Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Ewa

IDFM demande l’installation de semelles de freins moins polluantes sur les trains et métros franciliens

Le conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (IDFM) a approuvé en fin d’année, à l’unanimité, l’installation d’un système qui réduit les émissions de particules fines générées au moment du freinage des trains et métros.
« À la suite de plusieurs expérimentations, et notamment celle menée en 2023 sur une dizaine de rames du RER, l’efficacité de ce dispositif placé sur les semelles et garnitures de frein a été prouvée (réduction jusqu’à 90 % des particules PM10, 87 % des PM2,5 et 62 % des PM1) », explique IDFM dans un communiqué.
IDFM va donc demander d’installer, «dès que possible», cette solution sur l’ensemble des rames du RER A, des métros des lignes 1, 2, 4, 5 et 9 (MP89, MF01, MP05) et leurs successeurs, ainsi que sur ceux ne disposant pas de freinage électromagnétique de dernière génération (Z2N, MI2N, MI09, MP89, MF01, MP05, et éventuellement MF77 en amont de leur remplacement).

Ewa

Des purificateurs d’air dans le métro

Ligne 2 du métro RATP

Prendre le métro et respirer un air bien plus pollué que dans la rue, c’est un paradoxe contre lequel la RATP a entrepris de lutter depuis plusieurs années. Dernière action en date, soutenue par la région Ile-de-France dans le cadre de son programme « Changez d’air », deux capteurs de particules fines ont été installés à la station de métro Alexandre-Dumas sur la ligne 2, à la fois pour mesurer la pollution en temps réel et pour dépolluer l’air ambiant.

Suez a été retenu pour installer ces plaques qui vont collecter, grâce à des aimants, les particules produites par les rames de métro principalement lorsqu’elles freinent. « Nous allons procéder à des mesures pour évaluer en temps réel la concentration des particules et leur diamètre », explique un responsable de l’entreprise. 1 700 m³ pourront être traités chaque heure. Suez va également recycler les déchets polluants. Une fois par mois, il sera procédé au nettoyage des filtres et à des vérifications.

L’expérimentation va durer six mois pour un budget de 400 000 euros. Si elle est concluante, elle pourra être étendue à d’autres stations, voire d’autres lieux semi-fermés, a précisé Valérie Pécresse, la présidente de l’Ile-de-France. L’enjeu sanitaire est important : quatre millions de personnes passent chaque par jour dans le métro et le RER. Auxquelles s’ajoutent les salariés de la RATP qui y passent beaucoup plus de temps.

M.-H. P.