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Ewa

La Renfe s’implante à Lyon avant de lancer ses trains entre la France et l’Espagne

La Renfe s’apprête à faire concurrence à la SNCF sur son marché domestique. La compagnie ferroviaire espagnole a annoncé le 12 juin avoir obtenu le certificat d’ouverture d’une succursale à Lyon. La nouvelle filiale Renfe désormais inscrite au registre du commerce de Lyon a pour objet « la prestation de services de transport ferroviaire de voyageurs, tant au niveau national qu’international (…)». Une étape indispensable, selon l’opérateur espagnol, au démarrage de son activité en France, « un marché prioritaire dans la stratégie d’internationalisation de la société« .

La nouvelle filiale, installée à côté de la gare de Lyon Part Dieu, « dispose de l’autorisation de l’autorité française pour démarrer son activité commerciale de manière imminente« , indique-t-elle dans un communiqué. Elle devrait prochainement lancer des AVE pour relier Lyon et Marseille à Barcelone, Gérone, Tarragone, Saragosse et Madrid, « avec de nombreux arrêts intermédiaires comme Montpellier, Valence, Avignon, Nîmes, Béziers, Narbonne ou Perpignan« . La compagnie devrait annoncer « dans les prochains jours » l’ouverture des ventes.

« Les prochaines étapes seront l’extension des trains AVE aux corridors les plus denses et les plus intéressants économiquement pour l’entreprise et le positionnement de Renfe en tant qu’opérateur de référence pour le public français« , précise encore la concurrente de la SNCF.

Ewa

La compagnie ferroviaire espagnole Renfe veut revenir en France d’ici cet été

Renfe, société nationale des chemins de fer espagnols

Après la rupture de l’alliance commerciale entre la SNCF et Renfe, son homologue espagnole, pour l’exploitation de la desserte ferroviaire entre la France et l’Espagne, le projet franco-espagnol Elipsos a vécu, et la SNCF a repris à son compte la liaison Paris-Barcelone.

Mais Renfe ne compte pas en rester là et veut se frotter à la concurrence ferroviaire en France avec deux lignes depuis l’Espagne vers l’Hexagone, via Perpignan : entre Barcelone et Lyon, et entre Madrid et Marseille. Objectif : glisser ses trains sur les rails français d’ici à l’été 2023 avec six allers-retours par semaine sur chaque ligne, puis deux liaisons quotidiennes à moyen terme.

Paris-Lyon aussi dans le viseur

Après avoir obtenu le 22 décembre dernier un certificat de sécurité de l’établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF), sésame pour faire rouler ses trains à grande vitesse AVE sur les lignes qu’elle convoite en France, l’opérateur espagnol qui se plaint régulièrement de « bâtons dans les roues » visant à ralentir son arrivée sur l’Hexagone, démarre ses « marches à blanc », et forme des conducteurs au réseau français. Interrogé, le directeur France de Renfe se refuse à donner toute information supplémentaire et, à tout commentaire.

Egalement dans le viseur de Renfe, la liaison Paris-Lyon que se dispute déjà la SNCF et son concurrente italienne Trenitalia depuis un an. La compagnie ferroviaire espagnole devra pour cela obtenir une nouvelle homologation de l’EPSF pour faire circuler ses trains jusqu’à la capitale.

N.A

 

 

 

Ewa

La Renfe poursuit le renouvellement de son matériel roulant

Alstom fournira à la compagnie ferroviaire espagnole Renfe 49 rames de 100 mètres pour un montant de 367,6 millions d’euros. De son côté, Stadler livrera à l’opérateur espagnol vingt rames de 200 mètres pour 307,7 millions d’euros. Cette double commande fait suite au contrat signé en mars 2021 par la Renfe avec ces deux constructeurs pour le renouvellement des parcs Cercanías (lignes de banlieues) espagnols.

Outre les trains pour les Cercanías, la Renfe a commandé 28 rames Media Distancia pour les dessertes régionales de plus de 60 minutes. Le montant de cette commande est de 183,1 millions d’euros.

Ces commandes de la Renfe s’inscrivent dans le plan de renouvellement de son parc de matériel roulant qui, au total, prévoit un investissement de 5,4 milliards d’euros pour l’achat de 519 nouvelles rames.

Ewa

Renfe se prépare à lancer son train à grande vitesse low cost vers Valence

Les billets étant en vente dès le 20 janvier, la grande vitesse à bas coût entre Madrid et Valence démarrera le 21 février prochain. Pour commencer, Renfe offrira, avec son train à grande vitesse AVLO, trois allers-retours entre les deux villes, qui s’ajoutent aux relations existantes. La gamme des billets proposée, très attractive, commence à 7 euros, 5 euros pour les jeunes de moins de 14 ans, avec des rabais pour les familles.

Comme sur Madrid-Barcelone en service depuis le 23 juin 2021 avec 4 allers-retours par jour, AVLO vise ceux qui fréquentent peu la grande vitesse classique (AVE) : les jeunes et les familles. Son service vers Valence va débuter à l’occasion de « Las Fallas », une grande fête populaire annuelle où les quartiers de la cité du Levant font défiler leurs chars dans une atmosphère de carnaval.

Renfe AVLO prend ainsi une longueur d’avance sur « Ouigo », le service de SNCF España qui est annoncé vers Valence pour le printemps 2022. Rappelons que Ouigo a mis sur les rails, depuis le 15 mars 2021, cinq allers-retours quotidiens entre Barcelone et Madrid.

Le troisième acteur de la nouvelle concurrence ferroviaire espagnole, « IRYO », ne doit prendre le départ qu’à l’automne 2022. La marque lancée par ILSA (l’association entre Trenitalia et Air Nostrum) prévoit de lancer simultanément ses services entre Madrid et les autres villes espagnoles : Valence, Alicante, Séville, Málaga et Barcelone. Reflet de cette offre de masse conçue en réseau, IRYO desservira la Catalogne à partir de Madrid à raison de 16 allers-retours par jour avec ses rames italiennes Frecciarossa 1000.

Ewa

Renfe s’équipe de locomotives de fret transfrontalières

Locomotives de fret P42000 en Espagne

Renfe va acheter 12 locomotives polyvalentes de grande puissance pour la traction des trains de marchandises tant sur le réseau espagnol (Adif) que sur les lignes françaises (SNCF Réseau) : le conseil d’administration de Renfe réuni le 28 septembre a retenu un investissement de 178 millions d’euros comprenant une option pour six engins supplémentaires et la maintenance sur 15 ans.

L’opérateur historique espagnol entend s’équiper de locomotives polyvalentes : elles seront tritension (3 000 et 1 500 volts continus, 25 kV monophasé) et à écartement variable pour circuler sur les lignes européennes (1 435 mm) et ibériques traditionnelles (1 668 mm). Le tout avec les équipements pour les signalisations ERTMS/ETCS ainsi que ASFA pour l’Espagne. Avec une vitesse de pointe de 120 km/h, ces CC doivent pouvoir remorquer des trains lourds d’une longueur jusqu’à 750 mètres, et circuler sur des tronçons non électrifiés avec le dispositif « last mile ».

Autant de caractéristiques qui devraient ouvrir le réseau français à ces locomotives, à commencer par l’axe Barcelone – Perpignan et au-delà. Mais aussi en Espagne, le Corridor méditerranéen à écartement UIC en construction de la Catalogne à Almeria, ainsi que certaines lignes à grande vitesse (tels les tunnels de Pajarès vers les Asturies, ou la desserte des ports : Algeciras, Bilbao, Valence). Sans oublier les autoroutes ferroviaires transfrontalières en projet.

L’appel d’offres est naturellement ouvert, mais les yeux se tournent vers Stadler : son usine de Albuixech (près de Valence) a déjà à son actif une CC « Eurodual » qui équipe des opérateurs fret comme Green Cargo (Suède), HVLE (Allemagne) ou Captrain (groupe SNCF). Ce site, précédemment aux mains de Alstom puis de Vossloh, avait réalisé la CC diesel de grande puissance Euro 4 000 qu’utilisent VFLI, Europorte ou Renfe.

Michel Garicoïx

Ewa

La Renfe s’installe à Paris

Pas un bureau de tourisme de plus, mais une délégation pour la France : le conseil d’administration de Renfe a décidé le 27 septembre la création d’une succursale de l’opérateur à Paris. Objectif, se saisir de toutes les opportunités sur le marché français, et en particulier pour les services à grande vitesse. L’Hexagone étant présenté comme une « cible prioritaire » à Madrid.

Une fois obtenu le feu vert du ministère espagnol des Finances, Renfe pense être à même de construire sur place son offre pour la grande vitesse entre Paris – Lyon et Marseille. De même afin de poser sa candidature à des services publics comme elle vient de le faire dans les régions Grand Est et Hauts-de-France pour des lignes TER, par exemple dans les Vosges.

Renfe s’était positionnée sur la grande vitesse entre Lyon et Marseille, mais elle a rencontré « des difficultés techniques au niveau des systèmes d’information ». Pour autant, elle n’est pas restée inactive pour s’internationaliser en Europe. Elle vient de boucler l’achat de la moitié du capital de la compagnie tchèque Leo Express. Une opération qui lui ouvre les marchés voyageurs en Europe centrale : République tchèque, Pologne, Slovaquie… A l’horizon 2030, Renfe entend obtenir 10 % de ses recettes via ses activités à l’international.

Michel Garicoïx

Ewa

L’avertissement de la Renfe à Ouigo Espagne

AVE Espagne

« Que commence la ronde des trains ! » C’est ainsi que la Renfe a salué l’arrivée de son nouveau concurrent Ouigo qui s’est élancé le 10 mai sur le marché de la grande vitesse espagnole, entre Madrid et Barcelone. Comme une sorte de « Que la fête commence » dont le prochain acte sera, ce 23 juin, le démarrage également sur Madrid-Barcelone de Avlo, le train à grande vitesse low cost de l’opérateur public historique.

Ouigo Espagne, la filiale de la SNCF, propose cinq aller/retours quotidiens dont deux directs en 2h30. Soit 5 000 places quotidiennement, avec un prix de base de 9 euros quand Renfe offre 14 aller/retours avec la même durée et pour des tarifs pleins théoriques autour de 64 euros.

Dans une période où l’Espagne allège ses mesures de prévention sanitaire, les médias se concentrent davantage sur le couvre-feu et la portée de l’état d’urgence. Et si la « Cinco », chaîne madrilène privée, passe à toute vitesse sur Ouigo,  la « TV3 » catalane signale, sans surprise, l’événement. « C’est la fin du monopole de Renfe, la libéralisation du rail entre dans les faits » titre de son côté « La Vanguardia ». A l’appui, le quotidien catalan montre, toute pimpante, la rame Ouigo 810 impatiente de rentrer dans la danse en gare de Barcelona-Sants.

De son côté, « El Periódico de Catalunya » donne la parole à Isaias Táboas, et le président de Renfe ne manque pas de pointer « les difficultés d’accès au marché français qui n’existent pas en Espagne pour Ouigo.» En parallèle, la journaliste Sara Ledo brosse le portrait de « la femme qui a créé depuis zéro un groupe ferroviaire » : Hélène Valenzuela, directrice-générale de Ouigo España. Un groupe ferroviaire qui a nécessité un investissement de 600 millions d’euros, dont la moitié est issue d’un emprunt.

La formule de bienvenue de Renfe sonne aussi comme un avertissement : « Cher concurrent, bienvenue et bonne chance » découvre-t-on ainsi sur des images dévoilées par l’opérateur public, déroulant l’entrée d’un tunnel puis un viaduc ferroviaire de montagne qui ont l’air d’un train miniature. Avec, en prime, une bande son inquiétante, avant que le transporteur ne rappelle : « Nous, nous avons 80 ans d’expérience. Nous ne pouvions pas être mieux préparés.» AVE, le train à grande vitesse espagnol, relie Madrid à Barcelone de bout en bout depuis février 2008.

Renfe vient d’ailleurs de lancer une offre de billet tous AVE à 19 euros du 10 mai au 11 décembre 2021. Cette entrée en matière est regardée attentivement par l’alliance Trenitalia/Air Nostrum qui, elle, doit mettre en route d’ici la fin 2022 ses convois sur Barcelone-Madrid, le créneau le plus porteur du marché ferroviaire de voyageurs chez nos voisins de l’autre côté des Pyrénées.

Michel Garicoix

 

Ewa

La Renfe veut prendre le contrôle du tchèque Leo Express

L’opérateur espagnol Renfe s’apprête à prendre près de la moitié du capital de Leo Express, une compagnie tchèque de transport active dans le ferroviaire voyageurs et les autobus. Cette opération permettra du même coup à Renfe de disposer de licences et moyens techniques pour la République tchèque, la Slovaquie, la Pologne et également, voire surtout, sur le marché allemand.

Au côté de la compagnie publique historique CD (héritière des CSD) et de l’opérateur privé RegioJet basé à Brno, Leo Express est active depuis 2012 et a tissé des relations ferroviaires pour les voyageurs avec les pays voisins. Depuis 2017, elle assure pour l’allemand FlixTrain des relations en « open access » entre Stuttgart et Berlin. Leo Express articule également un réseau d’autocars longue distance en Tchéquie, Slovaquie, Autriche, Pologne et Ukraine, même si, avec la Covid-19, certains services sont en sommeil.

Avec cet achat, et après le feu vert du ministère espagnol des Finances, Renfe pourra disposer d’un éventail d’offres en Europe centrale. D’ailleurs, à l’été 2020, l’opérateur tchèque Cezké Dráhy (CD) avait lui-même envisagé d’acquérir l’ensemble Leo Express.

Pour l’opérateur historique espagnol, c’est une nouvelle étape de son internationalisation après le « TGV des sables » en Arabie Saoudite, sa participation à la grande vitesse au Texas (Houston-Dallas), son investissement dans le projet Rail Baltica, de la Pologne vers l’Estonie. Sans oublier son intention d’entrer sur le marché français depuis Lyon.

Michel Garicoix

Ewa

La Renfe annonce son arrivée sur le marché français

Réponse de la Renfe à la SNCF qui annonce son arrivée sur le réseau espagnol à partir de décembre avec le lancement de TGV low-cost de type Ouigo : la compagnie ferroviaire espagnole viendra elle aussi faire concurrence à son homologue française sur son marché domestique. Elle a ainsi notifié à l’ART (Autorité de régulation des transports) son souhait de faire rouler des trains entre Paris et Marseille à partir de décembre 2021. Ce n’est pas complètement une surprise car la compagnie ferroviaire espagnole avait annoncé en juillet 2019 son projet de se lancer sur le marché français, mais sans dire quand elle comptait débuter ses opérations.

La Renfe compte proposer cinq allers-retours par jour entre Lyon Part-Dieu, Avignon TGV, Aix-en-Provence TGV et Marseille Saint-Charles à partir du 13 décembre 2021. Elle exploitera des trains similaires au TGV Atlantique, construits par Alstom, selon l’avis notifié par l’ART.

 

Ewa

Espagne- Les acteurs ferroviaires anticipent la libre concurrence

Si la situation économique de l’Espagne s’est améliorée, les incertitudes politiques persistent en ce début d’année. Conséquence, les décisions sont retardées et le budget de l’Etat 2020 est toujours en suspens. Les investissements qui vont avec également, dont les commandes aux entreprises notamment celles du BTP.

Dans l’attente de nouveaux opérateurs 

Le calendrier ferroviaire est toutefois déjà balisé par le 14 mars et le 15 décembre 2020. A cette première date, le choix des opérateurs admis à rivaliser avec Renfe sur la grande vitesse (AVE) sera officiellement arrêté, même si on connaît déjà leurs noms depuis la fin de l’année dernière : outre Renfe Viajeros, il s’agit de Ilsa (Air Nostrum et Trenitalia), et de Rielsfera (SNCF essentiellement). Puis, en fin d’année, la concurrence devrait être effective sur les lignes vers Barcelone, le Levant (Valence) et l’Andalousie.

Dès juillet dernier, Renfe se préparait et passait commande au constructeur Talgo de rames transformées de la série 112 qui, le 6 avril prochain, inaugureront le train à grande vitesse low cost à la mode hispanique : période de fort trafic, la Semaine sainte verra donc le lancement de « Avlo », la version revisitée du projet « Eva » de 2018, entre Barcelone et Madrid.

Côté infrastructures, quelques nouvelles lignes ont, en 2019, pâti de retards (ainsi Valladolid-Burgos, 91 km), d’autres ont été mises en service dont celle vers Grenade (114 km) ou sont toujours en chantier, comme la déviation de Tarragone (64 km) qui, dans quelques semaines, fera gagner presqu’une demi-heure entre Valence et Barcelone. Sur la ligne Madrid-Galice, le tronçon Zamora-Pedralba (110 km) doit être opérationnel cette année.

Grues et bulldozers sont également à l’oeuvre à l’ouest, en Estrémadure sur les 164 km entre Badajoz et Plasencia (à écartement ibérique pour débuter), ou sur Montforte-Murcie (62 km) tandis que le double tunnel de Pajares vers les Asturies est encore loin d’être livré. Même sort pour le « Y basque » vers Bilbao, Irún et la France. Quelques tronçons du « Corridor Méditerranée » à trois rails (avec voie UIC) sont en travaux, comme sur Alicante- Valence et au-delà, ou sur Murcie-Alméria.

Deux gares AVE continuent à faire l’objet de transformations : La Sagrera à Barcelone est à moitié édifiée, tandis que le terminal Chamartin à Madrid (au débouché du tunnel AVE achevé sous la capitale) doit être remodelé pour accueillir davantage de voies à écartement européen.

Le fret ferroviaire à la peine

Si la scène s’annonce nourrie pour la grande vitesse voyageurs, le trafic marchandises sur le réseau ibérique est en plein marasme : malgré différents plans, le fer n’arrive pas à 5 % de parts de marché du fret dans la Péninsule. Et les pertes de cette branche s’accroissent.

Parmi ses points forts : le transport d’automobiles, d’acier et de charbon, alors que l’Espagne compte abandonner cette source d’énergie. Aujourd’hui, les opérateurs privés captent 40 % des tonnes-km effectuées. Le gouvernement après avoir cherché parmi eux un partenaire pour Renfe-Mercancias envisage une privatisation. Pour rappel, cela avait été le cas au Portugal avec la reprise du fret ferroviaire public des CP par l’opérateur Medway.

Michel Garicoix