-de-France Mobilités (IDFM), l’autorité responsable des transports de la région, annonce qu’elle va proposer à son conseil d’administration du 30 mai de désigner Keolis pour l’exploitation des nouvelles lignes de métro automatique du Grand Paris Express. La 16 (Saint-Denis-Pleyel – Clichy-Montfermeil) et la 17 (Saint-Denis-Pleyel – Le Bourget). Ces lignes traversent la Seine-Saint-Denis, le Val-d’Oise et la Seine-et-Marne.

Dès l’été 2024, la filiale de la SNCF (qui exploite déjà des métros automatiques à Dubaï, Lille, Londres, Lyon, Rennes ou Shanghaï), si elle est confirmée aux commandes du métro automatique, devrait gérer la station Saint-Denis-Pleyel, desservie par la ligne 14 prolongée et exploitée par la RATP.

Les premiers voyageurs des lignes 16 et 17 sont attendus fin 2026 sur les premiers tronçons. L’extension de la 16 vers Noisy-Champs est prévue fin 2028, ainsi que celle de la 17 vers Triangle de Gonesse et Parc des Expositions. Des mises en service en deux temps donc, pour le futur opérateur.

IDFM n’a pas précisé la durée des contrats qui, selon le communiqué, ne comprend pas le dernier prolongement de la ligne 17 de Parc des Expositions vers l’aéroport Charles de Gaulle et Le Mesnil-Amelot, annoncé pour 2030.

RATP Dev et la société des transports publics de Milan, ATM, étaient les deux autres candidats pour ces lignes. Il reste à attribuer le marché de la ligne 15 Sud (Pont-de-Sèvres –Noisy Champs). Et de la 18, une grande liaison circulaire autour de Paris et Orly-Saclay-Versailles.

Pour rappel, la RATP avait été confirmée en 2020 comme gestionnaire du réseau des nouvelles lignes du Grand Paris Express, selon la répartition des tâches prévue par la loi sur le Grand Paris.

N.A

Visualiser le réseau du futur métro : ici

Le calendrier de mise en service des lignes : ici

Ewa

Keolis reconduit à Vesoul et à Beaune

logo vesoul pour site
La Communauté d’Agglomération de Vesoul (32 000 habitants sur 20 communes), a renouvelé le contrat de Keolis pour l’exploitation des services de mobilité pendant six ans. Le nouveau contrat, qui a débuté le 1er mai, représente un chiffre d’affaires total de 19 millions d’euros.
Keolis doit renforcer l’offre grâce notamment à un transport à la demande étendu et disponible à la réservation jusqu’à deux heures avant le départ. L’opérateur devra aussi renouveler le parc afin qu’à terme, tous les bus roulent au carburant HVO (huile végétale hydrotraitée). Actuellement, 11 des 14 véhicules du parc circulent avec ce carburant. En septembre, le nom du réseau, Vbus, deviendra Moova, accompagnant ce renouvellement du réseau.
Enfin, à compter de septembre 2025, la Communauté d’agglomération de Vesoul confiera à Keolis l’ensemble des services scolaires du territoire, ce qui sera une première dans cette délégation de service public.
La filiale de transport public de la SNCF vient également de voir son contrat reconduit pour une durée de sept ans par la Communauté d’Agglomération Beaune Côte et Sud. Le contrat, qui couvre l’exploitation et la maintenance du réseau de transports publics Côte&Bus, générera un chiffre d’affaires global d’environ 16 millions d’euros.
Dans ce cadre, Keolis exploitera la nouvelle ligne A avec des véhicules électriques pour desservir la Cité des Vins de Bourgogne et le centre-ville de Beaune. Parmi d’autres nouveautés, trois navettes électriques doivent être mises en service.
Y.G.