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Ewa

Un spécialiste de l’international bientôt aux commandes de Transdev

Thierry Mallet, jusqu’à présent directeur de l’innovation, de la performance industrielle et du marketing  du groupe Suez Environnement, deviendra le 9 septembre le nouveau patron de Transdev. Son parcours, celui d’un industriel doté d’une solide connaissance de l’international, est apprécié positivement en interne… class= »rtejustify »>
Thierry Mallet, le nouveau patron de Transdev, doit prendre ses fonctions le 9 septembre. Sa nomination, annoncée le 4 juillet en remplacement de Jean-Marc Janaillac parti le même jour piloter Air France, a été accueillie avec satisfaction en interne. On craignait en effet la nomination d’un politique ou d’un membre de cabinet, d’autant que la période s’y prête, l’élection présidentielle se rapprochant avec sa valse de départs dans les cabinets ministériels.

Fort de son bilan (une entreprise redressée après une fusion réussie entre Veolia et Transdev malgré un mariage opéré au forceps), Jean-Marc Janaillac a sûrement su se faire entendre : Thierry Mallet a un profil industriel et affiche une forte expérience internationale ainsi qu’une bonne connaissance des collectivités locales. Des qualités essentielles aux yeux des salariés de Transdev.

Si ce polytechnicien de 56 ans, également ingénieur des Ponts et Chaussées et titulaire d’un Master en sciences du MIT (Massachusetts Institute of , Technology) a commencé sa carrière en 1987 au sein du ministère des Transports, où il s’occupait de la gestion des autoroutes, il a en effet rapidement quitté l’administration pour rejoindre le monde des entreprises. En 1989, il entre dans le groupe Générale des Eaux, où il est notamment responsable des activités eau en Espagne, puis en Amérique du Nord. En 2002, il devient directeur général délégué à Degrémont (Suez groupe), puis directeur général, et enfin directeur international. Depuis le 15 avril 2013, il était directeur de l’innovation, de la performance industrielle et du marketing du groupe Suez Environnement.

Le développement des activités, notamment à l’international, fera justement partie des grandes missions du nouveau patron de Transdev. Le groupe devrait aussi répondre à de nombreux appels d’offres offensifs en France. Il attend aussi avec impatience de pouvoir se lancer sur le marché du transport ferroviaire régional. Une perspective qui devrait se concrétiser prochainement puisque le Premier ministre s’est engagé fin juin devant l’Association des régions de France à autoriser l’expérimentation de l’ouverture à la concurrence sur quelques lignes de TER.

Pour accompagner son développement, Transdev devra restructurer son capital et chercher de nouveaux actionnaires minoritaires, après une sortie du capital de Veolia. Le désengagement de Veolia pourrait être progressif, tandis que la Caisse des dépôts souhaite rester actionnaire majoritaire. En attendant l’arrivée de Thierry Mallet, c’est Franck Silvent, directeur du pôle finances, stratégie et participations du Groupe à la Caisse des dépôts, qui assure l’intérim de la présidence du conseil d’administration de Transdev, tandis que Marcos Garcia, directeur financier de Transdev, est directeur général du groupe par intérim.

MH P

Ewa

Grand Paris : Vianney Elzière nouveau directeur du projet de la ligne 18

 

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Vianney Elzière a rejoint la Société du Grand Paris au poste de directeur du projet …de la ligne 18 du Grand Paris Express. Il remplace Brigitte Grégoire qui a fait valoir ses droits à la retraite. Elle assurait cette mission depuis 2010 pour cette ligne 18 qui reliera les gares Aéroport d’Orly et Versailles-Chantiers, comportera 10 gares, et desservira 14 communes et 4 départements.

Auparavant directeur de l’immobilier, de la sécurité et des affaires générales chez SFR, Vianney Elzière, 50 ans, est ancien élève de l’Ecole normale supérieure, et ingénieur en chef de l’armement.

De 1990 à 2000, il a exercé à la Direction générale de l’armement du Ministère de la Défense, où il a notamment dirigé les programmes de télécommunications d’infrastructure des armées.

Il a ensuite assuré jusqu’en 2009 plusieurs fonctions de pilotage de la transformation et de direction de programmes dans le domaine des systèmes d’information et des ressources humaines chez des opérateurs de télécommunications, au fil des mutations rapides de ce secteur (FirstMark, LDCom, neuf telecom puis Neuf Cegetel).

Depuis 2009, il était directeur de l’immobilier, de la sécurité et des affaires générales de SFR, où il a dirigé le projet du « Campus » à Saint-Denis, l’un des plus importants projets d’immobilier tertiaire d’Ile-de-France.

Vianney Elzière est également auditeur de l’institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ – 26e session)

 

 

Ewa

Pierre Mongin quitte la RATP pour GDF Suez

Pierre Mongin, président-directeur général de la RATP depuis 2006, va quitter ses fonctions pour devenir directeur général adjoint de GDF Suez, à partir du 1er mai, a annoncé mardi le groupe énergétique… style= »margin-top: 15px; margin-bottom: 15px; padding: 0px; font-family: arial; font-size: 15px; line-height: 20px; background-color: rgb(255, 255, 255); »>
Il assurera également les fonctions de secrétaire général de GDF Suez à compter du 1er juillet, en remplacement d'Alain Chaigneau. Dans un communiqué, Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez, écrit : « Le parcours de Pierre Mongin qui a piloté avec succès la réorganisation en profondeur de la RATP au cours des neuf dernières années apportera une contribution très précieuse à la transformation du groupe».

Selon Les Echos – quotidien qui a révélé l'information – Pierre Mongin a informé François Hollande lors d’un rendez-vous à l’Elysée vendredi 13 mars après-midi, et le président de la République a donné son feu vert.

Pierre Mongin, 60 ans, avait été reconduit à la tête de la RATP en juillet dernier. Il s'en va juste après avoir présenté à la presse de bons résultats du groupe RATP, lundi 16 mars. Sans faire naturellement la moindre allusion à un départ qui était déjà décidé. 

Ewa

Deux nouveaux directeurs pour la Société du Grand Paris

Lors de son  prochain conseil de surveillance qui se tiendra le 16 février, la Société du Grand Paris (SGP) devrait nommer les deux nouveaux membres de son directoire… Il s’agit de Bernard Cathelain, actuel directeur général adjoint Aménagement et développement d’Aéroports de Paris, qui remplace Didier Bense, qui était entré au directoire en septembre 2010 ; et de Catherine Pèrenet, directrice interrégionale de la Caisse des Dépôts, qui prendra la place de Pierre-Alain Jeanneney, également membre depuis septembre 2010 et dont la démission vient d’être acceptée par le gouvernement. Lors de ce même conseil, la SGP devrait également entériner le transfert par convention de la maîtrise d’ouvrage du prolongement de la ligne 14 Sud de la SGP à la RATP ; le lancement des études d’avant-projet pour cette même L14 sud ; ainsi que le transfert de la maîtrise d’ouvrage de la ligne 15 est, cette fois du Stif vers la SGP.

cecile.nangeroni@laviedurail.com

Ewa

Cuvillier succède à Cuvillier

Frédéric Cuvillier a été nommé, le 9 avril, secrétaire d'Etat chargé des Transports, de la Mer, de la Pêche, rattaché au ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie. Jusqu’au 2 avril dernier et depuis juin 2012, Frédéric Cuvillier, 45 ans, détenait le même portefeuille sous le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, avec le titre de ministre délégué. On le disait dépité de n'avoir pas figuré dans la liste des seize ministres de plein exercice. Sa fidélité à François Hollande et sa nette victoire aux élections municipales à Boulogne-sur-Mer, remarquable dans la déroute socialiste, étaient bien mal récompensées. Frédéric Cuvillier a d'ailleurs réagi vivement aux premières déclarations de Ségolène Royal sur l'écotaxe en s'interrogeant le 3 avril dans deux tweets :

« Je m'étonne que l'écotaxe ait été présentée comme un impôt nouveau. C'est tout le contraire. Alors quelles recettes nouvelles ? »

« Ecotaxe. La remise à plat, ça veut dire quoi ? A la veille du rapport que la mission parlementaire doit rendre… »

Les deux tweets-bazookas ont disparu du compte twitter de Frédéric Cuvillier quelques minutes après l'annonce de sa re-nomination. Il avait changé d'attitude deux jours après leur publication et s'était dit prêt à reprendre ses fonctions au gouvernement si on le lui demandait. Ce qui ne l'a pas empêché d'être réélu dimanche dernier maire de Boulogne-sur-Mer. Il semble qu'il n'ait pas été si facile de trouver un ministre qui souhaite s'occuper des Transports sous la tutelle de Ségolène Royal… Frédéric Cuvillier connaît en tout cas sur le bout des doigts deux dossiers très épineux : l'écotaxe d'une part, de l'autre la réforme ferroviaire. Sur ce second dossier, on imagine que la SNCF doit être soulagée de ne pas avoir à réexpliquer ses vues et le projet de loi qui en découle à un nouveau ministre. Même si Ségolène Royal a, en la personne de Jean-Louis Bianco, un conseiller spécial très au fait du dossier, auteur d'un rapport sur la réforme ferroviaire qui lui avait été demandé… par Frédéric Cuvillier.

Ewa

Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie du Développement durable et de l’Energie

Ségolène Royal, a été nommée, le 2 avril, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, du nouveau gouvernement dont Manuel Valls est le premier ministre…
  A 59 ans, l’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007 et ancienne compagne du président François Hollande, retrouve un ministère qu'elle avait déjà occupé en 1992. Mais, cette fois, son poste inclut l’Energie.

Elle  sera la quatrième à occuper cette fonction depuis que François Hollande est président. La première a été Nicole Bricq, débarquée le 21 juin 2012 sur une affaire de droit de forage pétrolier en Guyane qui l’opposait à Arnaud Montebourg. La deuxième, Delphine Batho, a été remerciée un an plus tard, le 2 juillet 2013, pour avoir contesté des arbitrages budgétaires. Philippe Martin a pris la suite, pour neuf mois. Cette fois encore le ministère de l’Ecologie et de  l’Energie est confié à un (e) socialiste.  « Socialiste, et de gauche » a précisé Philippe Martin le 2 avril lors de la passation de pouvoir, se félicitant d’un profil politique qui, faut-il croire, ne va pas de soi. Rassuré aussi, a-t-il précisé, que les socialistes assument eux-mêmes la « social- écologie  », et  n’aient pas délégué le ministère à des écologistes.

Certes, mais c’est le refus des écologistes qui explique ce choix. Les responsables d’Europe Ecologie Les Verts reçus  le 1er avril par le nouveau Premier ministre se sont vu proposer, un peu éberlués que Manuel Valls aille aussi loin, un grand ministère comme celui naguère confié à Jean-Louis Borloo. Tentant. Si tentant même que le refus de leurs représentants les divise (ce dont ils ont l’habitude). Pierre Serne, EELV, vice-président Transports et Mobilités d’Ile-de-France, en phase avec ce refus, explique : « comme il n’y avait aucun infléchissement en vue sur la contrainte budgétaire et les 50 milliards d’économie, cela voulait dire que le ministre aurait dû prendre son bâton de pèlerin  pour annoncer qu’on renonçait aux projets. »

A droite, la nomination de Ségolène Royal est bien sûr critiquée. Se plaçant sur un terrain local cher à la présidente de la région Poitou-Charentes, Dominique Bussereau ironise sur le sauvetage manqué du carrossier Heuliez et de la Mia Electric. Bertrand Pancher (UDI) critique une « farce royale », le ministère confié à Ségolène Royal étant privé du logement, « pourtant premier poste d’attaque en matière de transition énergétique ».

22 ans jour pour jour après avoir pris pour la première fois ce même portefeuille, la nouvelle ministre a promis un grand avenir à la croissance verte, et lié développement durable et combat pour l’emploi. Elle a mentionné dans la litanie des sujets qu’elle va superviser « les transports propres », ce qui laisse penser qu’elle pourrait, classiquement, se voir adjoindre un ministère délégué ou un secrétariat d’Etat aux transports dont le titulaire n’est pas connu.

De nouveau Frédéric Cuvillier ? Pas sûr. Selon certains proches, le maire de Boulogne-sur-Mer, bien réélu, devrait figurer sur la liste des ministres délégués et secrétaires d’Etat attendue la semaine prochaine. Mais à quel poste ? On ne sait pas. Quant à Ségolène Royal, elle pourrait, dit-on, gérer en plus  le Grand Paris. On pense aussi pour ce dossier à Sylvia Pinel, qui a succédé à Cécile Duflot au ministère du Logement et de l’Egalité des territoires, ou à Marylise Lebranchu, confirmée à la Décentralisation et la Réforme de l’Etat.  Il se dit enfin que Manuel Valls, ancien maire d’Evry, pourrait garder la haute main sur le dossier, dispositif qu’on a connu lorsque Christian Blanc était secrétaire d’Etat au développement de la région capitale, auprès du Premier ministre François Fillon.